Pikachu
Pokébip Pokédex Espace Membre
Inscription

Lieu de culte d'une Porce
de Vivinana

                   



Si vous trouvez un contenu choquant, vous pouvez contacter la modération via le formulaire de contact en PRECISANT le pseudo de l'auteur du blog et le lien vers le blog !

» Retour au blog

Fiction : "Flash" [O-S] HS
-Amenez-le au bloc en vitesse, il est en situation très grave !
-Ou suis-je ? Me demandais-je.
-Que lui est-il arrivé ? Questionna une infirmière.
-On ne sait pas, on l’a retrouvé par terre… Répondit un médecin.
-Mais qu’est-ce qui se passe ? Pensais-je.

Je vis une infirmière me regardait avec des yeux emplis de pitié. Mais pourquoi ? Pourquoi me regarder ainsi ? Une autre femme se retourna vers moi et s’effondra. Mais que m’est-il arrivé ?

-Il faut commencer l’opération ! Hurla un chirurgien.
-Mais que se passe-t-il ?
-Scalpel !

Je sentis une certaine pression sur mon torax… Puis je commençais à avoir mal, très mal. Je ressentais tous ce qui se passait, mais je ne pouvais dire ce qui m’arrivait. Si je pouvais, je hurlerais tellement j’avais mal… Puis un flash vint heurter mon esprit, je me souvenais…. Je me souvenais….


Tout avait commencé pendant ce beau jour ensoleillé, les rayons solaires provenant du dehors venaient me sortir de mon sommeil. Je fis une grimace, prenant la couette et tournant sur le côté afin d’éviter cette lumière aveuglante. J’ouvris finalement mes yeux verts pâles, les refermant en soufflant et en m’étirant. Je passai ma main dans mes cheveux bruns, me grattant l’arrière de la tête. Je me levai finalement en poussant un énorme soupir. Je n’étais vêtu que d’un boxer. Je partis dans la direction du couloir, ouvrant la porte de la salle de bain. Une bonne douche chaude suffit à me réveiller. Je descendis les escaliers, passant dans ma cuisine pour prendre de quoi déjeuner. Je pris de simples tranches de pains à la confiture de myrtilles trempées dans du lait au chocolat. Voilà ce que signifiait ma vie, une routine pure et simple. Après ce petit déjeuner, je pris la sacoche sur le porte-manteau et je sortis de ma maison. Celle-ci m’avait été léguée par mes parents, malheureusement décédés… D’ailleurs, c’était ce jour que je partis au cimetière. Je passai d’abord chez le fleuriste de ma rue, achetant 5 roses de couleurs différentes, une bleue, une jaune, une rose, une noire et une rouge.
La noire avait été pré-commandée car celles-ci sont très rares.

Je marchai alors vers ce lieu de tristesse. Je vins alors sur la tombe de ma mère : Elise Trevy Felichi où je déposai la rose rose, symbole de l’amour pure que je lui portais, je priai alors en pensant aux bons moments que j’avais eu avec elle, ma mère. Je continuai mon chemin vers la tombe de mon père : Felix Felichi d’origine italienne. Je déposai cette fois la rose bleue, qui signifiait l’espoir éternel et l’atteinte de l’impossible. En effet, mon père ayant été un grand homme d’affaire, il ne s’intéressait à moi que dans ses projets pour mon futur. Il souhaitait que je reprenne son affaire, il misait beaucoup sur moi mais je l’ai déçu… Je ne désirais rien et c’est là que la rose vient donner sa symbolisation. Mon chemin se continua vers la tombe de : Noémie Bervy. Une grande amie que j’ai perdu, un jour où nous traversions la rue, un camion contenant du matériel très lourd s’est renversé laissant sa contenance retomber sur elle et la tuant sur le coup… C’est depuis ce jour que je n’ai plus souris. La seule fois où j’ai recommencer à sourire, mes parents y ont laissé leurs vies. J’y déposai donc la rose jaune, signifiant la grande amitié que je lui portais. Je sortis du cimetière pour partir voir Emilie. Cette fille est une connaissance un peu plus récente, elle date de deux ans il me semble.

J’ai rencontré Emilie peu après la mort de Noémie. Et c’est grâce à cette défunte que je l’ai connue. En effet, dans ces effets personnels se trouvaient une lettre qui m’était adressée :


Cher Jérémy,
Cette lettre que je te confie, est ce qui pourrait être considéré comme mon testament, mais j’appellerais cela comme une requête. Si ma mort venait à arriver, sache que tout ce que je te demande, c’est de veiller sur l’être le plus cher à mes yeux. Cette personne est la seule famille qu’il me reste, c’est ma petite soeur, Emilie. Elle a 16 ans et elle n’a que moi. Donc je te demande, si il m’arrive quelque chose, occupe-toi d’elle, c’est et sera ma dernière faveur et sache que si je ne te l’ai pas dit. Je t’aime de tout mon coeur....

Noémie...

Je vous avouerais que cette lettre est l’une des rares choses qui m’a fait pleurer... Ca a été très difficile au début. Déjà que la petite était abattue, maintenant elle devait s’enticher d’un inconnu. Mais deux années ont passé, tout va mieux maintenant. Donc je me dirigeai vers le petit appartement d’Emilie. Je sonnai. La jeune fille vint m’ouvrir. Un sourire rendait chaleureux son visage pâle.

-Salut Jéjé ! Fit-elle avec son beau sourire.
-Bonjour Emilie ! Répondis-je.
-Tu ne travailles pas aujourd’hui ?
-Non...
-Pourquoi ? Tu as pris un congé ?
-Eh bien... Je ne veux pas en parler en fait... Mais en tout cas, je suis venu pour te demander si tu voulais aller faire un truc et si tu avais une idée.
-Oh, euh... Dit-elle en se grattant ses cheveux chatains. Pourquoi pas un cinéma suivi d’un petit verre ? Demanda-t-elle.
-Hum... Pourquoi pas. Tu veux aller voir quoi ?
-Le nouveau film qui est sorti ! Mort mais pas tant que ça ! C’est une comédie !
- Si tu veux...

Emilie se jeta sur moi pour me faire un câlin. Personne ne m’en avait fait depuis des lustres. Je devins rouge comme une tomate. Je me détacha de cette petite emprise. Elle me regarda de ses yeux bleus clairs.

-Allons-y ! Déclarai-je.

Le film était plutôt inintéressant, nous n’arrêtions pas de parler pendant celui-ci. Si bien qu’à un moment, on nous fit sortir de la salle. Ce qui n’était pas plus mal dans un sens, le film était nul. Nous allâmes donc dans un bar, nous prîmes quelques verres et c’est là qu’elle me demanda :

-Jéjé, pourquoi t’as pas travaillé aujourd’hui ?
-Parce que.... C’est mon anniversaire... Répondis-je.
-Oh...... Bon anniversaire alors ! Hurla-t-elle.

Cela arriva aux oreilles du barman qui cria :

-Oh ! C’est ton anniversaire hein.... TOURNEZ GRATUITE POUR LE MONSIEUR!

Ce qui fit que j’eus quelques verres gratuitement, je rentrais alors saoule...

Je titubai ainsi qu’Emilie, saoule aussi. Nous rentrâmes alors chez elle, je m’assis sur le canapé et c’est là qu’elle me demanda une question horrible :

-Pourquoi tu ne voulais pas parler de ton anniversaire ?
-Eh bien, il me rappelle trop mes parents... Tiens ça me penser... Tiens ! Dis-je en lui donnant la rose rouge.
-C’est pour moi ?
-Oui, elle symbolise, enfin tu vois ce que je veux dire...
-Un amour... Tu es un amour....

Après ces quelques paroles, elle s’approcha de moi peu à peu et m’embrassa, je ne résistai pas, l’alcool et autre chose m’en empêchait. je ne savais pas ce qu’était cette chose, mais ça me plaisait drôlement. Nous tombâmes sur le canapé tout en continuant de nous embrasser. Elle déboutonna ma chemise et la retira, puis Emilie enleva son haut. Nous fîmes alors ce que nos pulsions nous demandaient...

Le lendemain, je me réveilla, nu. Avec un mal de crane abominable. Qu’est-ce que je faisais nu moi ? C’est là que je vis Emilie arriver, nue sous un drap. J’écarquillais alors les yeux, me rappelant ce qui c’était passé. Je voulais me lever mais elle m’en empêcha et elle me dit :

-Est-ce qu’on a.... Fait ce que je crois ?
-Je crois....
-Oh alors... Euh...
-Je devrais partir.
-Non attend ! Avant, j’aimerais savoir une chose ! Me dit-elle ferme.
-Laquelle ?
-Pourquoi ton anniversaire te fait-il penser à tes parents ? Demanda-t-elle.
-Ils sont morts pendant mon quinzième anniversaire...Répondis-je.
-Oh mon Dieu ! Hurla-t-elle.
-Ne t’en fais pas, j’ai réussi a ne plus avoir mal mais se jour est quand même le seul que je déteste...
-Quel âge as-tu maintenant ?
-J’ai 23 ans...
-Est-ce que tu veux te confier ?
-Non... Je n’en vois pas l’utilité...
-Ca pourrait te rappeler le bon goût de la vie ! Essaie au moins !
-Hum d’accord...
-Je t’écoute...

Je m’assis une fois de plus sur le canapé et je commençai alors à compter l’une de mes plus horribles histoires... La mort de mes parents...

C’était il y a 8 ans et un jour, je me levais tranquillement, descendant les escaliers quatre à quatre. Ma mère étais assise sur un divan luxueux, un grand sourire sur son visage collant parfaitement avec ses yeux verts-bleus et sa chevelure brune. Mon père était dans la cuisine, portant ses habituelles lunettes et ses vêtements chics, il avait les yeux marron foncés et peu de cheveux bruns. Il me regarda à peine. Je retournais donc vers ma mère, elle sortit une petite boite embalée dans du papier couleur argent. Ma mère me la tendit, je la pris et dchira le papier argenté. Une autre boite mais cette fois de couleur rouge, je l’ouvris donc. Une magnifique montre dorée avec des aiguilles en argent. Je la mise à mon poignet, la contemplant avec admiration, elle était fabuleuse. Mon père s’exprima alors.

-Je me demande si tu la mérites !
-Félix ! Enfin ! Protesta ma mère.
-Elise, tu sais très bien que ses résultats sont catastrophiques, il n’aurait jamais dû avoir ce cadeau !

Je ne répondis pas, mes larmes coulaient, je pris alors la direction de la porte en criant :

-Je te déteste ! Je ne veux plus te voir !

Je sortis alors en courant, mes parents sortirent à leur tour. Ils prirent la voiture et me suivirent, je me cachai pour ne pas être aperçu. Je vis alors le moment le plus traumatisant de ma vie. Un camion remplie de matériaux explosifs arriva et mon père n’eut pas le temps de freiner. Je me souviens encore de la voiture déraillant et se prenant dans le camion, du regard de ma mère, de la peur qu’ils avaient et enfin de l’explosion du camion... Et je me souviens avoir crié, avoir crié tellement fort que je m’évanouis avant de me retrouver à l’hôpital. Je crus d’abord à un rêve, je demandai à plusieurs infirmières, aucunes ne me répondit. Ce ne fut qu’à l’arrivée du gendarme qui vint m’annoncer leur décès que je hurlais une fois de plus mon chagrin.

-Voilà, tu sais tout maintenant... Finis-je.
-Je... Je suis... Désolé... Bafouilla-t-elle.
-Ne le sois pas, tout était de ma faute... Et ça, ce sentiment de remord ne me quittera jamais.
-Mais, j’ai... Une dernière question . Réussit-elle à dire.
-Je t’écoute...
-La rose noire qui est dans ce vase que tu as posé là-bas...
-Elle symbolise le deuil et... mon acte horrible que je dois me remémorer car comme je l’ai dit, tout était ma faute...
-Mais... Ce n’é...
-Stop ! Coupai-je.
-...
-Je ne veux pas de pitié, ni d’autre truc dans le genre. Je veux que les gens comprennent que je ne suis pas quelqu’un de bien. Et même si j’aurais pu le penser pendant un temps, un autre moment tragique m’a coupé dans mon élan...
-La mort de... Noémie...

Je ne répondis pas et je me mis à pleurer, à pleurer très fort. Je m’habillai et je repartis de chez Emilie. Arrivé chez moi, je frappai dans le mur très fort,tellement fort que je fis un trou et que ma main saigna. La douleur était la seule chose qui pouvait me calmer... Je soignai ma main et je partis au travail. Je travaillai dans un magasin de chaussures en bas de ma rue. C’était un de ces magasins luxueux où seuls les riches pouvaient venir. Je vis passer des tas de gens mais le plus bizarre de tous fut cet homme. Il portait un chapeau noir, une veste noire, il était entièrement vêtu de noir. Il m’acheta une paire de chaussures très chics et me laissa un gros pourboire. La journée se finit et je rentrai chez moi, je fermai le magasin et je partis. Je regardai alors mes pourboires et autres choses et je vis un mot dans le pourboire de cet étrange individu, ce mot disait :

Nous retenons votre amie, Emilie.
Veuillez vous rendre rue des Grillons pour
espérer la revoir, apporter un demi-million d’euros.
Le code que vous emprunterez pour nous appeler est : Mirabelle.
FIN

Je commençai alors à paniquer, les larmes coulant une fois de plus. Je partis a la banque et récupéra la somme convenue, je me rendis ensuite dans la rue indiquée et je dis la formule magique :

-Mirabelle !

Trois hommes costauds sortirent d’une rue sombre, l’un tenant Emilie, l’une de ses mains l’empêchant de parler et l’autre l’agrippant. Je voyais alors l’homme venir.

-Oh mais vous avez fait vite ! Ria-t-il.
-Je vous donne l’argent, rendez-moi Emilie !
-Tss tss tss ! Vous croyez vraiment que c’est aussi simple, allons venez dans cette voiture avec nous.

Nous allâmes alors dans la voiture indiquée.

-Donnez-moi l’argent ! Ordonna-t-il.
-Tenez. Dis-je en lui donnant l’argent.
-Bon, maintenant que j’ai l’argent, je vais me débarasser des preuves.

Il pointa un révolver vers moi et m’enferma ainsi qu’Emilie. Ils quittèrent la voiture et j’entendis un bip sonore, je regardai derrière moi et je vis une bombe. Celle-ci indiquait 08:56. Que faire ? Je repensai à mes parents, morts dans une explosion. Aurions-nous le même sort ? Il fallait réfléchir pour sortir... Mais que faire ? Le compteur indiquait : 08:13. Comment faire pour sortir ? Mais la seule chose qui m’importait, c’était qu’Emilie sorte. Moi, peu importait. Je pris donc mon courage à deux mains et je brisai la vitre de la voiture de mon côté. Je fis de même pour celle du côté d’Emilie et je lui dis :

-Emilie, sort par ce côté pour ne pas qu’ils te voient !
-Mais ? Et toi !
-Si je m’enfuis avec toi, ils nous pourchasseront et on finira mort tous les deux. Donc part ! Maintenant !

Elle passa donc par cette vitre, pendant que moi je prenais la bombe. Tout doucement, pour ne pas la faire exploser. Elle indiquait : 03:02. Sans faire de mouvements brusques, je me faufilai dehors en passant par la vitre. Bien heureusement, la bombe n’explosa pas. J’avançai alors doucement vers les hommes qui nous avaient enfermés. Ils n’osèrent pas approcher.

-Cours ! Hurlai-je en parlant à Emilie.

Elle partit en courant le plus vite possible. Je continuai mon chemin vers les hommes qui partirent en direction d’une autre voiture. Ne voulant pas les laisser s’échapper, je lançai la bombe sur la fameuse voiture. Le contact entre celles-ci fit tout exploser, entrainant les hommes dans l’explosion et me soufflant au passage, me balayant en l’air pour qu’enfin j’atterrisse sur le par-brise d’une voiture plus loin. Puis je retombai par terre inconscient. Quelques personnes passant par là me virent et m’emmenèrent directement à l’hôpital où je me fais actuellement soigné.

Mes flashs s’arrêtèrent, les médecins et infirmières continuaient de me soigner. Cela me faisant sentir mille douleurs horribles. Puis je m’évanouis...

Je me réveillai alors, avec d’atroces douleurs sur tout mon corps. Je ne m’étais pas encore vu. Mais bizarrement, je ne sentais plus mes jambes. C’était quand j’essayai de les bouger que je compris, j’étais paralysé mais pire que ça mon coeur me faisait mal, très mal... C’était comme si, il pouvait s’arrêter à tout moment. J’eus alors la surprise de ma vie... Emilie arriva, mais elle ne devait pas être seule car son ventre... Il était joliment rond. Vous n’imaginez pas mon étonnement, mais depuis combien de temps est-ce que je dormais ? Je n’eus pas le temps de lui demander qu’elle sauta dans mes bras. Elle pleurait de joie.

-Emilie... Comment vas-tu ?
-Eh bien, très bien, mais c’est toi qui m’inquiète... Répondit-elle.
-Ne t’en fais pas, mais au fait... Tu es enceinte ! Et depuis longtemps j’ai l’impression...
-Oui... Et le père... C’est toi... Bafouilla-t-elle.
-Que... Quoi ! Criai-je.
-Oui et ça fait... six mois.
-Six mois ! Je suis resté endormi pendant... Six mois...
-Oui... Mais maintenant tu es revenu et c’est ce qui compte !

Quelqu’un toqua, c’était une infirmière. Elle entra.

-Excusez-moi... Je viens d’apprendre votre réveil et j’ai une bonne et une mauvaise nouvelle à vous annoncer...
-Je vous écoute...
-Eh bien, quand vous êtes arrivé, nous vous avons tout de suite pris en charge mais un morceau de verre était coincé près de votre coeur. Ce morceau l’a endommagé. La bonne nouvelle est que l’on vous l’a retiré... La mauvaise est qu’il vous reste à peine un an à vivre... Je suis sincèrement désolé...

Emilie fondit en larme, moi j’accusai le coup... Il me restait un an et je le passerais heureux avec elle. J’aurais au moins le temps de connaitre l’amour et.... La joie d’être père.

L’année passa très vite... Emilie et moi décidâmes de nous marier... Ce que nous fîmes. Jérémy junior naquît. Emilie voulait l’appeler ainsi en l’honneur de son père qui avait sauvé sa mère. J’eus le temps de le connaitre quelques mois puis vins ce jour...

J’étais assis près de la cheminée de notre maison... Lisant un livre. Emilie était près de moi. C’est alors que je sentis un mal énorme. Ma femme vint me voir presque immédiatement.

-Est-ce que ça va ? Demanda-t-elle.
-Je crois que c’est le moment... Affirmai-je.
-Oh... Non... Pleura-t-elle.
-Ecoute-moi... Je veux que tu vives heureuse... Tu as désormais une famille,occupe-toi bien de Jérémy J. Fais-le devenir quelqu’un de bien... Et surtout vis ta vie.... Heureuse....
-Je ferais tout cela... Et Jérémy... Sache une chose... Avant que tu ne me quittes...

Elle pleura de plus belle.

-Sache que toi aussi... Tu étais quelqu’un de bien...

Je choisis ce moment pour sourire, ce qui était la première fois depuis 9 ans. Je me rassis mieux dans mon fauteuil et je fermai les yeux, repassant les plus beaux moments de ma vie... Et surtout la plus belle année de toutes, celle avec Emilie...
C’est là que s’arrêta mon histoire... Je mourus... Heureux...

Emilie, quant à elle. Devint une mère affectueuse pour Jérémy J. qui grandit très vite. Elle ne se remaria pas, gardant son amour fidèle jusqu’à sa mort à l’âge de 76 ans... Jérémy J. devint quelqu’un de bien... Il se maria avec une certaine Camille et il eut trois enfants qu’il appela : Tristan, Elise et Felix... Il créa plusieurs associations visant à aider les gens dans le besoin et les malades sans argent... Il mourut à l’âge de 68 ans emporté par un cancer...

----------------------------------------------------------------------

Si vous voyez des fautes n'hésitez pas à me le dire %) et si vous le voulez bien, donnez votre avis %)
Article ajouté le Mercredi 01 Septembre 2010 à 14h25 | |

Commentaires

Chargement...