
[Topic Unique] Lyrical or Lyrics?
Re: [Topic Unique] Lyrical or Lyrics?
Les commentaires, c'est sur le bar ; puis même pour ça, autant ne rien dire 
J'édit ce post avec l'ID
EDIT :
Hum.
Attendez, mauvais flashback. Non, je ne m'appelle pas Marcel.
Hum.
*bzzt*
Je disais donc ; un grand homme m'a dit un jour "Quand la neige tombe sur les monts, il fait froid dans les vallées..". Je comprends à présent l'étendue de ce proverbe ; je vous explique. En pleine randonnée pédestre par un jour de neige sur un énorme iceberg flottant sur la banquise, répondant au doux nom de Tit'Han Hikileur, reste d'une ancienne civilisation, je me baladais tranquillement sur cette énorme et vaste étendue glacée perdue au milieu de l'océan, avec pour seuls compagnons qu'une radio, pour me permettre de me faire récupérer à la fin de mon exploration.. J'avais de même un sifflet, pour permettre ma reconnaissance, ainsi qu'un marteau pour briser la glace et une bouteille de volvic vide, pour récupérer quelques échantillons.
C'est ainsi que moi, le courageux Indiana Kev, eût entreprit de découvrir les mystères glacés de cette plaque flottante.
Sauf que là, je me trouve attaché à un stalagmite, gelé jusqu'aux os, entouré d'une bande de Chewbaccas des glaces, poussant des cris gutturaux à la Johnny Hallyday, en train de me regarder de leur yeux avides, tels des bouchers antropophages néo-Sarkozistes, prêts à me sacrifier, juste pour satisfaire leurs envies décadentes de balais-brosses sur pattes !
Oui, je suis énervé et en plein stress. Ca se voit? Ouch! *vient de se faire mordre par une des serpillères sauvages*
Attendez, je vous racont-bleurgh *vient de se faire essuyer la face par un des torchons sauvages*
*pleure*
Tiens, c'est marrant, ils ont les mêmes cheveux qu'Ord-*zbaarf*
*flashback*
En train d'arpenter une pentue pente du glacier, fracassant les pics me gênant sur mon ascension, concentré sur mon objectif, je ne me rendis pas compte avant d'entendre un "CRASH" significatif, que ma radio était tombé de ma poch, et que du coup, ben j'en avais plus.
Après avoir poussé le très fleuri cri de guerre de l'explorateur des banquises ( " Putain de merde de bordel de radio chier !"), je m'étais alors décidé à aller chercher cette objet de communication assez nécessaire pour ma propre survie, au fond du gouffre dans lequel il avait chuté. Sauf que, pas de bol, j'ai glissé. Et quelle glissade, mes aïeux. Heureusement que la pente était lisse, sinon j'aurais fini en tellement de lambeaux qu'on aurait pu que caser entre deux tranches de pain avec de la salade et se faire un joli kebab.
J'atteris donc assez brutalement sur une corniche en contrebas, qui me semblait pourtant assez fine et plutot légère, mais qui résistât pourtant à mon poi,ds combiné à celui de l'équipement.
Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu'en me levant pour crier ma joie, la corniche se fissura, m'entrainant sur son dos dans les profondeurs impalpables du gouffre qui avait accueilli ma radio.
En poussant une hurlement de jeune fillette apeurée, je m'écrasai alors mollement dans la neige, comme une splendide déjection, avant de tenter de me relever de cette mer froide ; peine perdue, mes chaussures semblaient coincées dans ce sable mouvant enneigé ; j'apercevais ma radio, en petits morceaux, sur une plaque à quelques mètres de moi. Je me forçais alors à sortir de cette gangue de glace pour atteindre l'unique objet de ma survie.
Et j'en suis sorti !
Mais pas mes chaussures. C'est donc pieds nus que j'atteignis mon émetteur, qui était complètement ruiné et pour le coup inutilisable. Après un autre cri de l'explorateur blasé, je m'en fus grellotant , pour chercher un abri ou pour errer sans fin jusqu'à que mort s'en suive.
Et ce fut à ce moment que j'aperçus au loin quelque chose qui ressemblais à une plante marronâtre buissoneuse, qui proliférait dans la paroi. Je m'approchais et la testais ; elle était chaude, confortable, comme un bon fauteuil devant un coin de cheminée ; ni une, ni deux, j'agrippais la masse et tirait fortement dessus pour m'en faire de quoi de me réchauffer. C'est alros que retentit une horrible hurlement provenant de sous la masse de cheveux ; et la dernière chose dont je me souviennes, c'est d'avoir vu une dizaine de sosies d'Orda me sauter dessus, avant que je ne m'évanouisses.
*fin flashback*
Et c'est donc à ce poteau glacé que je me suis réveillé, entouré non pas d'hommes à la coiffure Playmobil mais d'espèce de gorilles humanoïdes qui ne connaissent pas la notion de rasage. Ayant enfin retrouvé tout mon bon sens, je me mis en quête d'une solution pour me sortir de cette situation, à la fois comique et flippante. ( Imaginez vous au centre d'une cercle de brosses à WC. Sentez la frustration, l'humiliation, et la peur qui s'empare de vous. Vous n'avez pas peur? Vous mentez.)
N'étant attaché que par le torse, la taille et les jambes, mes bras avaient une lègère liberté de mouvement ; je sentais mon sifflet dans ma poche, et ma bouteille de Volvic dans l'autre, et mon marteau était toujours attaché à ma ceinture. La tribu, que décidais de nommer Ougah-Glagla, d'une part par le frid qui régnait ici, et d'autre par leur langage extrêmement varié, qui se limitait à "Ougah", effectuait une danse étrange, qui consistait à se secouer dans tous les sens, ce qui eût pour conséquence de me couvrir petit à petit de neige. Alors, pris par la folie ou par un éclair d'extrême intelligence, je tirais mon sifflet de ma poche, et soufflait d'un coup sec à l'intérieur. Les Ougah se figèrent, et me regardèrent. Je leur fis mon plus beau sourire. Eux aussi. Et ils se ruèrent sur moi. Ni une, ni deux, je resoufflais aussi sec, en priant Chuck Norris que ceci calme leur rage. Et, bien sûr, ils restèrent enragés. Sauf que cette fois, ils ne voulaiuent pas m'agresser ; ils cherchaient à s'échapper à eux mêmes, les cheveux/poils des uns attaquant les autres, sans aucune logique apparente. Je regardais la scène, incrédule, puis mon sifflet. Je me mis à souffler une nouvelle fois ; le massacre cessa, et les Ougah restants qui ne s'était pas encore entretués se mirent à danser la Macarena, animés par leurs propres compagnons capillaires.
En riant, je tentais alors de me détacher, devant les yeux emplis de rage de mes ennemis impuissants, en frottant mes cordes sur la stalagmite qui me tenait prisonnier. Ceci fait, pour m'amuser, je ressouflais un coup dans mon sifflet. Fatal error. Aussitôt qu'ils eurent arrêter de danser, ils se ruèrent sur moi. Je sortis alors mon marteau, et tel le dieu Thor surpuissant, j'entrepris de ruiner le crâne de ces touffes sur pattes ; ce fut une hécatombe affreuse, de laquelle je me sortis pourtant. J'ai ensuite attaché quelques survivants au stalagmite, avant de réfléchir a comment m'enfuir d'ici. J'entendis au loin le bruit des pales d'un hélicoptère. Ni une ni deux, je fis la chose la plus stupide qu'il m'eût été donnée de faire dans cette aventure ; je pris les touffes des Ougah morts et les mit dans la bouteille de volvic. Je pris ensuite un long cheveu, extrèmement solide, que j'attachais au bout de la bouteille. Ainsi, avec la masse des cheveux et le mouvement de rotation imprimé par le long cheveu, que je balancais au bout de mon bras impirmait une force centrifuge qui comprimait la masse chevelue au fond de la bouteille. J'aperçus non loin au dessus de moi l'hélicoptère qui tatonnait dans les étendues glacées. J'envoyais alors la bouteille dans les airs ; elle monta haut, et le relâchement de pression permit aux cheveux de sortir par le goulot, entrainant l'apparition d'un très visible marque dans le ciel. L'hélicoptère la remarqua heureusement, et c'est ainsi que je pus rentrer chez moi..
Aujourd'hui, je vis aisément, en tant que maître du textile de BipVille. Avec leurs cheveux qui repoussent instantanément, ces Ougah font des outils de choix pour la fabrication de vêtements laineux en tout genre. ( Surtout que personne n'est au courant de leur existence.)
Et puis, je pouvais aussi à présent éliminer tous mes ennemis... J'ai récemment envoyé à mes chers Dr.Snap et Ordairu des écharpes en laine, accompagnées chacune d'une réplique exacte de mon sifflet. Et je leur ai laissé un petit mot : " Mettez les autour de votre cou pour vous réchauffer, et jouez donc un air de musique.."
J'en connais dont la soirée va être mouvementée...
Fin.
Diantre, ça faisait longtemps, j'ai du perdre du level

J'édit ce post avec l'ID

EDIT :
Fraîcheur Divine ! Hollywood Chewing-Gum ! *zbaarf*
Un grand homme m'a dit un jour " Hé Marcel, si tu veux une bonne andouilette, t'as qu'à découper Saz' en rondelles!"
"Mais non, découper Snap, c'est mieux !"
"Mais non, découper Snap, c'est mieux !"
Hum.
Attendez, mauvais flashback. Non, je ne m'appelle pas Marcel.
Hum.
*bzzt*
Je disais donc ; un grand homme m'a dit un jour "Quand la neige tombe sur les monts, il fait froid dans les vallées..". Je comprends à présent l'étendue de ce proverbe ; je vous explique. En pleine randonnée pédestre par un jour de neige sur un énorme iceberg flottant sur la banquise, répondant au doux nom de Tit'Han Hikileur, reste d'une ancienne civilisation, je me baladais tranquillement sur cette énorme et vaste étendue glacée perdue au milieu de l'océan, avec pour seuls compagnons qu'une radio, pour me permettre de me faire récupérer à la fin de mon exploration.. J'avais de même un sifflet, pour permettre ma reconnaissance, ainsi qu'un marteau pour briser la glace et une bouteille de volvic vide, pour récupérer quelques échantillons.
C'est ainsi que moi, le courageux Indiana Kev, eût entreprit de découvrir les mystères glacés de cette plaque flottante.
Sauf que là, je me trouve attaché à un stalagmite, gelé jusqu'aux os, entouré d'une bande de Chewbaccas des glaces, poussant des cris gutturaux à la Johnny Hallyday, en train de me regarder de leur yeux avides, tels des bouchers antropophages néo-Sarkozistes, prêts à me sacrifier, juste pour satisfaire leurs envies décadentes de balais-brosses sur pattes !
Oui, je suis énervé et en plein stress. Ca se voit? Ouch! *vient de se faire mordre par une des serpillères sauvages*
Attendez, je vous racont-bleurgh *vient de se faire essuyer la face par un des torchons sauvages*
*pleure*
Tiens, c'est marrant, ils ont les mêmes cheveux qu'Ord-*zbaarf*
*flashback*
En train d'arpenter une pentue pente du glacier, fracassant les pics me gênant sur mon ascension, concentré sur mon objectif, je ne me rendis pas compte avant d'entendre un "CRASH" significatif, que ma radio était tombé de ma poch, et que du coup, ben j'en avais plus.
Après avoir poussé le très fleuri cri de guerre de l'explorateur des banquises ( " Putain de merde de bordel de radio chier !"), je m'étais alors décidé à aller chercher cette objet de communication assez nécessaire pour ma propre survie, au fond du gouffre dans lequel il avait chuté. Sauf que, pas de bol, j'ai glissé. Et quelle glissade, mes aïeux. Heureusement que la pente était lisse, sinon j'aurais fini en tellement de lambeaux qu'on aurait pu que caser entre deux tranches de pain avec de la salade et se faire un joli kebab.
J'atteris donc assez brutalement sur une corniche en contrebas, qui me semblait pourtant assez fine et plutot légère, mais qui résistât pourtant à mon poi,ds combiné à celui de l'équipement.
Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu'en me levant pour crier ma joie, la corniche se fissura, m'entrainant sur son dos dans les profondeurs impalpables du gouffre qui avait accueilli ma radio.
En poussant une hurlement de jeune fillette apeurée, je m'écrasai alors mollement dans la neige, comme une splendide déjection, avant de tenter de me relever de cette mer froide ; peine perdue, mes chaussures semblaient coincées dans ce sable mouvant enneigé ; j'apercevais ma radio, en petits morceaux, sur une plaque à quelques mètres de moi. Je me forçais alors à sortir de cette gangue de glace pour atteindre l'unique objet de ma survie.
Et j'en suis sorti !
Mais pas mes chaussures. C'est donc pieds nus que j'atteignis mon émetteur, qui était complètement ruiné et pour le coup inutilisable. Après un autre cri de l'explorateur blasé, je m'en fus grellotant , pour chercher un abri ou pour errer sans fin jusqu'à que mort s'en suive.
Et ce fut à ce moment que j'aperçus au loin quelque chose qui ressemblais à une plante marronâtre buissoneuse, qui proliférait dans la paroi. Je m'approchais et la testais ; elle était chaude, confortable, comme un bon fauteuil devant un coin de cheminée ; ni une, ni deux, j'agrippais la masse et tirait fortement dessus pour m'en faire de quoi de me réchauffer. C'est alros que retentit une horrible hurlement provenant de sous la masse de cheveux ; et la dernière chose dont je me souviennes, c'est d'avoir vu une dizaine de sosies d'Orda me sauter dessus, avant que je ne m'évanouisses.
*fin flashback*
Et c'est donc à ce poteau glacé que je me suis réveillé, entouré non pas d'hommes à la coiffure Playmobil mais d'espèce de gorilles humanoïdes qui ne connaissent pas la notion de rasage. Ayant enfin retrouvé tout mon bon sens, je me mis en quête d'une solution pour me sortir de cette situation, à la fois comique et flippante. ( Imaginez vous au centre d'une cercle de brosses à WC. Sentez la frustration, l'humiliation, et la peur qui s'empare de vous. Vous n'avez pas peur? Vous mentez.)
N'étant attaché que par le torse, la taille et les jambes, mes bras avaient une lègère liberté de mouvement ; je sentais mon sifflet dans ma poche, et ma bouteille de Volvic dans l'autre, et mon marteau était toujours attaché à ma ceinture. La tribu, que décidais de nommer Ougah-Glagla, d'une part par le frid qui régnait ici, et d'autre par leur langage extrêmement varié, qui se limitait à "Ougah", effectuait une danse étrange, qui consistait à se secouer dans tous les sens, ce qui eût pour conséquence de me couvrir petit à petit de neige. Alors, pris par la folie ou par un éclair d'extrême intelligence, je tirais mon sifflet de ma poche, et soufflait d'un coup sec à l'intérieur. Les Ougah se figèrent, et me regardèrent. Je leur fis mon plus beau sourire. Eux aussi. Et ils se ruèrent sur moi. Ni une, ni deux, je resoufflais aussi sec, en priant Chuck Norris que ceci calme leur rage. Et, bien sûr, ils restèrent enragés. Sauf que cette fois, ils ne voulaiuent pas m'agresser ; ils cherchaient à s'échapper à eux mêmes, les cheveux/poils des uns attaquant les autres, sans aucune logique apparente. Je regardais la scène, incrédule, puis mon sifflet. Je me mis à souffler une nouvelle fois ; le massacre cessa, et les Ougah restants qui ne s'était pas encore entretués se mirent à danser la Macarena, animés par leurs propres compagnons capillaires.
En riant, je tentais alors de me détacher, devant les yeux emplis de rage de mes ennemis impuissants, en frottant mes cordes sur la stalagmite qui me tenait prisonnier. Ceci fait, pour m'amuser, je ressouflais un coup dans mon sifflet. Fatal error. Aussitôt qu'ils eurent arrêter de danser, ils se ruèrent sur moi. Je sortis alors mon marteau, et tel le dieu Thor surpuissant, j'entrepris de ruiner le crâne de ces touffes sur pattes ; ce fut une hécatombe affreuse, de laquelle je me sortis pourtant. J'ai ensuite attaché quelques survivants au stalagmite, avant de réfléchir a comment m'enfuir d'ici. J'entendis au loin le bruit des pales d'un hélicoptère. Ni une ni deux, je fis la chose la plus stupide qu'il m'eût été donnée de faire dans cette aventure ; je pris les touffes des Ougah morts et les mit dans la bouteille de volvic. Je pris ensuite un long cheveu, extrèmement solide, que j'attachais au bout de la bouteille. Ainsi, avec la masse des cheveux et le mouvement de rotation imprimé par le long cheveu, que je balancais au bout de mon bras impirmait une force centrifuge qui comprimait la masse chevelue au fond de la bouteille. J'aperçus non loin au dessus de moi l'hélicoptère qui tatonnait dans les étendues glacées. J'envoyais alors la bouteille dans les airs ; elle monta haut, et le relâchement de pression permit aux cheveux de sortir par le goulot, entrainant l'apparition d'un très visible marque dans le ciel. L'hélicoptère la remarqua heureusement, et c'est ainsi que je pus rentrer chez moi..
Aujourd'hui, je vis aisément, en tant que maître du textile de BipVille. Avec leurs cheveux qui repoussent instantanément, ces Ougah font des outils de choix pour la fabrication de vêtements laineux en tout genre. ( Surtout que personne n'est au courant de leur existence.)
Et puis, je pouvais aussi à présent éliminer tous mes ennemis... J'ai récemment envoyé à mes chers Dr.Snap et Ordairu des écharpes en laine, accompagnées chacune d'une réplique exacte de mon sifflet. Et je leur ai laissé un petit mot : " Mettez les autour de votre cou pour vous réchauffer, et jouez donc un air de musique.."
J'en connais dont la soirée va être mouvementée...

Fin.
Diantre, ça faisait longtemps, j'ai du perdre du level

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Pour le suivant :Philol : Pourquoi est-il tellement jouissif d'ouvrir un pot de Nutella neuf? Vous avez quatre heures %D
MVLC : Tuez moi avec Touhou 7
Braquage : Allez donc piller l'usine de chewing-gum du Dr.Chmap avec votre tribu d'agrafeuses assoiffées de sang !
Modifié en dernier par Coorjet le dim. 30 janv. 2011, 15:14, modifié 2 fois.

- Voltali Fessenheim
- Légende Pokébipienne
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- Enregistré le : mer. 26 août 2009, 14:17
Re: [Topic Unique] Lyrical or Lyrics?
Je prend le VLC xD
Spoiler :
VLC : Tuez moi avec un texte en gras taille 32
ID : Echappez vous des Tourb'îles avec une Poussière Etoile, une Huile Max et un Rouleau de Papier Toilettes
Philol : Démontrer la qualité de produit de première nécessité d'un Iphone
- Streptopoek
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- Localisation : Sur Pokebip avec electromignion pour les Bip couples
Re: [Topic Unique] Lyrical or Lyrics?
Et moi je vais essayer le philol
MVLC : Tuez moi avec la chanson brother my brother, et une guitare
Parodie: Parodiez toxicity de soad
Philol: Expliquer pourquoi la présence d'une personne dans votre dos peut vous faire resentir des frissons
MVLC : Tuez moi avec la chanson brother my brother, et une guitare
Parodie: Parodiez toxicity de soad
Philol: Expliquer pourquoi la présence d'une personne dans votre dos peut vous faire resentir des frissons
- Dr.Snap
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- Enregistré le : lun. 30 avr. 2007, 01:24
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Re: [Topic Unique] Lyrical or Lyrics?
Philol
Sujet : Expliquer pourquoi la présence d'une personne dans votre dos peut vous faire ressentir des frissons.
C'est là un véritable problème de société, et pas qu'une idée reçue. Tout le monde en parle, ou du moins, tout le monde y a déja pensé. Et pourtant, cette idée ne fait que nous hanter, tous, au quotidien, quand nous exécutons des actions anodines de la vie de tous les jours. Oui, une présence étrangère peut nous faire ressentir des frissons ! Et nous allons tout de suite voir pourquoi plus en détail.Sujet : Expliquer pourquoi la présence d'une personne dans votre dos peut vous faire ressentir des frissons.
I / Analyse de la situation (comment des gens peuvent-ils se retrouver dans notre dos)
Une personne dans notre dos a toujours une bonne raison d'y être, quelle qu'elle soie. Et personne ne peut déroger à cette règle fondamentale de survie en milieu urbain. Même si, il est vrai, il n'y a pas énormément de situations dans lesquelles quelqu'un peut se trouver dans notre dos.
Prenons l'exemple évident du supermarché, vous faites vos courses, vous prenez de quoi survivre, vous prenez du saucisson Cochonou (qui, soit dit en passant, est le bon saucisson comme on aime chez nous), ou alors vous prenez des trucs complètement inutiles parce que vous avez vu la pub à la télé. Soit. Mais ensuite, vient le passage obligé du paiement et de la caisse. Et là, c'est le drame.
C'est inévitable. Pour des raisons que l'on ignore, quelqu'un viendra forcément se positionner derrière vous, dans la queue que vous avez prise (et qui du coup est devenue la plus lente). Et c'est à partir de ce moment-là que le stress commence à monter, que l'adrénaline est en train de monter, que tout est en train de monter, et que le tapis de la caisse est en train d'avancer. Les idées les plus saugrenues nous viennent à l'esprit.
On se demande alors s'il va nous tuer, nous violer, nous frapper, déplacer le truc en plastique "Client suivant" lui-même, puis on constate en voyant ce qu'il achète qu'il a pas acheté la même chose que nous, puis on le regarde dans les yeux et là, on s'aperçoit qu'il en a vraiment rien à branler.
S'ensuit alors une véritable course-poursuite contre cet inconnu dont on ne sait rien et qui pourrait faire tout et n'importe quoi dans l'allée de la caisse...
Prenons un autre exemple, un peu plus sérieux (

Mais le plus souvent, la personne que l'on ressent est en fait tournée vers l'autre coté, en train de faire quelque chose de son côté, il se peut même qu'elle ne vous aie pas remarqué. Et tout ca en une fraction de seconde. C'est merveilleux.
II / Le pourquoi du comment du quand du combien du néanmoins (en gros, le WTF ?)
Si le phénomène est bizarre, il y a bien des explications, pas toutes rationnelles, à cet épineux problème. Si la situation est sans aucune gravité, pourquoi, alors, doit-on se méfier d'une présence dans notre dos ?
Il se peut très bien que notre cerveau emmagasine dans ses cellules grises des tas et des tas de "on dit", des idées reçues, toutes plus débiles les unes que les autres (les épinards, hein) et que, donc, on se fasse à ses mauvaises idées et qu'on s'impose des règlements stupides. C'est une explication. Nos chers aïeuls nous auraient tellement prévenus du danger imminent de la personne dans le dos, qui est toujours armée lourdement, prête à tout et même jusqu'à vous tuer, comme ca, dans la rue, en plein mois de Janvier. Et on en ressent alors le frisson. Cette sensation froide et glaciale de danger. On n'est plus en sécurité nulle part, quoi. Bordel.
Une autre hypothèse serait que la télévision est la source de tous ces problèmes de peur, de frayeur de la personne que l'on a dans le dos. *se retourne* En effet, depuis maintenant quelques années, des séries débiles comme Les Experts et compagnie, des trucs stupides irréelles et qui ne se passent JAMAIS comme ca mais qu'on a tous regardé au moins une fois dans notre vie( y en a même qui les suivent tout le temps, brrr...) nous ont peut-etre rendus paranoïaques. En effet, on croit tous aux conneries qu'on voit à la télé, c'est une règle fondamentale aussi. C'est ce qui nous fait penser que la personne derrière nous est un de ces tueurs en série que le FBI essaye de coincer grâce au cheveu qu'il a perdu il y a 8 ans. Cette personne est néfaste, elle va nous tuer ! C'est la réaction que n'importe quel individu lambda aurait eu. Surtout si c'est une vieille mamie rabougrie avec son gros sac à main rouge super-évident. (Rien à voir avec Dragi, son sac à main étant bleu.)
Les informations des journaux sont aussi des avertissements contre cette frayeur qu'on a tous quelque part en soi, révélant des meurtres et des disparitions plus terribles les uns que les autres...Nous vivons alors dans la peur. On va tous mourir !!
Pire encore, la sensation la plus visible chez les gens est celle d'avoir peur de se faire violer par la personne qu'on a dans le dos. C'est complètement absurde ! Vous voyez cette vieille mamie vous violer ? Vous voyez ce gros moustachu vous violer ? Vous voyez votre mère vous violer ? Non, bien sur que non (le moustachu ne ferait jamais ca en public) Cette peur a été installée ici de force par une idée reçue stupide et complètement fausse, c'est tout, faut pas se leurrer...
Conclusion
Arretez de penser que la personne qui est dans votre dos n'est là que pour vous faire du mal, c'est une personne normale, comme vous, qui, elle aussi, sera morte de trouille à l'idée qu'il y ait quelqu'un derrière elle...
Puis, si c'est vraiment un violeur...prenez-y du plaisir !

Je précise qu'il faut suivre sur MES CHOIX ![PhiLOL] Pourquoi la Vache qui rit est-elle rouge ? Et y a-t-il un rapport avec la vache de Milka ?
[Insert Me !!] Vous devrez insérer le passage suivant :
"La nougatine commença alors à se fissurer, laissant échapper vers Bob une demi-douzaine de barils. Il cria de joie, tout content d'avoir pu enfin blouser un agent d'Interpol comme ca !"
[ID] Echappez-vous d'une plate-forme pétrolière abandonnée avec un fusil à pompe.





- Saer Myenn
- Membre
- Messages : 4020
- Enregistré le : mer. 27 janv. 2010, 21:43
- Localisation : Tout est bon chez le héron
Re: [Topic Unique] Lyrical or Lyrics?
Spoiler :
MVLC : Tuez-moi avec un chaton tout mignon qui n'a pas de griffes.
ID : Evadez-vous du casino de Puz Ara Dons que vous avez roulé avec un paquet de cartes, un gilet de croupier et 21 jetons.
PhiLOL : Pourquoi les garcons ont-ils cassé le préjugé des cheveux longs appartenant uniquement aux filles ?
Modifié en dernier par Saer Myenn le ven. 11 févr. 2011, 20:54, modifié 2 fois.

- Ashtur Rainbow
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- Messages : 2043
- Enregistré le : jeu. 22 avr. 2010, 17:31
- Localisation : Dire "dans ton cul" est plutôt puéril.
Re: [Topic Unique] Lyrical or Lyrics?
Je prend le MVLC !
Spoiler :
ID: Vous êtes coincé sur une ile violette et vous ne disposez que de vos vêtements et d'un jeu Pokemon (au choix) pour vous en sortir !
Chanson: Une chanson sur les galeries Pokebipiennes !
Modifié en dernier par Ashtur Rainbow le ven. 04 févr. 2011, 23:36, modifié 5 fois.
100% IRONY

Spoiler :
- niléwen
- Membre
- Messages : 755
- Enregistré le : lun. 18 juin 2007, 07:55
- Localisation : Chez les messieurs en blouse blanche
Re: [Topic Unique] Lyrical or Lyrics?
Je prends ID
Spoiler :
Poème
Sujet de l'envolée lyrique : Le produit vaiselle
Nombre de Strophes : 2
Contraintes ( Facultatives ) : Je veux qu'il soit parfum citron
Braquage Suprise
Objets utilisés pour le braquage :une fleur de clown, et une banane en plastique
Contraintes ( Facultatives ) : aucune
Nombres de Lignes Minimum : 15
Modifié en dernier par niléwen le jeu. 10 mars 2011, 08:03, modifié 4 fois.
Spoiler :


Re: [Topic Unique] Lyrical or Lyrics?
~Le con, la brute et les hippies~
-T'es prêt Dimo?
- MAIS OUI BORDEL! Alors maintenant Snap ta gueule ou je te bute et je fais un braquage SOLO!!!
- Ja mein Fuhrer Ja mein Fuhrer Ja mein Fuhrer!!
-Enfin? Bon, on a toutes les armes?
-Je crois... on a pas le fusil car on a roulé dessus, les grenades doivent être dans le ventre de ces satanés piafs à l'heure qu'il est, et le flingue, euh... ah oui, je l'ai pris pour une petite bouteille en plastoc et j'l'ai avalé!
-Pourquoi qu'il tire pas dans son estomac.... pensa Dimo totalement atterré. Bon, on a quoi au juste?
-Une fleur de clown et une banane en plastique...
-Est-ce qu'on est des employés du cirque OUI OU MERDE?
-J'ai un certain talent pour faire rire...
-SUR QUE TE COLLER UN PAIN CA DOIT ETRE MARRANT! vociféra Dimo. Bon on y va...
Sur ces entrefaites du groupe solidement préparé, Dimo entra. Vu qu'il n'avait que trois fois rien, on le prit pour un client lambda et il fut invité à se joindre à la caisse.
-Excusez-moi, vous venez souvent ici?
C'était Kev, un client régulier, qui ne voyait jamais Dimo ici.
-Non. En fait, je transporte un blessé grave dans mon Amblance...
-Votre "Amblance"? Et tout ça avec le sourire?
-Oui! J'ai l'air ni trop cool, ni trop sérieux! Haha! (Ceux qu'ont vu Rien à Déclarer, vous comprendrez vite)
-Vous ne voudriez pas voir un docteur, monsieur...
-Don "braqueurenherbe" Dimo! Haha!
-Un braqueur?
-Avec une fleur et une banane en plastoc!
-UNE FLEUR?
Tous les clients, entendant cela, se jetèrent aux pieds de Dimo, adorèrent cette ridicule fleur mauve et marron imitée d'une main de maître et prièrent: "Ô Mamie Simpson toute-puissante, donne-nous la force pour convaincre le monde de passer au vert!"
Dimo brancha alors le talkie-walkie et appela son fidèle collègue de hold-up:
-Allo? Snap? Pourquoi tout le monde adore ma ridicule fleur en plastoc?
-EN PLASTOC? crièrent les baba cool révoltés.
-Non, non, je plaisantais, elle est vraie! rectifia Dimo. Bon, Snap, je reformule ma question autrement : Pourquoi tout le monde se jette à mes pieds devant ma « vraie » fleur ?
-La banque s’appelle Hippies Bank, je te fais un dessin ? Ah, et sur le truc, c’est marqué en toutes petites lettres : « Pour des raisons financières, cette banque fait également bar à partir de 19 heures »…. Eh, mais c’est 19 heures !
En effet, dans la banque, les coffres se bouclèrent en un instant, les réceptionnistes dansèrent sur les bureaux qui se transformèrent en comptoirs et eux-mêmes se transformèrent en barmen.
-Qu’est-ce que je vous sers, monsieur ? demanda Natsu à Dimo.
-Une bonne bière bien fraîche, merci.
Mais Dimo avait laissé sa peau de banane en plastique sur le comptoir. Vivi glissa donc et se fracassa le crâne contre le mur.
Mais dans sa chute, Vivi actionna un bouton qui déclencha l’alarme, c’est-à-dire une musique qui n’était pas de la musique classique. Kev, outré, fit alors une crise cardiaque.
Tyriak tenta alors de prendre la fleur, mais celle-ci était une rose tellement bien imitée que les épines ne faisaient pas 2 mais 30 centimètres. Dimo n’eut aucun mal à trouer Tyriak comme une passoire et fit de même avec Natsuko.
-Natsu, où est le butin ?
-Le butin est dans le coffre ! Le coffre est dans le tiroir ! La clé du tiroir est…
A cet instant, Natsu mourut.
-Et arrête d’imiter une scène des « Barbelés sur la prairie » ! Goscinny doit s’en retourner dans sa tombe ! J’y trouverai moi-même !
Dimo ouvrit la serrure avec une épine de la rose mal imitée et s’enfuit avec tout le butin.
-Snap, qu’est-ce que t’as foutu ?
-Mais rien Dimo, rien….
-Me ment pas ! T’as fait cette œuvre de charité à la con, c’est ça ?
-Mais Dimo, y’a des plus mal lotis que toi…
-Je veux pas le savoir ! A la télé ils ont dit qu’on avait emporté 300 000 dollars mais y’a que 32 000 et des poussières ! *
Sur ce, Dimo donna un coup de poing dans l’estomac de Snap, ce qui enclencha le tir du revolver, et Snap ressemblait maintenant à Jonathan Harker dans Dracula II.
-Crétin… grogna Dimo.
*Ce passage est inspiré de l’épisode 18 saison 5 de Medium.
-T'es prêt Dimo?
- MAIS OUI BORDEL! Alors maintenant Snap ta gueule ou je te bute et je fais un braquage SOLO!!!
- Ja mein Fuhrer Ja mein Fuhrer Ja mein Fuhrer!!
-Enfin? Bon, on a toutes les armes?
-Je crois... on a pas le fusil car on a roulé dessus, les grenades doivent être dans le ventre de ces satanés piafs à l'heure qu'il est, et le flingue, euh... ah oui, je l'ai pris pour une petite bouteille en plastoc et j'l'ai avalé!
-Pourquoi qu'il tire pas dans son estomac.... pensa Dimo totalement atterré. Bon, on a quoi au juste?
-Une fleur de clown et une banane en plastique...
-Est-ce qu'on est des employés du cirque OUI OU MERDE?
-J'ai un certain talent pour faire rire...
-SUR QUE TE COLLER UN PAIN CA DOIT ETRE MARRANT! vociféra Dimo. Bon on y va...
Sur ces entrefaites du groupe solidement préparé, Dimo entra. Vu qu'il n'avait que trois fois rien, on le prit pour un client lambda et il fut invité à se joindre à la caisse.
-Excusez-moi, vous venez souvent ici?
C'était Kev, un client régulier, qui ne voyait jamais Dimo ici.
-Non. En fait, je transporte un blessé grave dans mon Amblance...
-Votre "Amblance"? Et tout ça avec le sourire?
-Oui! J'ai l'air ni trop cool, ni trop sérieux! Haha! (Ceux qu'ont vu Rien à Déclarer, vous comprendrez vite)
-Vous ne voudriez pas voir un docteur, monsieur...
-Don "braqueurenherbe" Dimo! Haha!
-Un braqueur?
-Avec une fleur et une banane en plastoc!
-UNE FLEUR?
Tous les clients, entendant cela, se jetèrent aux pieds de Dimo, adorèrent cette ridicule fleur mauve et marron imitée d'une main de maître et prièrent: "Ô Mamie Simpson toute-puissante, donne-nous la force pour convaincre le monde de passer au vert!"
Dimo brancha alors le talkie-walkie et appela son fidèle collègue de hold-up:
-Allo? Snap? Pourquoi tout le monde adore ma ridicule fleur en plastoc?
-EN PLASTOC? crièrent les baba cool révoltés.
-Non, non, je plaisantais, elle est vraie! rectifia Dimo. Bon, Snap, je reformule ma question autrement : Pourquoi tout le monde se jette à mes pieds devant ma « vraie » fleur ?
-La banque s’appelle Hippies Bank, je te fais un dessin ? Ah, et sur le truc, c’est marqué en toutes petites lettres : « Pour des raisons financières, cette banque fait également bar à partir de 19 heures »…. Eh, mais c’est 19 heures !
En effet, dans la banque, les coffres se bouclèrent en un instant, les réceptionnistes dansèrent sur les bureaux qui se transformèrent en comptoirs et eux-mêmes se transformèrent en barmen.
-Qu’est-ce que je vous sers, monsieur ? demanda Natsu à Dimo.
-Une bonne bière bien fraîche, merci.
Mais Dimo avait laissé sa peau de banane en plastique sur le comptoir. Vivi glissa donc et se fracassa le crâne contre le mur.
Mais dans sa chute, Vivi actionna un bouton qui déclencha l’alarme, c’est-à-dire une musique qui n’était pas de la musique classique. Kev, outré, fit alors une crise cardiaque.
Tyriak tenta alors de prendre la fleur, mais celle-ci était une rose tellement bien imitée que les épines ne faisaient pas 2 mais 30 centimètres. Dimo n’eut aucun mal à trouer Tyriak comme une passoire et fit de même avec Natsuko.
-Natsu, où est le butin ?
-Le butin est dans le coffre ! Le coffre est dans le tiroir ! La clé du tiroir est…
A cet instant, Natsu mourut.
-Et arrête d’imiter une scène des « Barbelés sur la prairie » ! Goscinny doit s’en retourner dans sa tombe ! J’y trouverai moi-même !
Dimo ouvrit la serrure avec une épine de la rose mal imitée et s’enfuit avec tout le butin.
-Snap, qu’est-ce que t’as foutu ?
-Mais rien Dimo, rien….
-Me ment pas ! T’as fait cette œuvre de charité à la con, c’est ça ?
-Mais Dimo, y’a des plus mal lotis que toi…
-Je veux pas le savoir ! A la télé ils ont dit qu’on avait emporté 300 000 dollars mais y’a que 32 000 et des poussières ! *
Sur ce, Dimo donna un coup de poing dans l’estomac de Snap, ce qui enclencha le tir du revolver, et Snap ressemblait maintenant à Jonathan Harker dans Dracula II.
-Crétin… grogna Dimo.
*Ce passage est inspiré de l’épisode 18 saison 5 de Medium.
ID: Echappez-vous d'une île tranquille où vous faites la bronzette toute la journée (oui, c'est triste, mais faut s'en échapper) avec un IPad et un crayon papier.
Contraintes: Une guerre nucléaire sans précédent aura détruit toute vie sur terre sauf vous; c'est toujours les mêmes qui ont de la chance.... Ah, et vous ne pourrez pas vous servir du GPS de l'IPad comme il indiquera: Vous êtes au milieu de-nulle part.
Philol: Comment peut se produire l'effet papillon?Vous avez 1 heure

Merci à Versus

Spoiler :
- Streptopoek
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Re: [Topic Unique] Lyrical or Lyrics?
Tient un petit effet papillon sa me tente bien
Et désolé mais pour le LoL que j'aurais du faire après explication de l'auteur je n'ai rien su trouver car ne possedant plus de portable je ne voit pas l'utilitéPhilol: Pourquoi les malheurs se suivent mais ne se ressemble
Contrainte, vous avez le droit de parler d'une certaines théorie d'emmerdement maximal sans pour autant ne vous servir que de cela
Chanson: Une petite chanson sur les pedobears (sachez qu'il c'est reconverti dans l'informatique )
MVLC: Tuez moi avec, avec, avec euh . . . essayer déjà de m'endormir avec un discours plombant puis tuez moi avec moi![]()
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Re: [Topic Unique] Lyrical or Lyrics?
J'prend le MVLC !
En cette après-midi-là, il pleuvait comme vache qui pisse, le vent soufflait comme éléphant qui éternue, mais ce temps pourri à ne pas faire sortir un chien dehors n'empêchait en au cas les habitants de Météra et de ses alentours de continuer à vaquer à leurs occupation: Snap cueillait des fleurs pour Jenn dans la pelouse du Parc de Bellefleur, en faisant attention de ne pas se faire repérer par le gardien, Dragibus et ses copines institutrices parcouraient les magasins de vêtements à la recherche du dernier jean à la mode et de la jupe kawaii-choupi-tendance qui irait à merveille avec leur sac, et Natsuko jouait avec la console de Vivinana pendant que ce dernier s'entrainait à maitriser les pouvoirs qu'il lui était revenu.
-Bon, Natsu, arrête avec ce jeu et vient t'entrainer !
-De quoi ?
-Fait pas celle qui n'a pas compris !
-Je sais parfaitement comment utiliser mes pouvoirs, c'est pas après juste 1800 ans et des poussières que j'vais oublier comment on fait... Si on s'occupait plutôt de ces idiots de dieux qui ont profité de l'arrivée du trio de peste pour aller en vacances ?
-Les seuls que j'ai vu avaient un Q.I égal au nombre de partie de jeu de carte japonais que j'ai gagné. Oubli cette idée avant que l'un d'entre eux débarque...
-Hey ! Natsuuuuuuuuuu ! Viviiiiiiiiii !
Un maneki-neko rose pétard avait fait irruption dans le jardin, au moment même où Dragibus rentrait de sa tourné des magasins.
-Oh ! Draaaaaaagiiiiiiii ! T'es là aussiiiiiii ? Diteeeeees, vous auriez pu me préveeeeeeeenir qu'il faisait un temps aussi pluvieux chez vous, c'est que je n'aime pas vraiment l'eau moiiiiii, vous voyez ?
-Tama ? C'est toi ? Tu connais...
-Bien suuuuuuuuur ! Tu sais que je connaiiiiiiiiis tout le monde de chez nouuuuuuuus ! Mêêêêêêême que c'est nooooooooos supérieurs, les plus haut dans notre beeeeeeeeelle hiérarchie !
-Q-quoi !?
-Ces deux abrutis on retrouvé tout leurs pouvoirs, la vieille qui les héberge est aussi une déesse, on est bien barré....
-Voyons, chef, courage ! Vous êtes le meilleur voyons !
A Météra, se trouvait une gigantesque tour surnommée Tour de Météra (waouh l'originalité du truc !). Cette tour fut construite par un certain Doug'Umbreon pour l'anniversaire de sa femme Vaness'Espeon, dont la bêtise n'a d'égale que celle de sont fils, que vous connaissez obligatoirement vu qu'il s'agit de KevUmbreon, ce dernier ayant hérité de la tour car ses parents avaient chopé toute sorte de chose comme la bêtisisite aiguë et l'imbecelhume chronique, même s'il les avait attrapé aussi. Ce jour-là, Kev était en train de déprimer très fort devant sa télé, comme les évènements précédemment arrivés n'allaient pas aider au bon fonctionnement de son plan pour avoir toujours plus de pouvoir.
-Du courage ? Les cours avec Mme Dragibus étaient un enfer ! Et...
-Oh ? Chef, arrêtez de zapper, c'est l'heure du GTPM* ! Cette fois on peut gagner... Mon dieu ! Une splendide peluche de Sablaireau !
*Le GTPM, ou Grand Tirage Pokemon de Météra, est l'un des jeux télévisés préférés des Métériens, avec Des chiffres et des Pokemons. Le principe est simple, même pour les bébés et les idiots: on tire au sort des caractéristiques morales, physiques, etc, et le Métérien correspondant à ces caractéristiques gagne un lot pokemon.
-Mais c'est tout à fait moi ça !
Fait rare, cette phrase fut prononcée par deux personnes. D'ordinaire, une seule personne correspondait au critères et partait avec un joli cadeau, mais cette fois, ça allait être la guerre. Effectivement, à Météra, il y avait DEUX jeunes filles nées sous le signe du Lion, avec un Q.I inférieur à 0, aimant fouetter les gens comme Kev, et adorant Sablaireau.
-Chef, vous entendez ça ? Je vais avoir une peluche de Sablaireau ! Je vais avoir une peluche de Sablaireau ! On va la chercher ensemble ?
-Vas-y plutôt avec un de mes employés et laisse moi me suicider au lait au chocolat.
-D'accord, comme vous voulez ! Hey toi ! Oui, c'est à toi que j'parle !
Celui à qui elle s'adressait était un tout nouveau fonctionnaire du nom de Streptopoek, qui avait eu le malheur de devoir donner des papiers importants à son directeur à ce moment-là.
-Viens avec moi chercher cette peluche !
-Vivi, t'a attendu ça ?
-Oui, toi et ton intellect extraordinaire êtes enfin récompensés.
-Tu croit que toi c'est mieux peut être ? Bon, viens, on y va !
-Eh ! Je m'en fous, de ta peluche à la noix !
-Je peux veniiiiiiiiiiiir avec vooooooous ?
-Non, toi tu reste avec Dragi !
-Je ne suis pas d'accord, moi ! Attendez !
Mais il était trop tard, Natsu avait déjà entrainé Vivi très loin du Manoir, laissant Dragi en compagnie de Tama.
-Misère....
Il ne fallut à la jeune adolescente que six cent soixante six secondes pour atteindre le centre-ville, trainant un Vivi plus mort que vivivant.
-C'est moi la gagnante !
Cette phrase fut la deuxième de la journée à être prononcée par deux jeune filles différentes.
-Et bien on dirait que nous avons deux ga....
-J'étais là avant toi !
-Tu rêve ma vielle !
-On se cal...
-Cette peluche est à moi !
-Surement pas !
Le présentateur et maire de Méréta, Don Dimo, avait beau essayer de calmer les deux groupies en furie du Pokemon Souris, aucunes des deux ne voulait entendre raison.
-Streptopoek, attaque !
-M-mais je ne.. J-je ne sais p-pas me battre m-m-moi !
-Vivi, à toi de jouer !
-.....
Tendit que PP donnait des coups de pied au postérieur de Streptopoek pour le motiver, Natsu s'appétait à lancer Vivi en direction de sa rivale, tout en espérant que cela le réveillerait un peu. L'assistante de Kev esquiva le corps du jeune homme, mais le douloureux atterrissage de ce dernier réussit à le faire reprendre connaissance.
-...Mes côtes...
-Vivi ! Fait leur le coup de l'exposé sur les moutons !
-Hein ? Quoi ? Euh... D'accord ! Alors un mouton, c'est un mammifère recouvert de laine blanche....
Pendant que Vivi récitait son captivant exposé et que les autres l'écoutaient avec intérêt, Natsu sortit de sa poche une paire de bouchons d'oreilles.
-Six cent soixante deux moutons sautent la barrière, six...
Une demi heure plus tard, la majorité des personnes présentes dormaient, et les autres peinaient à rester debout.
-Strep... Streptopoek... Massacre... Ma....
-ZzZz... J'en ai marre... Marre de ma vie.... J'veux mourrir moi !...ZzzzZ...
Sous les yeux ébahis de Natsuko, laquelle avait toujours ses bouchons d'oreilles, il prit le couteau qui se trouvait dans la poche du maire et commença à se découper, puis à se manger, pour enfin tomber raide mort
-What the...
-Six cent soixante six moutons sautent la barrière ! Natsu, c'est fini !
Il fit signe à son amie qu'elle pouvait se déboucher les oreilles. PP, émergeant de son sommeil, aperçut avec horreur que Streptopoek était mort.
-Il s'est passé quoi en fait ? J'ai pas bien compris sur ce coup-là...
-Bah, il était juste somnambule et suicidaire...
-Comment est-ce possible !? Je devais gagner ! Pour la peluche ! C'est... Toi, là ! Tu as gagné cette fois mais sache que ça ne se reproduira plus jamais ! Tu entends, plus jamais !!
Et elle s'enfuit à toute jambe, au moment où Don Dimo et le reste de la foule sortaient de leur torpeur à leur tour.
-Ah ? Elle s'en va alors qu'elle n'a même pas reçut son lot ? Pour une fois que nous avions le lot en double et deux gagnants.... Bon, si vous la revoyez, vous lui donnerez sa peluche, O.K ?
-Oui, c'est ça, vous pouvez compter sur nous !
-Demain, ils enterrent le gars qui s'est tué pendant la remise de vos peluches...
-C'est pas nos peluche, c'est les siennes !
Le lendemain matin, les habitants du Manoir Dragibus s'étaient tous réunis sur la terrasse: la propriétaire des lieux lisait son journal, Vivi prenait son petit-déjeuner, Natsu jouait avec ses peluches et Tama regardait les nuages.
-Je lui ai proposé d'en prendre une, mais il n'a pas voulut !
-Pitié... J'veux plus jamais entendre parler de peluches Sablaireau....
-Des peluches Hello Skitty alors ?
-Ahaha, je suis mort de rire Dragi.
-Euh, les geeeeeeeens ? C'est noooooooormal qu'il y a un drôle de truc qui vooooooole au-dessus de nous ?
En cette après-midi-là, il pleuvait comme vache qui pisse, le vent soufflait comme éléphant qui éternue, mais ce temps pourri à ne pas faire sortir un chien dehors n'empêchait en au cas les habitants de Météra et de ses alentours de continuer à vaquer à leurs occupation: Snap cueillait des fleurs pour Jenn dans la pelouse du Parc de Bellefleur, en faisant attention de ne pas se faire repérer par le gardien, Dragibus et ses copines institutrices parcouraient les magasins de vêtements à la recherche du dernier jean à la mode et de la jupe kawaii-choupi-tendance qui irait à merveille avec leur sac, et Natsuko jouait avec la console de Vivinana pendant que ce dernier s'entrainait à maitriser les pouvoirs qu'il lui était revenu.
-Bon, Natsu, arrête avec ce jeu et vient t'entrainer !
-De quoi ?
-Fait pas celle qui n'a pas compris !
♣~Sous le signe du Lion~♥
-Je sais parfaitement comment utiliser mes pouvoirs, c'est pas après juste 1800 ans et des poussières que j'vais oublier comment on fait... Si on s'occupait plutôt de ces idiots de dieux qui ont profité de l'arrivée du trio de peste pour aller en vacances ?
-Les seuls que j'ai vu avaient un Q.I égal au nombre de partie de jeu de carte japonais que j'ai gagné. Oubli cette idée avant que l'un d'entre eux débarque...
-Hey ! Natsuuuuuuuuuu ! Viviiiiiiiiii !
Un maneki-neko rose pétard avait fait irruption dans le jardin, au moment même où Dragibus rentrait de sa tourné des magasins.
-Oh ! Draaaaaaagiiiiiiii ! T'es là aussiiiiiii ? Diteeeeees, vous auriez pu me préveeeeeeeenir qu'il faisait un temps aussi pluvieux chez vous, c'est que je n'aime pas vraiment l'eau moiiiiii, vous voyez ?
-Tama ? C'est toi ? Tu connais...
-Bien suuuuuuuuur ! Tu sais que je connaiiiiiiiiis tout le monde de chez nouuuuuuuus ! Mêêêêêêême que c'est nooooooooos supérieurs, les plus haut dans notre beeeeeeeeelle hiérarchie !
-Q-quoi !?
-Ces deux abrutis on retrouvé tout leurs pouvoirs, la vieille qui les héberge est aussi une déesse, on est bien barré....
-Voyons, chef, courage ! Vous êtes le meilleur voyons !
A Météra, se trouvait une gigantesque tour surnommée Tour de Météra (waouh l'originalité du truc !). Cette tour fut construite par un certain Doug'Umbreon pour l'anniversaire de sa femme Vaness'Espeon, dont la bêtise n'a d'égale que celle de sont fils, que vous connaissez obligatoirement vu qu'il s'agit de KevUmbreon, ce dernier ayant hérité de la tour car ses parents avaient chopé toute sorte de chose comme la bêtisisite aiguë et l'imbecelhume chronique, même s'il les avait attrapé aussi. Ce jour-là, Kev était en train de déprimer très fort devant sa télé, comme les évènements précédemment arrivés n'allaient pas aider au bon fonctionnement de son plan pour avoir toujours plus de pouvoir.
-Du courage ? Les cours avec Mme Dragibus étaient un enfer ! Et...
-Oh ? Chef, arrêtez de zapper, c'est l'heure du GTPM* ! Cette fois on peut gagner... Mon dieu ! Une splendide peluche de Sablaireau !
*Le GTPM, ou Grand Tirage Pokemon de Météra, est l'un des jeux télévisés préférés des Métériens, avec Des chiffres et des Pokemons. Le principe est simple, même pour les bébés et les idiots: on tire au sort des caractéristiques morales, physiques, etc, et le Métérien correspondant à ces caractéristiques gagne un lot pokemon.
-Mais c'est tout à fait moi ça !
Fait rare, cette phrase fut prononcée par deux personnes. D'ordinaire, une seule personne correspondait au critères et partait avec un joli cadeau, mais cette fois, ça allait être la guerre. Effectivement, à Météra, il y avait DEUX jeunes filles nées sous le signe du Lion, avec un Q.I inférieur à 0, aimant fouetter les gens comme Kev, et adorant Sablaireau.
-Chef, vous entendez ça ? Je vais avoir une peluche de Sablaireau ! Je vais avoir une peluche de Sablaireau ! On va la chercher ensemble ?
-Vas-y plutôt avec un de mes employés et laisse moi me suicider au lait au chocolat.
-D'accord, comme vous voulez ! Hey toi ! Oui, c'est à toi que j'parle !
Celui à qui elle s'adressait était un tout nouveau fonctionnaire du nom de Streptopoek, qui avait eu le malheur de devoir donner des papiers importants à son directeur à ce moment-là.
-Viens avec moi chercher cette peluche !
-Vivi, t'a attendu ça ?
-Oui, toi et ton intellect extraordinaire êtes enfin récompensés.
-Tu croit que toi c'est mieux peut être ? Bon, viens, on y va !
-Eh ! Je m'en fous, de ta peluche à la noix !
-Je peux veniiiiiiiiiiiir avec vooooooous ?
-Non, toi tu reste avec Dragi !
-Je ne suis pas d'accord, moi ! Attendez !
Mais il était trop tard, Natsu avait déjà entrainé Vivi très loin du Manoir, laissant Dragi en compagnie de Tama.
-Misère....
Il ne fallut à la jeune adolescente que six cent soixante six secondes pour atteindre le centre-ville, trainant un Vivi plus mort que vivivant.
-C'est moi la gagnante !
Cette phrase fut la deuxième de la journée à être prononcée par deux jeune filles différentes.
-Et bien on dirait que nous avons deux ga....
-J'étais là avant toi !
-Tu rêve ma vielle !
-On se cal...
-Cette peluche est à moi !
-Surement pas !
Le présentateur et maire de Méréta, Don Dimo, avait beau essayer de calmer les deux groupies en furie du Pokemon Souris, aucunes des deux ne voulait entendre raison.
-Streptopoek, attaque !
-M-mais je ne.. J-je ne sais p-pas me battre m-m-moi !
-Vivi, à toi de jouer !
-.....
Tendit que PP donnait des coups de pied au postérieur de Streptopoek pour le motiver, Natsu s'appétait à lancer Vivi en direction de sa rivale, tout en espérant que cela le réveillerait un peu. L'assistante de Kev esquiva le corps du jeune homme, mais le douloureux atterrissage de ce dernier réussit à le faire reprendre connaissance.
-...Mes côtes...
-Vivi ! Fait leur le coup de l'exposé sur les moutons !
-Hein ? Quoi ? Euh... D'accord ! Alors un mouton, c'est un mammifère recouvert de laine blanche....
Pendant que Vivi récitait son captivant exposé et que les autres l'écoutaient avec intérêt, Natsu sortit de sa poche une paire de bouchons d'oreilles.
-Six cent soixante deux moutons sautent la barrière, six...
Une demi heure plus tard, la majorité des personnes présentes dormaient, et les autres peinaient à rester debout.
-Strep... Streptopoek... Massacre... Ma....
-ZzZz... J'en ai marre... Marre de ma vie.... J'veux mourrir moi !...ZzzzZ...
Sous les yeux ébahis de Natsuko, laquelle avait toujours ses bouchons d'oreilles, il prit le couteau qui se trouvait dans la poche du maire et commença à se découper, puis à se manger, pour enfin tomber raide mort
-What the...
-Six cent soixante six moutons sautent la barrière ! Natsu, c'est fini !
Il fit signe à son amie qu'elle pouvait se déboucher les oreilles. PP, émergeant de son sommeil, aperçut avec horreur que Streptopoek était mort.
-Il s'est passé quoi en fait ? J'ai pas bien compris sur ce coup-là...
-Bah, il était juste somnambule et suicidaire...
-Comment est-ce possible !? Je devais gagner ! Pour la peluche ! C'est... Toi, là ! Tu as gagné cette fois mais sache que ça ne se reproduira plus jamais ! Tu entends, plus jamais !!
Et elle s'enfuit à toute jambe, au moment où Don Dimo et le reste de la foule sortaient de leur torpeur à leur tour.
-Ah ? Elle s'en va alors qu'elle n'a même pas reçut son lot ? Pour une fois que nous avions le lot en double et deux gagnants.... Bon, si vous la revoyez, vous lui donnerez sa peluche, O.K ?
-Oui, c'est ça, vous pouvez compter sur nous !
-Demain, ils enterrent le gars qui s'est tué pendant la remise de vos peluches...
-C'est pas nos peluche, c'est les siennes !
Le lendemain matin, les habitants du Manoir Dragibus s'étaient tous réunis sur la terrasse: la propriétaire des lieux lisait son journal, Vivi prenait son petit-déjeuner, Natsu jouait avec ses peluches et Tama regardait les nuages.
-Je lui ai proposé d'en prendre une, mais il n'a pas voulut !
-Pitié... J'veux plus jamais entendre parler de peluches Sablaireau....
-Des peluches Hello Skitty alors ?
-Ahaha, je suis mort de rire Dragi.
-Euh, les geeeeeeeens ? C'est noooooooormal qu'il y a un drôle de truc qui vooooooole au-dessus de nous ?
♠~A suivre !~♦
Chanson
Parodiez "3e sexe" d'Indochine sur le thème d'une rencontre du troisième type![]()
ID
Échappez-vous d'une planète inconnue où vous vous êtes échoués à cause d'un illuminé grâce à une pièce de vingt centime et gros bâton recouvert de bave de chien galactique. La planète en question sera habitée par des aliens robotisés et une humaine qui dirige tout ce beau monde.
100% IRONY

Spoiler :
Re: [Topic Unique] Lyrical or Lyrics?
Permettez que pour une fois je n'écrive pas en vert.
Je prends l'ID pour ma première tentative
Et donc...
Je me grattais la tête et regardais partout autour de moi. Pas de bol, il fait tout noir. Pourtant, on entendait une machine fonctionner au loin.
Je reprenais donc mes esprits lentement, aussi vite que les gains au casino. Bref, une heure plus tard (petite la perte au casino), mon esprit décida enfin de m'annoncer où j'étais et pourquoi. En gros, j'avais perdu une partie d'échec cpntre un savant fou qui m'a envoyé dans l'espace, avec je ne sais quoi. Un trou de ver en kit, si j'ai bien compris. Comble de tout, ça a marché. Pouacre.
Un son de porte qu'on ouvre me sortit de mes pensés... La lumière se fit. Je me trouvai dans une salle de bain tout ce qu'il y a de plus classique, si l'on excepte l'absence de baignoire et de lavabo. Que du carrelage, en gros.
Devant moi se tenait une abomination issue des cauchemars d'un savant fou. Un animal ressemblant à la fusion entre un car-wash, un chien et un poulpe me fixait avec ses huit yeux. En regardant autour de moi, je remarquais une branche d'arbre qui trainais, à moitié rongée. Solide, si c'est le truc d'en face qui l'a rongée.
Je m'en emparai et me mis en postion d'attaque. Le trucmuche à tentacules au lieu des pattes chargea, et, d'une précision d'escrimeur, je lui plantai le baton tout gluant dans l'oeil du milieu, le plus gros. Il du mourir sur le coup, car son oeil éclata sur le coup, et il tomba. Ses derniers gestes furent les soubresauts des balais brosse qui lui servaient de babines.
Ma stupeur passée, je sortis de la salle de pas-bain. L'extérieur fut encore plus stupéfiant: un énorme désert, pas si désert que ça: des dizaines de milliers de robots s'activaient pour construire je ne sais quel batiments en forme de Water-Closed géant, au beau milieu de ce désert.
Pis je me suis pris un sale coup sur la tête.
PLUS DE PLACE POUR ECRIRE.
SUITE AU PROCHAIN MESSAGE
Je prends l'ID pour ma première tentative

Et donc...
Je me grattais la tête et regardais partout autour de moi. Pas de bol, il fait tout noir. Pourtant, on entendait une machine fonctionner au loin.
Je reprenais donc mes esprits lentement, aussi vite que les gains au casino. Bref, une heure plus tard (petite la perte au casino), mon esprit décida enfin de m'annoncer où j'étais et pourquoi. En gros, j'avais perdu une partie d'échec cpntre un savant fou qui m'a envoyé dans l'espace, avec je ne sais quoi. Un trou de ver en kit, si j'ai bien compris. Comble de tout, ça a marché. Pouacre.
Un son de porte qu'on ouvre me sortit de mes pensés... La lumière se fit. Je me trouvai dans une salle de bain tout ce qu'il y a de plus classique, si l'on excepte l'absence de baignoire et de lavabo. Que du carrelage, en gros.
Devant moi se tenait une abomination issue des cauchemars d'un savant fou. Un animal ressemblant à la fusion entre un car-wash, un chien et un poulpe me fixait avec ses huit yeux. En regardant autour de moi, je remarquais une branche d'arbre qui trainais, à moitié rongée. Solide, si c'est le truc d'en face qui l'a rongée.
Je m'en emparai et me mis en postion d'attaque. Le trucmuche à tentacules au lieu des pattes chargea, et, d'une précision d'escrimeur, je lui plantai le baton tout gluant dans l'oeil du milieu, le plus gros. Il du mourir sur le coup, car son oeil éclata sur le coup, et il tomba. Ses derniers gestes furent les soubresauts des balais brosse qui lui servaient de babines.
Ma stupeur passée, je sortis de la salle de pas-bain. L'extérieur fut encore plus stupéfiant: un énorme désert, pas si désert que ça: des dizaines de milliers de robots s'activaient pour construire je ne sais quel batiments en forme de Water-Closed géant, au beau milieu de ce désert.
Pis je me suis pris un sale coup sur la tête.
PLUS DE PLACE POUR ECRIRE.
SUITE AU PROCHAIN MESSAGE
- Saer Myenn
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- Enregistré le : mer. 27 janv. 2010, 21:43
- Localisation : Tout est bon chez le héron
Re: [Topic Unique] Lyrical or Lyrics?
Non ! Tu mets tout sur un même post, et ensuite tu mets tes choix.

Re: [Topic Unique] Lyrical or Lyrics?
Je me réveillais d'un coup, sans doute à cause du sceau d'un liquide jaune et putride que je reçu au visage.
Une fois bien réveillé, je constatai avec stupeur que je me trouvais enchainé devant une jeune fille, qui tenais un sceau vide.
-Debout! cria-t-elle.
Je ne lui répondis pas. En remuant mes mains, je ricanai en sentant qu'elle m'avait menoté avec un élastique pour cheveux.
-Que fais-tu là, vermine, grogna la fille. Je croyais être seule avec mes androïdes. Jirachi n'aurait pas exaucé mon voeu?
J'avais fini de détacher l'élastique.
-Dire que tout allais bien. Mon téléportwater devrait fonctionner. A moi l'invasion de la Terre avec mes robots!
Cette nana devait vraiment être folle. Demander à Jirachi une armée de robot et construire des chiottes pour se téléporter sur Terre, quelle idée...
En levant la tête, je vis le ciel. En me tournant, je vis une machinerie monstrueuse.
-Tu te trouves au sommet de la machine, fit-elle. Bref, grâce à cet engin, le téléportwater est fonctionel. Dans pas longtemps, une fois la chasse tirée, un trou de ver s'ouvrira pour la Terre.
Elle patienta, cherchant une réaction de ma part.
-Tirez la chasse! beugla-t-elle.
Dans le trou des water apparu une masse semblable à celle qui m'amena sur ce monde.
J'agis à cet instant. Fouillant dans mes poches, j'en sortis mon argent de poche, vingt centimes, que je lançai entre deux rouages. Ils se coincèrent, condamnant la machinerie à sa perte.
Et je plongeai dans le trou de ver, grimaçant en entandant ce que jurai la gamine, et aussi à l'idée de passer dans un trou de deux cm de rayon.
Une fois sur Terre, je racontai mon aventure à tout un tas de monde. Et c'est aujourd'hui, dans un hôpital psychiatrique, que je fini mon histoire.
Fin.
Une fois bien réveillé, je constatai avec stupeur que je me trouvais enchainé devant une jeune fille, qui tenais un sceau vide.
-Debout! cria-t-elle.
Je ne lui répondis pas. En remuant mes mains, je ricanai en sentant qu'elle m'avait menoté avec un élastique pour cheveux.
-Que fais-tu là, vermine, grogna la fille. Je croyais être seule avec mes androïdes. Jirachi n'aurait pas exaucé mon voeu?
J'avais fini de détacher l'élastique.
-Dire que tout allais bien. Mon téléportwater devrait fonctionner. A moi l'invasion de la Terre avec mes robots!
Cette nana devait vraiment être folle. Demander à Jirachi une armée de robot et construire des chiottes pour se téléporter sur Terre, quelle idée...
En levant la tête, je vis le ciel. En me tournant, je vis une machinerie monstrueuse.
-Tu te trouves au sommet de la machine, fit-elle. Bref, grâce à cet engin, le téléportwater est fonctionel. Dans pas longtemps, une fois la chasse tirée, un trou de ver s'ouvrira pour la Terre.
Elle patienta, cherchant une réaction de ma part.
-Tirez la chasse! beugla-t-elle.
Dans le trou des water apparu une masse semblable à celle qui m'amena sur ce monde.
J'agis à cet instant. Fouillant dans mes poches, j'en sortis mon argent de poche, vingt centimes, que je lançai entre deux rouages. Ils se coincèrent, condamnant la machinerie à sa perte.
Et je plongeai dans le trou de ver, grimaçant en entandant ce que jurai la gamine, et aussi à l'idée de passer dans un trou de deux cm de rayon.
Une fois sur Terre, je racontai mon aventure à tout un tas de monde. Et c'est aujourd'hui, dans un hôpital psychiatrique, que je fini mon histoire.
Fin.
Philol: pourquoi écrire de telles histoires sur un forum, et ainsi perdre son temps?
ID: Il vous faut fuir une Tour Eiffel envahie de zombies, avec juste des couverts. Vous êtes au sommet.
Re: [Topic Unique] Lyrical or Lyrics?
Je prends le philol.
~La vie du Lol~
Bonjour, c'est a nouveau Don Dimo, Dimo, DimoniaK, DnK, DK, Taunting King et ze Mad. Ok, la dernière fois c'était le 16 janvier vers midi, mais j'ai une vie! Bon, allez:
Pourquoi écrire des telles histoires sur un forum et ainsi perdre son temps?
Pour certains, c'est un moyen de faire une expérience d'écriture. Voici le témoignage d'Astrian, tout jeune poussin déjà prometteur:
-Mon premier Lol a été le meurtre de Dimo avec une horloge de grand-mère. Je m'en rapelle comme si c'était hier, sauf qu'en réalité, c'était y'a 20 minutes. Une seconde, c'est Dimo qui m'interviewe? Mais je l'ai tué pourtant?
-Alors c'était toi?
-Oui! Et d'ailleurs tu l'as dit toi-même que j'étais un jeune poussin déjà prometteur!
-Ah....Euh.....Tiens, un coup de Somnifuge. COMMENT CA JE SUIS ABE SIMPSON? TU T'ES REGARDE TOI? OUI, TOI, LA, DANS TON FAUTEUIL D'ORDI A LA CON! ARRÊTE DE ME TRAITER D'ABE SIMPSON OU JE TE TRANSFORME EN DES DE CES ALLEMANDS QUE JE FLINGUAIS PENDANT LA SECONDE GUERRE MONDIALE!
* Nous interrompons cette interview pour diffuser un spot publicitaire*
Hello les amis! C'est la voix complètement conne du Happy Meal! Si tes parents sont Orson Hodge et Bree Van de Kamp, alors un sachet de poudre de Javel va les ravir! A bientôt dans ton Happy Meal!
PALAPAPAPA!
-JE VOOOOOOOOOLE!Ouhlà, j'ai trop fum... euh, pris de lithium moi. Donc revenons à notre débat. Nous allons nous intéresser à Kev, qui va sur le Lol parce qu'il aime ça.
-J'adore le Lol depuis que je suis tout petit!
-Et pourquoi?
-Ben, c'est ces histoires, sauf que dedans, je meurs toujours, et aussi c'est toujours moi un employé de banque quand y'a un braquage, et aussi je suis souvent le naufragé débile dans l'ID... RAAAH! J'VAIS TOUS VOUS TUER! VOUS M'EMMERDEZ AVEC VOS HISTOIRES DONT JE SUIS TOUJOURS LA VICTIME!
Sur ce, Kev prend une mitraillette et tente de me fusiller. Sympa... bon,on passe à la suite.
Maintenant, interrogeons Snap, qui écrit des Lol pour échapper au monde du travail.
-Le travail c'est oppressant. Tout le monde sait ça. C'est affreux. Alors j'écris des Lol pour me soulager. Un peu comme de l'herbe quoi.
-T'as de l'herbe?
-Non, moi je suis pas la mère de Lynette! Allez, dégage!
Bon... maintenant, interrogeons DimoniaK, qui fait du Lol juste parce qu'il est un peu fou.
TOU DOU DOU DOU-DOU-DOU I LEFT ALONE MY MIND WAS BLANK...
Stop là Dimo, t'égalera jamais Dickinson. Eh, pourquoi je m'interviewe maintenant? Bah, on s'en fout.
Bilan: Les Loleurs non-novices sont paranoïaques, grincheux et fous à lier. Mais allez quand même sur le Lol, j'vous en prie!
Allez, à la semaine prochaine avant que je vous égorge comme des cochons.
~La vie du Lol~
Bonjour, c'est a nouveau Don Dimo, Dimo, DimoniaK, DnK, DK, Taunting King et ze Mad. Ok, la dernière fois c'était le 16 janvier vers midi, mais j'ai une vie! Bon, allez:
Pourquoi écrire des telles histoires sur un forum et ainsi perdre son temps?
Pour certains, c'est un moyen de faire une expérience d'écriture. Voici le témoignage d'Astrian, tout jeune poussin déjà prometteur:
-Mon premier Lol a été le meurtre de Dimo avec une horloge de grand-mère. Je m'en rapelle comme si c'était hier, sauf qu'en réalité, c'était y'a 20 minutes. Une seconde, c'est Dimo qui m'interviewe? Mais je l'ai tué pourtant?
-Alors c'était toi?
-Oui! Et d'ailleurs tu l'as dit toi-même que j'étais un jeune poussin déjà prometteur!
-Ah....Euh.....Tiens, un coup de Somnifuge. COMMENT CA JE SUIS ABE SIMPSON? TU T'ES REGARDE TOI? OUI, TOI, LA, DANS TON FAUTEUIL D'ORDI A LA CON! ARRÊTE DE ME TRAITER D'ABE SIMPSON OU JE TE TRANSFORME EN DES DE CES ALLEMANDS QUE JE FLINGUAIS PENDANT LA SECONDE GUERRE MONDIALE!
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PALAPAPAPA!
-JE VOOOOOOOOOLE!Ouhlà, j'ai trop fum... euh, pris de lithium moi. Donc revenons à notre débat. Nous allons nous intéresser à Kev, qui va sur le Lol parce qu'il aime ça.
-J'adore le Lol depuis que je suis tout petit!
-Et pourquoi?
-Ben, c'est ces histoires, sauf que dedans, je meurs toujours, et aussi c'est toujours moi un employé de banque quand y'a un braquage, et aussi je suis souvent le naufragé débile dans l'ID... RAAAH! J'VAIS TOUS VOUS TUER! VOUS M'EMMERDEZ AVEC VOS HISTOIRES DONT JE SUIS TOUJOURS LA VICTIME!
Sur ce, Kev prend une mitraillette et tente de me fusiller. Sympa... bon,on passe à la suite.
Maintenant, interrogeons Snap, qui écrit des Lol pour échapper au monde du travail.
-Le travail c'est oppressant. Tout le monde sait ça. C'est affreux. Alors j'écris des Lol pour me soulager. Un peu comme de l'herbe quoi.
-T'as de l'herbe?
-Non, moi je suis pas la mère de Lynette! Allez, dégage!
Bon... maintenant, interrogeons DimoniaK, qui fait du Lol juste parce qu'il est un peu fou.
TOU DOU DOU DOU-DOU-DOU I LEFT ALONE MY MIND WAS BLANK...
Stop là Dimo, t'égalera jamais Dickinson. Eh, pourquoi je m'interviewe maintenant? Bah, on s'en fout.
Bilan: Les Loleurs non-novices sont paranoïaques, grincheux et fous à lier. Mais allez quand même sur le Lol, j'vous en prie!
Allez, à la semaine prochaine avant que je vous égorge comme des cochons.
VLC: Tuez-moi avec une horloge de grand-mère. Pas de coups par contre.
ID: Échappez-vous d'une certaine île vers un certain Salvador, habitée par certains dinosaures qui bouffent certains humains, avec un pieu et un maillet. (Comment ça c'est pour les vampires?)
Modifié en dernier par DimoniaK le mer. 13 avr. 2011, 20:05, modifié 1 fois.

Merci à Versus

Spoiler :
- Astrian
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- Enregistré le : sam. 20 févr. 2010, 14:30
- Localisation : Melbourne, oui oui
Re: [Topic Unique] Lyrical or Lyrics?
Je prends le MVLC. J'espère qu'il va te plaire, DimoniaK
Désolé pour ta grand-mère, j'imagine qu'elle n'est pas comme ça, hein, c'est de la fiction!

Le canari sonna midi, et dehors, la pluie
C'est incroyable, se disait DimoniaK en contemplant les gouttes de pluie s'écraser contre la vitre du train, c'est incroyable à quel point il peut pleuvoir en juin. Il était un tantinet énervé, la pluie l'empêchant à la fois de dormir et de regarder le paysage, qui par ailleurs ne devait pas se montrer passionnant, le long de ces rails qui le menaient au trou le plus perdu de la Bretagne, où il allait devoir passer une semaine à reluquer sa grand-mère et son appareil dentaire. Joie, joie, joie intense, chantonna-t-il intérieurement.
Au même moment, une petite musique horripilante résonna dans le wagon désert, et annonça que l'arrivée en gare était imminente. DimoniaK se demandait sérieusement s'il devait s'en réjouir ou pas. Quand il sentit le train ralentir et la pluie se calmer par la même occasion, il entre-aperçut les vieux bâtiments gris du village de sa grand-mère, du constater encore une fois, désespéré, qu'absolument rien ne semblait appartenir au XXI siècle, et se dit que non, il ne se réjouissait pas de passer sa première semaine de vacances ici.
Non, cher lecteur, il ne faut pas penser que DimoniaK est un garçon pourri gâté. En fait, le premier séjour chez sa grand-mère datait du temps où il était encore plus petit qu'elle, et elle l'avait, sans faire exprès bien-sur, laissé sans surveillance sur la terrasse avec ses deux bergers allemands. Ceux de la grand-mère, hein, pas ceux de DimoniaK.
Puis il avait grandi, et était venu le temps où elle jugeait pédagogique de lui apprendre à tricoter (ce qui s'avéra un véritable carnage), puis elle abandonna cette idée et l'attela plutôt à des centaines de tâches aussi éreintantes qu'inutiles: enlever les ronces de l'ancien poulailler dont plus personne ne se servait, arracher les mauvaises herbes de l'allée ouest de la maison, qui n'était plus utilisée depuis des années, ranger les anciens carreaux cassés de la terrasse, amassés jusqu'alors dans un cagibi où ils ne dérangeaient personne, et les empiler en tours parfaites contre le garage.
Sa grand-mère l'attendait sur le quai, toute ronchonnante et aigrie, lui indiquant la voiture sans ouvrir sa portière et conduisit comme une folle jusqu'à sa bicoque. Grande battisse mal isolée, où le froid passait sous les portes et par les vitres cassées, l'humidité par la même occasion, et où seuls les objets de plus de 50 ans survivaient. Un vrai musée.
Dès que DimoniaK pénétra dans le salon, l'odeur de moisissure et de soupe aux poireaux faillit le faire vomir. Il monta sans un mot dans sa chambre, s'assit sur le lit en décomposition et fixa un instant l'imposante horloge de grand-mère en face de lui. Une semaine. Une semaine. Il prit une profonde inspiration et sortit sa DS. Le seul objet qui pouvait fonctionner sans Wi-Fi et sans réseau.
Pokémon, Version Blanche glissa sans efforts dans sa console. 57 heures de jeu déjà, et quel jeu! Des décors magnifiques, un monde inédit, des pokémons tout neufs. Lugalubre, Crocorible, Mygavolt, Sorbouboul, Trioxydre, Ohmassacre. L'équipe de choc.
-Mon petit? hurla la vieille femme d'en bas. Tu viens m'aider?
-J'arrive, grogna-t-il.
La grand-mère était sourde d'une oreille, des deux le lendemain, et décida de monter voir ce garçon ingrat qui refusait d'aider les personnes âgées pour lui faire la leçon. Quand elle le vit collé derrière ce minuscule écran, elle gueula:
-Alors ça, c'est bien une de ces saloperies désuètes que l'impitoyable monde capitaliste vend aux enfants pourris jusqu'à la moelle! Tu devrais avoir honte! Quelle horreur!
Elle saisit d'un mouvement étonnamment rapide la console, pivota telle une basketteuse et … propulsa la DS à travers la vitre d'un geste théâtral.
-Nooooooooooooooooooooon!
DimoniaK se leva d'un bond, mais il était trop tard: un sourd bruit lui indiqua que sa chère console avait bien terminé son voyage de deux étages, et que dehors, il pleuvait.
-Non! Non! Non!
Le monde était vraiment trop cruel. Il fallait mettre un terme à tout cela. Comment pourrait-il survivre ici sans Lugalubre pour éclairer ses journées? Pleurant de désespoir, il se cogna la tête contre un mur. Ses coups furent bientôt étouffés par le bruit de l'horloge. Il était midi, et le canari montra sa petite tête fière, l'air de dire « Bien fait pour toi, petit garçon! ».
DimoniaK ressentit une profonde haine l'envahir. D'un geste fatal et irraisonné, il asséna un violent coup de boule à l'oiseau.
Qui avait un bec pointu, très pointu...
Poème: Envolée lyrique sur la joie de se baigner quand il fait froid. (quelle joie? et oui, je sais)
Pause Pub: Faites la promotion de Motisma-super pratique! contrainte: Utiliser les mots "ridicule", "canapé", "certes" et "tourner en rond"
Philol: Pourquoi les gens se sentent obliger de créer un mouvement anti-qqch? (que ce soit Anti-Twilight, Anti-Bieber, Anti-5G etc!)
Modifié en dernier par Astrian le mer. 22 juin 2011, 12:09, modifié 2 fois.

Spoiler :
Re: [Topic Unique] Lyrical or Lyrics?
Pause Pub: Faites la promotion de Motisma-super pratique! contrainte: Utiliser les mots "ridicule", "canapé", "certes" et "tourner en rond"![]()
Avant toute chose, j'aimerais dédicacer ce LOL à Jordan1106.

*jingle*
La lessive, la préparation des repas, le travail sous la lourde chaleur estivales, l'herbe à tondre.... Tout le monde est passé par là, malheureusement !Combien d'entre vous ne se sont déjà t-ils pas brûlé sur leur four, ou tranché un ou deux doigts dans leur ventilateur? Certes, la douleur passe, m'enfin... bref. Combien ne sont se sont jamais noyés comme des neuneus ridicules dans leur machine à laver ou n'ont encore jamais découpé par malheur leur chien en passant la tondeuse? Et en plus, il n'y a plus de boissons au réfrigérateur pour vous soutenir après tant d'efforts?
Après ça, quelle est votre réaction? Laissez-moi deviner.

N'est ce pas? Hé bien je vous comprends. Moi, le Docteur Réon, suis apte à apercevoir la douleur profonde que vos êtres meutris subissent lors de ces Ô combien difficiles épreuves de la vie.
HE BIEN J'AI TROUVE LA SOLUTION ! enfin j'espère.
Découvrez maintenant l'électroménager RE-VO-LU-TION-NAIRE qui va changer votre vie ! en pire
Vous pourrez enfin contrôler à peu près parfaitement votre électroménager, grâce à l'être le plus utile et le plus magnifique qu'il soit !
Le voici sous, vos yeux ébahis...
L'ULTIME
Spoiler :
*hum*
Donc..
L'ULTIME ... Mautistema

MOTISMAAA.
En effet, vous pourrez, grâce à cet être PARFAITement con :
- Laver votre linge plus efficacement et de manière plus économique sans tourner en rond dans votre propre machine ! *
- Tondre votre pelouse sans tuer votre chien ! **
- Avoir des boissons fraîches au frigo ! ***
- Vous rafraîchir sur votre canapé après de longues heures de travail ! ****
Convaincus?
Motisma- Multi Fonction, l'avenir de votre maison !
Et bien sûr comme d'habitude, ne lisez pas les petits lignes du contrat et partez acquérir immédiatement votre éléectroménage au 06 684 5211 562 ***** , sur la ligne de GogoChannel !
A bientôt, et que la force soit avec vous !

*bzzt*
Ne lisez pas les petits lignes! a écrit :Spoiler :
***********************************
Philol : Pourquoi les tartines tombent toujours du côté beurré?
Braquage : Faites un casse dans l'usine de cerveaux du Dr.Snap !
MVLC : Achevez la triste existence de Vivinana avec un aspirateur multifonction.

- Dr.Snap
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Re: [Topic Unique] Lyrical or Lyrics?
Philol
Sujet : Pourquoi les tartines tombent toujours du côté beurré?
Sujet : Pourquoi les tartines tombent toujours du côté beurré?
C'est un phénomène qui touche de plus en plus de pauvres personnes, une véritable malédiction du petit-déjeuner qui fait de plus en plus de victimes sans défense : une tartine beurrée tombe systématiquement du coté beurré ! C'est assez énervant, surtout quand ca arrive le matin, quand on est pressé, quand tout va déja mal, quand la cravate est mal mise, quand la voiture ne démarre pas....on prend une tartine, et c'est le drame...
A travers cette analyse très philosophique (si vous êtes débile, ne lisez pas ce qui va suivre, et de toute façon il se peut que vous n'ayez pas compris cette phrase) nous allons voir à quel point ce fléau est terrible.
I / Analyse du truc à partir du commencement du début du départ du milieu de la fin du début
Tout d'abord, Dieu créa la Terre et le ciel. La Terre était uniforme et vide, jusqu'à l'apparition des reliefs et de la vie. D'abord, des bactéries, puis des cellules, des planctons, qui ont ainsi évoulé jusqu'à devenir des poissons, puis des quadrupèdes, puis enfin, l'Homme est apparu. L'Homme a appris a survivre sur la planète grâce à son instinct naturel. Il a donc chassé pour se nourrir, et appris la domestication du feu pour se chauffer, s'éclairer, et se nourrir mieux. Aujourd'hui, ce principe de base n'a pas trop changé, nous mangeons toujours pour nous nourrir (bah oui, sinon on meurt), et nos radiateurs nous servent à nous chauffer. Avec le temps, l'Homme a pu inventer un confort....confortable. Ainsi, dès le lever et le petit-déjeuner, nous pouvons boire notre café avec notre bon pain grillé tartiné de beurre et....
Et il y a toujours un moment fatidique où le coude subit une pression subséquentielle à cause d'une envie d'éternuer, ou bien du café au lait demi-écrémé UHT avec 2 sucres qui est trop chaud et brûle les lèvres, ou alors les pantoufles roses en forme de lapin avec les oreilles qui dépassent, qui gènent et nous font glisser....et font tomber du bord de la table la fameuse tartine beurrée....
La tartine prend alors son vol majestueux et étincelant, en virevoltant vaillamment, en faisant des loopings et des vrilles pour se vautrer lamentablement comme une véritable merde sur le plancher vitrifié partaitement clean de la cuisine, dans un "splotch" de désolation...suivi d'un cri hargneux d'ours blessé de notre part, et nous nous en allons, dans une furie destructrice et meurtrière vers le canapé afin de contenir cette fureur dans les coussins devant Motus.
II / Pourquoi cette foutue tartine elle tombe toujours du coté beurré ?
A l'heure où j'écris ce pavé, de nombreux scientifiques se sont penchés sur le problème, sans succès. Ils en sont tous morts frappés de folie, d'ailleurs. Mais cette étude a commencé bien des millénaires dans le passé...
En effet, le lundi 18 janvier -65012, un homme de la tribu des Ouga Bouga a découvert, après un terrible séisme qui a fait écrouler sa mais...caver....son truc, que ses vaches avaient un comportement étrange. Tout à coup, elles faisaient "Guuuu" au lieu de "Meuuuh". Il est donc allé sur les lieux, a pris une vache, l'a lancée en l'air (on a retrouvé des ossements de vache à 8 mètres de hauteur), et a découvert qu'elle retombait toujours sur ses pattes. Même en la lachant à l'envers du haut d'une falaise, il retrouvait la vache en bas (en mauvais état) mais à l'endroit. Il a donc pris deux batons et 3 de cobblestone et a crafté une...euh....il a pris sa lance en pierre, et a percé le pi de cette vache. Son lait était devenu du beurre à cause du séisme ! D'où la théorie.
Bien plus tard, dans les années 1526, le 26 octobre à 68,5 heures du soir (on avait pas le même système à l'époque), la jeune princesse Agatha Von Tachtinedebeurre qui ne faisait que de tomber et faire de magnifiques faceplants, décide de se suicider à l'age de 8 canards en se laissant fondre dans une poêle géante.
C'est en 1815 pendant la grande Guerre du Kouign Amann que Brigitte Duchnok décide de tester cette vieille théorie en tartinant la gueule de tout son entourage à l'aide de son gros pot de beurre demi-sel maison à l'artichaut. Elle observa ainsi que tout le monde ne faisait que de se casser la gueule sur les pavés de la ville. Elle alla s'excuser et décida de continuer les tests chez elle, d'abord sur elle-même (6 points de suture), puis sur tout un tas d'objets divers, qui étaient tout à coup comme aimantés au sol. Puis elle s'est dit que vu que son beurre était plus ou moins comestible (seulement 2 victimes connues à ce jour), elle décida de tester sur les aliments, et de fil en aiguille, après des années de test, essaye, avec son gros couteau en bois gravé maison à l'artichaut, de tartiner sur son pain complet au feu de bois maison à l'ar...à l'asperge, tiens, un peu de son beurre salé.
Et la tartine tomba du coté beurré. Mais après cela, Brigitte a voulu goûter son invention ; elle mangea ainsi sa tartine et trouva ca bon. Après commercialisation, elle fut fortune et mourut dans sa chaumière toujours aussi pourrie, mais riche. Puis elle s'est faite cambrioler. Et elle n'a même pas connu la tartine au beurre normal...
Tartine, qui a d'ailleurs été inventée par l'évèque Hubert de la Rivièrejoufflue, à l'église de Blois en 1924. En effet, dans un vieux grimoire racontant l'histoire de l'ancienne Bretagne, il décida un jour de mettre du beurre (normal, donc) sur sa tartine du p'tit-dèj. Ce fut une véritable délectation, surtout quand il le proposa à tout le village, puis à toute la région, et enfin, tout le pays a pu constater le bonheur de la tartine beurrée...
La tête d'hubert figurait sur les premières plaquettes de beurre à tartiner d'une marque que vous connaissez tous

Mais l'âme de la vieille sorcière qui a ensorcelé Agatha (vous suivez ?) est toujours présente dans toutes les molécules de beurre, d'après la légende. Ce serait donc pour nous châtier, nous, humains, de mélanger le beurre et l'argent du beurre, que chaque tartine est conçue pour tomber du coté beurré. C'est une théorie.
Une autre théorie complètement farfelue indique que ce serait à cause de la hauteur de la table standard que la tartine a tout juste le temps de faire un demi-tour en l'air avant d'atteindre le sol...mais c'est totalement farfelu à coté de l'explication précédente...
III / Ces héros qui ont cherché des failles dans le système de la TB
En effet, certaines personnes inconscientes du danger se sont jetées à bras ouverts dans des séries de tests dans le but de contourner la menace de la tartine qui tombe du mauvais coté sur les pantoufles en cuir d'esturgeon blanc doré à la perle d'or 38 carats en velours de Dubai.
Tout d'abord, Markus von Stuckenberg a essayé de faire tomber une tartine préalablement beurrée bien sur, mais des deux cotés. En tombant, la tartine a réussi a créer une distorsion spatio-temporelle, et est tombée des deux cotés en même temps. C'est à cet instant que Schrödinger, un ami qui passait dire coucou, a eu une idée géniale...
Ensuite, Igor Tartinievski a voulu reprendre cette idée en beurrant l'intégralité de la tartine. Il la lacha, et en heurtant le sol, cette tartine s'est mise à se déformer, a se torsader, et à flotter dans les airs, emportant tout dans un gros trou noir de 850 kilomètres de diamètre (on appelle maintenant cette zone la Sibérie.) et a également fait émerger à 12000 kilomètres de là l'iceberg qui a fait couler le Titanic.
Et enfin, le tromboniste Gaylord Froutibertus a eu une idée un peu plus risquée ; il a beurré la tartine d'un coté, normal, puis l'a lâchée, et a essayé d'enlever le beurre en plein vol d'abord avec le couteau, puis avec son pied, puis avec une lampe Ikéa, puis en jouant du trombone. Les vibrations du son de l'instrument ont provoqué une réaction sur le beurre qui est devenu de l'huile de vidange brûlante coupée au mercure, qui a été projeté sur le pauvre Gaylord dont il ne reste aujourd'hui que l'oeil gauche exposé au musée de la Tartine au Liechtenstein.
Conclusion
En conclusion, on peut dire que pendant les siècles, les théories concernant ce véritable génocide de matière grasse se sont enchaînées sans succès...Les quelques fous qui en ont survécu se considèrent maintenant comme miraculés et ont touché de la part du Congrès de la Recherche Scientifique une grosse somme qui leur permettra de mettre du beurre dans les épinards dans leur abri anti-atomique.
----------
[MVLC] Vous devez tuer le capitaine Vladimir Mirobolski, en croisière en Sibérie, avec une clé à molette, une flèche, une Wii, et un bol de pruneaux au kirsch.
[ID] Echappez-vous de Fear Mansion, un manoir flottant dans les airs, rempli de Pokémon Spectre...avec un chandelier, une tronçonneuse, et un Spectrum complètement taré
[Philol] Pourquoi des gens achètent de l'eau en bouteille ?
Modifié en dernier par Dr.Snap le jeu. 14 avr. 2011, 21:11, modifié 2 fois.





- Ashtur Rainbow
- Membre
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- Enregistré le : jeu. 22 avr. 2010, 17:31
- Localisation : Dire "dans ton cul" est plutôt puéril.
Re: [Topic Unique] Lyrical or Lyrics?
Hop, je prend l'ID !
EDIT:

EDIT:
Spoiler :
MVLC
Tuez le plus beau couple du Bip (enfin, celui que vous pensez être le plus beau) avec une paire de chaussettes sales appartenant à Kev', un slip appartenant à Vivi et un pull appartenant à Snap. Votre histoire doit se dérouler sur l'ile personnelle de vos prochaines victimes.
ID
Échappez-vous d'un château couleur rose framboise et jaune citron grâce à une tronçonneuse et un calendrier avec des photos qui représentent les rédacteurs de Pokebip dans des tenues assez bizarres (et pas très nettes aussi).
Modifié en dernier par Ashtur Rainbow le dim. 17 avr. 2011, 19:41, modifié 1 fois.
100% IRONY

Spoiler :