Le Café Littéraire
Re: Le Café Littéraire
En fait, tout dépend de chaque personne.
Certaines comme Malak arrivent à voir loin dans leur scénario, et ne se démotive pas.
D'autres qui parfois se forcent, comme fan-à-tics ou Molly.
Et y en a qui n'arrivent pas à obtenir de résultats cohérents, ou de motivation assez forte.
Certaines comme Malak arrivent à voir loin dans leur scénario, et ne se démotive pas.
D'autres qui parfois se forcent, comme fan-à-tics ou Molly.
Et y en a qui n'arrivent pas à obtenir de résultats cohérents, ou de motivation assez forte.
- fan-à-tics
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Re: Le Café Littéraire
Voir loin dans le scénario n'a rien à voir. On peut très bien se démotiver en voyant loin comme on l'a déjà dit plus haut, parce qu'on prend conscience du boulot à effectuer. On peut aussi voir très loin dans son scénario, mais finalement s'y embourber...Et on peut voir loin dans son scénario, avoir toute l'histoire dans la tête, envie de l'écrire, mais aucune inspiration, motivation pour y arriver.
Comme tu le dis Artémis, ça dépend des gens, mais ça dépend aussi de la situation, quand j'ai perdu un ami en début d'année dernière j'aurais très bien pu arrêter définitivement l'écriture ou le dessin...Il y a aussi des histoires moins graves qui remettent en question, parfois il suffit juste d'un parent qui dit à un repas "Quoi tu en es encore à écrire des histoires ? Mais bon dieu, prend-toi en main c'pas comme ça que tu auras une vie !"...
Et ça suffit.
Malheureusement il n'y a pas de remède miracle pour la motivation et pas de moyen de s'immuniser contre la démotivation.
Ca dépend du caractère, de la situation du monde qui nous entoure, et de nos capacités à endurer ça, à synthétiser ça...A vivre avec simplement. =/
Mais comment on en est venu à se poser une question sur la motivation ici ?
Comme tu le dis Artémis, ça dépend des gens, mais ça dépend aussi de la situation, quand j'ai perdu un ami en début d'année dernière j'aurais très bien pu arrêter définitivement l'écriture ou le dessin...Il y a aussi des histoires moins graves qui remettent en question, parfois il suffit juste d'un parent qui dit à un repas "Quoi tu en es encore à écrire des histoires ? Mais bon dieu, prend-toi en main c'pas comme ça que tu auras une vie !"...
Et ça suffit.
Malheureusement il n'y a pas de remède miracle pour la motivation et pas de moyen de s'immuniser contre la démotivation.
Ca dépend du caractère, de la situation du monde qui nous entoure, et de nos capacités à endurer ça, à synthétiser ça...A vivre avec simplement. =/
Mais comment on en est venu à se poser une question sur la motivation ici ?
~~Yosh !!~~
C'est pas juste ! C'est toujours mes persos préférés qui crèvent les premiers dans les histoires ! Tous ensemble luttons contre le sadisme des auteurs envers nos persos favoris ! conscience : Dans ce cas, tous sur elle !
*fan-à-tics se retrouve attachée à un pauvre poteau électrique dans la cambrousse*
- Malak
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Re: Le Café Littéraire
Ce que je voulais dire en disant qu'une incohérence est plus facile à corriger dans une fic courte, bah c'est que tu peux carrément réecrire le passage voir le chapitre entier pour la corriger sans trop faire de vague pour la suite. Alors que dans une fic à 100 chapitres, corriger une incohérence du début sans tout chambouler, c'est quasi mission impossible.
Puis au pire, dans une fic à 3 chapitres, si l'incohérence est trop grosse et irréparable, tu réecris tout. Plus les fics sont courtes, plus tu as de possibilités de la recommencer pour l'améliorer.
Puis au pire, dans une fic à 3 chapitres, si l'incohérence est trop grosse et irréparable, tu réecris tout. Plus les fics sont courtes, plus tu as de possibilités de la recommencer pour l'améliorer.
Le seul dieu dont j'accepte le joug est la raison.
Re: Le Café Littéraire
Le Café Littéraire n'est-il pas fait pour discuter de choses comme celles-ci ?fan-à-tics a écrit :Mais comment on en est venu à se poser une question sur la motivation ici ?
- fan-à-tics
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Re: Le Café Littéraire
C'est vrai qu'il y a une différence entre réécrire 3 chapitres et en réécrire 100...Désolée, ça me semble tellement impensable de réécrire un chapitre déjà publié que je n'y avais pas songé du tout...J'ai pour habitude de me dire ce qui est publié, est foutu. On peut corriger les fautes, rajouter deux, trois descriptions en plus, et quand on s'est foiré pour une couleur de cheveux/yeux, un nom d'attaque, un surnom de pokémon...on peut...Mais réécrire le chapitre parce qu'on s'est foiré dans le scénario...
En même temps avec mes scénario, tu bouges un seul truc et tout tombe à l'eau
°
...Certes, le café littéraire c'est pour se poser des questions sur l'écriture, mais il me semblait qu'un débat du même genre avait été posté dans une autre rubrique ici, alors je m'étonnais que le débat déménage d'un topic à un autre.
En même temps avec mes scénario, tu bouges un seul truc et tout tombe à l'eau

...Certes, le café littéraire c'est pour se poser des questions sur l'écriture, mais il me semblait qu'un débat du même genre avait été posté dans une autre rubrique ici, alors je m'étonnais que le débat déménage d'un topic à un autre.
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C'est pas juste ! C'est toujours mes persos préférés qui crèvent les premiers dans les histoires ! Tous ensemble luttons contre le sadisme des auteurs envers nos persos favoris ! conscience : Dans ce cas, tous sur elle !
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Re: Le Café Littéraire
Dans quelle autre rubrique ? Car quand j'ai lancé la question, je peux t'assurer que ça m'est venu spontanément 

- Océanyx
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Re: Le Café Littéraire
Une question m'est venue à l'esprit...
Quels sont le(s) objectif(s) pricipal(aux) de vos "méchants" ? Et de vos héros ?
Pour moi, oubliez-les "je veux devenir le maître de la région" ou "je veux devenir le meilleur dresseur" etc...
Pour mes méchants, je recherche une certaine originalité... Pour l'une de mes fics par exemple, le méchant n'est pas celui que l'on croit et veut simplement REprendre son titre de maître par tout les moyens.
Mes héros ont des buts différents, cela va du pokévollaneaux (qui change après à la découverte de ce que mijote le méchant) à la recherche d'un disparu ou encore la survie dans un monde de Chaos.
Et vous ?
Quels sont le(s) objectif(s) pricipal(aux) de vos "méchants" ? Et de vos héros ?
Pour moi, oubliez-les "je veux devenir le maître de la région" ou "je veux devenir le meilleur dresseur" etc...
Pour mes méchants, je recherche une certaine originalité... Pour l'une de mes fics par exemple, le méchant n'est pas celui que l'on croit et veut simplement REprendre son titre de maître par tout les moyens.
Mes héros ont des buts différents, cela va du pokévollaneaux (qui change après à la découverte de ce que mijote le méchant) à la recherche d'un disparu ou encore la survie dans un monde de Chaos.
Et vous ?


Spoiler :
Re: Le Café Littéraire
j'essaye moi aussi d'avoir des antagonistes à échelle humaine mais je ne peux pas trop les présenter sans dévoiler l'intrigue...
; j'essaye de les rendre suffisamment froids et cruels pour être des "méchants" mais je leur donne un visage humain sans pour autant chercher à apitoyer le lecteur. oui, le méchant aime les spaghettis, mais il n'en reste pas moins le méchant (si je puis m'exprimer ainsi).

Re: Le Café Littéraire
Mes héros préférés sont justement les anti-héros : le héros est le méchant, ses ennemis sont les gentils...
Mais dans l'univers de la littérature, il n'y a jamais de vrais gentils ou de vrais méchants. On peut voir un gentil qui, un jour, fasse un truc par pure méchanceté, et inversement pour les méchants. Ainsi, les termes "gentils" et "méchant" sont pour moi assez superficiels. Et même en fanfic, j'ai du mal à faire de mon gentil un vrai gentil.
Et heureusement, car avoir un Gary-Stue en guise de héros fait d'un roman un truc hyper-lassant.
Mais dans l'univers de la littérature, il n'y a jamais de vrais gentils ou de vrais méchants. On peut voir un gentil qui, un jour, fasse un truc par pure méchanceté, et inversement pour les méchants. Ainsi, les termes "gentils" et "méchant" sont pour moi assez superficiels. Et même en fanfic, j'ai du mal à faire de mon gentil un vrai gentil.
Et heureusement, car avoir un Gary-Stue en guise de héros fait d'un roman un truc hyper-lassant.
- Malak
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Re: Le Café Littéraire
Tout cela est véridique; si tu essais de rapprocher ta fic du monde réel, y'a jamais du tout blanc ou du tout noir, mais beaucoup de gris.
Cela étant, les lecteurs aiment aussi les méchants charismatiques qui sont l'archétypes même du méchant très méchant qui veut conquérir le monde et le plonger dans les ténèbres etc etc... Je pense à certains poids lours de la littérature fantasy, genre Lord Voldemort ou Sauron, deux Seigneurs des Ténèbres en force.
Moi j'essaie toujours de caser minimun un méchant que j'apellerai "idéaliste", c'est à dire qu'il fait un truc parce qu'il croit que c'est la meilleure chose à faire, mais use pour cela de méthodes pôooooo bien. Puis je mets quand même un méchant "cliché", car mes écrits sont des récits d'aventures assez long, donc il en faut minimun un.
Mais on peut s'amuser à lister les différentes sortes de méchants :
-Les méchants "maître du mal" ( Voldemort, Empereur Palpatine )
-Les méchants "déchus" ( les gentils qui deviennent méchants, genre Vador )
-Les méchants "traîtres" ( Saroumane )
-Les méchants "idéalistes" ( N dans Pokemon, Kira dans Death Note )
-Les méchants "génie du mal" (Giovanni par exemple )
-Les méchants "cosmique" ( ceux qui aspirent à la déification, Hélio, Aizen dans Bleach...)
-Les méchants "pour rire" ( Jessie, James et Miaouss sont les plus indiqués
)
Cela étant, les lecteurs aiment aussi les méchants charismatiques qui sont l'archétypes même du méchant très méchant qui veut conquérir le monde et le plonger dans les ténèbres etc etc... Je pense à certains poids lours de la littérature fantasy, genre Lord Voldemort ou Sauron, deux Seigneurs des Ténèbres en force.
Moi j'essaie toujours de caser minimun un méchant que j'apellerai "idéaliste", c'est à dire qu'il fait un truc parce qu'il croit que c'est la meilleure chose à faire, mais use pour cela de méthodes pôooooo bien. Puis je mets quand même un méchant "cliché", car mes écrits sont des récits d'aventures assez long, donc il en faut minimun un.
Mais on peut s'amuser à lister les différentes sortes de méchants :
-Les méchants "maître du mal" ( Voldemort, Empereur Palpatine )
-Les méchants "déchus" ( les gentils qui deviennent méchants, genre Vador )
-Les méchants "traîtres" ( Saroumane )
-Les méchants "idéalistes" ( N dans Pokemon, Kira dans Death Note )
-Les méchants "génie du mal" (Giovanni par exemple )
-Les méchants "cosmique" ( ceux qui aspirent à la déification, Hélio, Aizen dans Bleach...)
-Les méchants "pour rire" ( Jessie, James et Miaouss sont les plus indiqués

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Re: Le Café Littéraire
pas mal vus les archétypes des antagonistes !
- Pokéclément
- Légende Pokébipienne
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Re: Le Café Littéraire
²MollyGrue a écrit :pas mal vus les archétypes des antagonistes !
Tu as le démon de la lecture au corps, Malak *_*
- Malak
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Re: Le Café Littéraire
C'est vrai. Ma chambre est remplie de romans de fantasy. Mais c'est par la lecture que l'imagination se forge.
Et les méchants, c'est pour moi l'une des causes déterminantes de la bonne réussite d'un roman fantasy ou pas, même plus que le héros.
Et sympa le lien wiki avec tous ces exemples. Comme quoi, y'a bien plus de catégories que celles que j'ai cité. Je pense même que c'est pas universel, qu'on peut en trouver d'autres. La quête de la création absolue de la méchanceté est éternelle
Et les méchants, c'est pour moi l'une des causes déterminantes de la bonne réussite d'un roman fantasy ou pas, même plus que le héros.
Et sympa le lien wiki avec tous ces exemples. Comme quoi, y'a bien plus de catégories que celles que j'ai cité. Je pense même que c'est pas universel, qu'on peut en trouver d'autres. La quête de la création absolue de la méchanceté est éternelle

Le seul dieu dont j'accepte le joug est la raison.
Re: Le Café Littéraire
J'aime bien le double maléfique et le méchant par obligation.
Mais le méchant peut-il être méchant juste parce qu'il aime ça ? Sans intérêt particulier à part le goût de la méchanceté ?
Mais le méchant peut-il être méchant juste parce qu'il aime ça ? Sans intérêt particulier à part le goût de la méchanceté ?
- Malak
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Re: Le Café Littéraire
Dans ce cas, ce genre de méchant se classerait plus dans la catégorie "pour rire". Les méchants qui sont méchants juste parce qu'être méchant, c'est stylé, bah ils doivent pas faire parti d'un récit bien sérieux ou dramatique 

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Re: Le Café Littéraire
ou alors c'est des sadiques et des psychopathes...
et puis la méchanceté peut être "gratuite", "par ennui", ça rend l'antagoniste encore plus horrible aux yeux des protagonistes ou du lecteur
et puis la méchanceté peut être "gratuite", "par ennui", ça rend l'antagoniste encore plus horrible aux yeux des protagonistes ou du lecteur
- Malak
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Re: Le Café Littéraire
Non, pour moi, ça le rendrait plus pitoyable seulement. "Je suis méchant parce que j'ai rien d'autre à foutre et parce que ça me plait" oula oula
Les tarés et psychopathes, passe encore si ils n'ont pas de raisons, encore que la folie est une raison en soi, si tant est qu'on explique pourquoi ce gars est taré. Les méchants deviennent souvent ce qu'ils sont en raison d'un passé traumatisant ou ce genre de chose.
Mais un vrai bon méchant doit quand même avoir un but ou une raison autre que le fait d'être méchant pour seulement pour être méchant.

Les tarés et psychopathes, passe encore si ils n'ont pas de raisons, encore que la folie est une raison en soi, si tant est qu'on explique pourquoi ce gars est taré. Les méchants deviennent souvent ce qu'ils sont en raison d'un passé traumatisant ou ce genre de chose.
Mais un vrai bon méchant doit quand même avoir un but ou une raison autre que le fait d'être méchant pour seulement pour être méchant.
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Re: Le Café Littéraire
Ah non pas du tout. Attention : un personnage "fou" ne répond pas aux critères que l'on a : il n'a pas de "raisons" pour ses agissements, du moins dans la majorité des cas pas de raisons intelligibles par un esprit "normal" (c'est d'ailleurs comme ça qu'on reconnaît un fou, il agit de manière incompréhensible).Malak a écrit :Les tarés et psychopathes, passe encore si ils n'ont pas de raisons, encore que la folie est une raison en soi, si tant est qu'on explique pourquoi ce gars est taré. Les méchants deviennent souvent ce qu'ils sont en raison d'un passé traumatisant ou ce genre de chose..
Un méchant psychopathe n'a pas de sentiments/remords, généralement pas d'éthique non plus. Idem pour le sadisme, et ce sont dans la majorité des cas des pathologies présentes à la naissance (on ne devient pas psychopathe...).
Et pour revenir au sujet de départ, à mon sens, la notion elle-même de méchant est biaisée : une histoire a bien des antagonistes, mais s'ils sont "méchants pour que le héros ait une Nemesis", ça en devient lassant. Je préfère les opposants qui ont une raison valable, compréhensible, du moins de leur point de vue (genre le mec qui veut détruire l'humanité parce qu'en fait, on est que des connards égoïstes, à mon sens, c'est pas de la méchanceté).
Par contre si y'a un truc que t'as dit et que je déconseille absolument aux auteurs débutants, c'est le "je suis méchant parce qu'en fait j'ai vécu un traumatisme X dans la période Y de ma vie, donc en fait je suis pas vraiment méchant". Ça fait vraiment le genre d'auteur qui n'assume pas son personnage : tu veux faire un enfoiré de première, vas-y, travaille sa méchanceté pour la rendre crédible plutôt que de faire en sorte qu'on ait pitié de lui.
- Malak
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Re: Le Café Littéraire
Je voulais dire que même pour un fou, y'a toujours une raison à sa folie, si la raison de ses agissements, c'est justement parce qu'il est fou
Ce genre de méchants sont les méchants les plus recherchés psychologiquement, et selon moi les plus intéressants à lire.

Là, c'est moi qui ne suis pas d'accord. Certes, on peut aimer ou ne pas aimer ce genre de méchant, mais je ne vois pas en quoi ça fait auteur qui n'assume pas son méchant. Sa ajoute au contraire une dimmension humaine et réaliste au méchant. Citons par exemple le Double Face du film Batman : The Dark Knight, qui est devenu fou et méchant suite à la mort de sa fiancée. Sa chute vers le "coté obscur" et parfaitement oeuvrée et ajoute un grand poid au personnage. Et il y en a plein d'autre du même accabit, au charisme bien plus élevé qu'un simple méchant qui serait devenu méchant parce qu'il le voulait bien : Dark Vador dans SW, Gollum dans le SDA, l'Empereur des Digimon dans la saison 2 de Digimon, et pleins d'autres dans diverses oeuvres de la littérature fantasy.Drayker a écrit : Par contre si y'a un truc que t'as dit et que je déconseille absolument aux auteurs débutants, c'est le "je suis méchant parce qu'en fait j'ai vécu un traumatisme X dans la période Y de ma vie, donc en fait je suis pas vraiment méchant". Ça fait vraiment le genre d'auteur qui n'assume pas son personnage : tu veux faire un enfoiré de première, vas-y, travaille sa méchanceté pour la rendre crédible plutôt que de faire en sorte qu'on ait pitié de lui.
Ce genre de méchants sont les méchants les plus recherchés psychologiquement, et selon moi les plus intéressants à lire.
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