
Si vous voulez commentez, faut plus le faire ici mais directement sur le site. Ma fic a été validée (mon pseudo est le même sur l'em), donc c'est que c'est pas trop mal.
Doit y avoir des fautes, vu que j'ai pas vraiment fait attention. Bref, j'ai eu un peu peur, au début, en m'engageant sur des histoires d'économies et tout le bataclan. Je m'y connais pas vraiment, quoi! Et puis j'ai bien peur que ça finisse comme A Corps Perdu: un projet trop ambitieux pour moi.Cela va faire quelques années maintenant. Même un bout de temps. Mais je m'en souviens encore clairement, comme si je l'avais vécu hier. C'est quelque chose qui vous marque à vie. Une aventure comme celle-là, ça vous forge un caractère. Je m'en souviens encore, même si j'ai quelques fois du mal à me souvenir comment nous en sommes arrivé là.
Un étrange groupuscule ce faisant appelé la Team Alpha s'était approprié le contrôle de notre cher petite île d'Hoenn. Le gouvernement en place à ce moment fut maintenu, mais dirigé par ces hommes inconnus. Notre île fut complètement coupé du reste du monde, nous qui étions déjà si isolé. La Team Alpha avait gelé les relations avec les régions du continent. Mais personne n'avait rien à y redire. Ils avaient su endormir notre vigilance avec leurs beaux discours.
« Nous vous garantissons un monde de paix! Votre sécurité sera notre priorité! Ensemble, nous allons bâtir un monde sans crainte, ou chaque homme et chaque Pokémon aura sa place! »
Les plus sceptiques ont finalement cédé aux douces paroles de ces démagogues. Moi aussi, je pensais qu'ils ne voulaient que notre bien. Vous vous demandez comment des gens ont-ils pu être brouillés aussi facilement? C'est pourtant si simple...
Cette époque était vraiment chaotique. Malgré les progrès fulgurants de la technologie, l'économie en chute dictait leur vie aux habitants, soumis à de grandes entreprises comme la Devon Sarl ou encore la Sylphe Sarl qui se disputaient le monopole commercial sans se soucier des répercutions que cela pouvait entrainer. Ajouté à ça, l'arrivée de Pokémons aux comportements bizarres, qui attaquaient des villes et détruisaient tous sur leur passage. Au final, le peuple était terrorisé et ruiné. Plus personne n'avait le courage de lutter contre ce chaos ambiant.
Alors, oui. Nous avons crus en ce groupe car nous pensions qu'il était notre dernier espoir. Et ils ont su nous prouver que leurs paroles n'étaient pas que de fous rêves utopiques. En isolant notre île, la Devon Sarl est devenu l'entreprise la plus influente sur la région car la concurrence avait disparu. L'économie de l'île était au beau fixe. La Team Alpha avait aussi mis un système de protection des civils très au point: des boucliers protégeaient les villes et ceux qui le désiraient pouvaient s'en procurer un contre un impôts supplémentaire.
VoilàNom du projet: Milotix Flame
Résumé :
Un peu partout dans le pokémonde, des adolescents ne choisissent pas la voie du dressage: ils ont décidé d'apprendre quelque chose de totalement différent : se défendre seuls, par toutes sortes de moyens...
Ces adolescents se regroupent dans une région peu connue d'un grand nombre de personnes : Galladia. Ils y forment des équipes dans différentes guildes.
Lucy, jeune fille ayant choisi cette vocation, va se rendre dans cette région pour son entraînement. Ce qu'elle ne sait pas, c'est ce qui se trame dans les tréfonds de Galladia...
Mouais... c'est ça le souci ^o^Artémis R a écrit :
Oceanyx
Mouais, pas beaucoup d'éléments pomonesques là-dedans. Tu pourrais faire un bon truc, mais j'aimerais beaucoup avoir un début de prologue ou de chapitre pour pouvoir constater de moi-même.
C'est ce que j'avais fait mais on m'a dit que dans mon scénario, il y avait d'avantage d'éléments de Beyblade que de Pokémon (on a plus l'impression que des personnages de Pokémon ont été " collés " dans l'univers de Beyblade).Artémis R a écrit :Maski
En vu de ton edit, je ne vais faire un commentaire que sur ta nouvelle idée.
Pour moi, ce scénario n'est pas assez approfondi, il faudrait plutôt exploiter des points communs entre les deux séries. Par exemple, tu peux renfermer des Pokémons dans des toupies spéciales au lieu de créatures légendaires.
merci d'avanceBang!
Il faut toujours qu’il y ait quelque chose qui cloche, en l’occurrence, ce qui clochait, c’était le pneu de cette roue de vélo, celle d’en arrière, bien entendu. Son propriétaire jura, soupira et regarda un moment la roue, comme s’il espérait que cette dernière se répare d’elle-même. En tout temps, une crevaison c’est un manque de chance, mais au beau milieu de nulle-part, seul et surtout sur cette foutue roue arrière, ce n’était plus de la malchance, c’était autre chose, de pire. Comme la roue ne se réparait toujours pas, son propriétaire, un jeune homme, entreprit de lui administrer lui-même les premiers soins. Il se nommait Dan, Dan terrien, 16 ans à peine et il venait tout juste de ce lancer dans ce que beaucoup d’autres jeunes ont fait avant lui : un long périple loin de chez lui, histoire de voir à quoi le reste du monde ressemble, connaissance d’autant plus précieuse que Dan vivait dans un village plutôt « paumé » selon l’expression populaire. Dans son cas, il avait simplement opté pour un banal voyage à vélo de deux mois –la durée de ces vacances scolaire-, un simple tour à vélo de quelques centaines de kilomètres… rien de plus… Juste faire le tour de sa région natale, Neweo, et revenir ensuite… 2 heures seulement après le grand départ, voilà que la poisse le frappait au beau milieu de l’immense forêt qui sépare Bernier, le village perdu où Dan avait vu le jour et grandi, de Bengo-ville, la ville la plus proche. Après un autre soupir, Dan décrocha ses bagages et les déposa près de lui pour en sortir une boite à outil, outil de vélo, s’entend. Avec des gestes d’expert, entre deux soupirs exaspérés, il entreprit de démonter la roue, puis le pneu et constata les dégâts : chambre à air foutue. Un autre juron sonore, un autre soupir… Dan jeta un regard autour de lui pour trouver la cause de ce désastre et fini par trouver le coupable : une pierre coupante de la taille d’un dé à coudre qui gisait dans l’herbe. Il fallait beaucoup de malchance pour tomber dessus… Dan lui jeta un regard noir avant de la lancer au loin. Il poussa un autre soupir, qui l’aurait sûrement exaspéré encore plus qu’il ne l’était déjà si quiconque d’autre l’avait poussé et se tourna vers sa monture blessée dans le but de continuer son ouvrage. Il chercha un moment des yeux son démonte-pneu avant de l’apercevoir quelques mètres plus loin… dans la gueule du goupix qui l'avait chapardé!
Alors... J'ai corrigé en rouge les fautes majeures. Déjà, tu confonds "ce" et "se". Ensuite, tu utilise parfois des expressions à la syntaxe douteuse ("celle d'en arrière", wtf ?), fais attention que ce que tu écrives reste clairement compréhensible, de sorte que le lecteur n'ait pas à relire trois fois pour comprendre le sens de la phrase. Ah, et quand tu écris des chiffres, fais-le en lettres. Les nombres après, c'est plus tolérable.Bang!
Il faut toujours qu’il y ait quelque chose qui cloche. En l’occurrence, ce qui clochait, c’était le pneu de cette roue de vélo, la roue arrière, bien entendu. Son propriétaire jura, soupira et regarda un moment la roue, comme s’il espérait que cette dernière se répare d’elle-même. En tout temps, une crevaison, c’est un manque de chance, mais au beau milieu de nulle part, seul et surtout sur cette foutue roue arrière, ce n’était plus de la malchance, c’était autre chose, de pire. Comme la roue ne se réparait toujours pas, son propriétaire, un jeune homme, entreprit de lui administrer lui-même les premiers soins. Transition ? Il se nommait Dan, Dan Terrien, 16 ans à peine et il venait tout juste de se lancer dans ce que beaucoup d’autres jeunes ont fait avant lui : un long périple loin de chez lui, histoire de voir à quoi le reste du monde ressemble, connaissance d’autant plus précieuse que Dan vivait dans un village plutôt « paumé » selon l’expression populaire. Dans son cas, il avait simplement opté pour un banal voyage à vélo de deux mois – la durée de ses vacances scolaires -, un simple tour à vélo de quelques centaines de kilomètres… rien de plus… Juste faire le tour de sa région natale, Neweo, et revenir ensuite…
Deux heures seulement après le grand départ, et voilà que la poisse le frappait au beau milieu de l’immense forêt qui sépare Bernier, le village perdu où Dan avait vu le jour et grandi, de Bengo-ville, la ville la plus proche. Après un autre soupir, Dan décrocha ses bagages et les déposa près de lui pour en sortir une boite à outils, outil de vélo, s’entend. Avec des gestes d’expert, entre deux soupirs exaspérés, il entreprit de démonter la roue, puis le pneu et constata les dégâts : chambre à air foutue. Un autre juron sonore, un autre soupir… Dan jeta un regard autour de lui pour trouver la cause de ce désastre et fini par trouver le coupable : une pierre coupante de la taille d’un dé à coudre qui gisait dans l’herbe. Il fallait beaucoup de malchance pour tomber dessus… Dan lui jeta un regard noir avant de la lancer au loin. Il poussa un autre soupir, qui l’aurait sûrement exaspéré encore plus qu’il ne l’était déjà si quiconque d’autre l’avait poussé et se tourna vers sa monture blessée dans le but de continuer son ouvrage. Il chercha un moment des yeux son démonte-pneu avant de l’apercevoir quelques mètres plus loin… dans la gueule du goupix qui l'avait chapardé!
hmm... les fautes, je m'y attendais, donc merciDrayker a écrit : Alors... J'ai corrigé en rouge les fautes majeures. Déjà, tu confonds "ce" et "se". Ensuite, tu utilise parfois des expressions à la syntaxe douteuse ("celle d'en arrière", wtf ?), fais attention que ce que tu écrives reste clairement compréhensible, de sorte que le lecteur n'ait pas à relire trois fois pour comprendre le sens de la phrase. Ah, et quand tu écris des chiffres, fais-le en lettres. Les nombres après, c'est plus tolérable.
la première fois, le «de pire» est probablement de trop, mais c'est un ajout de dernière minute, vu que j,avais le sentiment de ne pas en avoir assez mis... même chose avec les «outil de vélo»Drayker a écrit :J'ai souligné tout ce qui m'a paru correct, mais maladroitement formulé : à la troisième ligne, tu parles pour ne rien dire. Dis simplement que ça dépasse le stade de la malchance/que c'est devenu une malédiction, inutile de rallonger la sauce (même chose avec "outil de vélo", on se doute qu'il va pas sortir un tournevis et une scie). .
il me semble que grammaticalement, c'est correct, mais c'est vrai que information serait plus judicieux, merci encoreDrayker a écrit :Puis, je vérifierais, mais il me semble que connaissance s'emploie préférablement au pluriel, et que c'est une "information" qui peut être précieuse.
choix volontaire et pleinement assumé... le mot soupir reviens régulièrement dans se texte, trait de personnalité de mon personnage...Drayker a écrit :Tu répètes quatre fois "soupirs", dont trois fois accompagnés de "autre". Trouve un synonyme, ça devient lourd à lire
pas à moi, je ne voit vraiment pas en quoi il serait maladroisDrayker a écrit :Le "ouvrage" m'a paru assez maladroit aussi.
c'est pas mécanique de vélo 101 non plusDrayker a écrit :Essaye de rajouter une transition là où je te l'ai signalé en bleu, on s'attendrait à une description des réparations avant celle du garçon.
les séparations entre les paragraphe, c'est pas mon point fort... je suppose que la version finale du texte (d'ici une semaine j'espère) contiendra quelques paragraphe encore un peu long... au moins grâce à vous deux ça en fera un de moinsArtémis R a écrit :Remarque : Il n'y a aucune transition entre certains passages du textes, comme te l'a fait remarquer Drayker.
là on touche plutôt à mon style personnel...Drayker a écrit :Enfin, tu emploies régulièrement des expressions figurées qui peuvent perturber "administrer les premiers soins", "monture blessée", si certes ça apporte de la richesse à ton texte et ton "style", attention à ne pas tomber dans l'excès, ni à rendre la phrase incompréhensible.
c'est sur que c'est court, j'ai juste mis la situation initiale, une page -même un peu moins- sur word. Le côté «pas assez approfondi», je l'avait vu, donc de me le faire confirmer m'aide déjà beaucoupArtémis R a écrit : Ton texte est tout de même assez court, donc difficile de faire un commentaire constructif. Je pense que son plus gros défaut est son énorme manque d'approfondissement, et ce sur quasiment tout les points.
dur de juger d'une idée de récit sur la seule situation initiale... les idées vont et viennent dans ma tête comme ça... là j'en ai eu une et j'ai mis sur papier, littéralement. Après, j'ai constaté à plusieurs reprises que la qualité de mon texte en général était dépendante de mon introduction/situation initiale (selon le type de texte voulu), donc de faire juger cette partie du texte me tiens beaucoup à cœurArtémis R a écrit : Ensuite, l'idée n'est pas si mal, mais elle manque également d'approfondissement. Par exemple, y aurait-il un but quelconque qui provoque cette idée ? Une envie ?
Artémis R a écrit :Bonne chance pour ton recueil de nouvelle