[Topic Unique] Lyrical or Lyrics?

[Silver_lugia]

Ciel bleu, soleil brillant, chaleur. Belle journée d'été en perspective. Foule entassée dans un hall de gare, cris, rires, avertissements, recommandations, discussions, adieux, salutations. Train en partance. Quelques courses effrénées, coups de sifflets, respiration haletante, recherche de sa place, bousculades dans un trop petit couloir. Fauteuils moelleux. Si moelleux...
Un homme d'une vingtaine d'années. Assez grand, cheveux noirs, lunettes, yeux verts, grand chapeau. Dr. Snap. Billets en main, quelques murmures adressés à soi-même.

« 47, 51, 55... Ah, voilà ! »

L'homme dans un de ces fauteuils moelleux. Ah, la première classe ! Léger coup d'oeil jeté à droite et à gauche. Pas d'homme politique verreux, de chanteurs plus ou moins connus, de grand monde du cinéma ou de petit monde de la télévision ? Visiblement non. Soupir. Jamais rien d'intéressant dans cette vie. Départ du train. Quelques signes de mains de par et d'autre des fenêtres sales et griffées. Vitesse. Sortie de la gare. Plus de vitesse. Traversée de paysages verts et ensoleillés. Toujours plus de vitesse.
Trop de vitesse. Beaucoup de trop de vitesse. Cris. Agitation, panique, hystérie ! Foule confinée dans un espace trop petit, mouvement de panique. Stress. Images d'un futur, ou plutôt d'un non-futur. Images de la mort.
Virage. Déraillement. Plus rien.

Train renversé sur le côté. Cadavres. Beaucoup, beaucoup de cadavres. Dr. Snap ? Un cadavre. Un cadavre parmi tant d'autres. Quelques gémissements de survivants. Et un rire. Un rire effroyable. Et le conducteur, l'air fou. Et ce rire, toujours ce rire...


C'est court, je sais, mais c'est assez difficile d'écrire sans verbes >.<

[Saer Myenn]

Tes choix ?

[Silver_lugia]

Ah, désolée, j'avais pas compris qu'il fallait déjà les donner... '

Insert me : Un magnifique soleil brillait ce jour-là. Malheureusement, on ne pouvait l'admirer car des nuages chargés de pluie le cachaient entièrement. Un orage se préparait. L'atmosphère était électrique et, comme si ça ne suffisait pas, les chiens et les enfants du voisinage faisaient un raffut effroyable. Comment pouvait-on se concentrer dans de telles conditions ?
MVLC : Tuez-moi avec... de l'eau. Soyez originaux, évitez de me noyer !
Pub : On a inventé une maladie inoffensive qui permet aux enfants de rester chez eux. Faites-en la publicité d'une manière qui n'alerte pas les parents.

*part écrire son meurtre*

Edit : Ah, ben je viens de voir le bar... J'avais pas énormément d'idées, alors si Babu veut mettre ses choix, pas de problèmes hein !

[Ashtur Rainbow]

Je prend le MVLC !

Edit:

-Hey ! Réveille-toi !
-Humph.... Qu'est-ce qu'il y a encore ?
-Devine, gros bêta en version alpha ! On est arrivé !
-TekartaPolis ? Déjà ?
Un hélicoptère survolait la paisible cité de TekartaPolis, grande métropole au multiple immeubles d'acier. A son bord se trouvaient deux jeune adolescents.
-Arf, c'est vraiment grand !
-Tu l'a dis ! Mais n'oublies pas qu'on n'est pas ici pour faire du tourisme.
-Je sais Natsu'..... C'est pour quoi déjà ?
-Vivi ! Espèce d'abruti endormi !

♣~Carré d'as et paire de vols~♠

-Alors c'est ça, le TekartagayemingueCenter ?
-Ouaip.
Nastuko et Vivinana, après s'être posé au alentour de la ville et traverser la moitié de la ville, étaient arrivé devant le TekartagayemingueCenter, le grand centre de rendez-vous de tout les joueur de cartes. C'était un grand bâtiment gris foncé, fait de métal, aux larges fenêtres et à la porte rouge.
-C'est ici qu'est gardée la Carte de Carreau, une des deux qui nous manque, hein ?
-Oui. Si je me rappelle bien, celle de Cœur se trouve aussi dans cette ville, dans un petit bar miteux, fréquenté par des écrivains alcooliques qui s'appelle.... Euh....
-C'est le BMF, le Bar-mini-fics voyons ! Et tu dis que je suis un endormi...
-Ah bon ? C'est.... Ah mais si ! On y est déjà allez en plus ! Et Dragi nous l'avait montré un jour, cette carte !
-Eh bien tu vois que tu t'en rappelle !
-Ouais, bon, on va d'abord s'occuper de celle de Carreau. De toute façon, c'est pas bien compliqué, en plus avec l'aide des deux Cartes déjà en notre possession.
La jeune fille sortit de son sac deux cartes métallique, l'une avec en son centre un rubis en forme de trèfle, l'autre un saphir en forme de pique. Elle donna cette dernière à son compagnon.
-Tiens. Maintenant, je propose d'aller prendre une chambre dans un des hôtels de la ville....

Le lendemain matin, à 10H37, Vivi se réveilla, non pas sans difficulté. La nuit avait été longue mais le plus important été qu'ils avaient réussi à récupérer la Carte.
-Déjà levée Natsu' ?
Elle était devant la porte de l'hôtel, adossée contre le mur.
-Depuis sept heure et treize minute exactement. Bon, prend ton petit déjeuner et après on y va, d'accord ?
-Bah, j'achèterais au pain au chocolat dans une boulangerie...
-Comme tu veux. On y va !
Ils sortirent puis prirent la direction du BMF. C'était un bar à l'apparence un peu vieillotte et sombre. C'était à environ 18 minute de l'hôtel, mais avec la foule qu'il y avait ce jour-là, il fallut une bonne demi-heure à Natsu' et Vivi pour y arriver.
-Ch'est pas pochible tout che monde alors !
-Ne parle pas la bouche pleine, Vivi.... Ah ! On est arrivé !
-Ch'est pas trop tôt !
Les deux adolescents entrèrent dans le bâtiment. A l'intérieur, pas un bruit. Pas un chat. Pas un courant d'air. Beaucoup trop calme à leur goût.
-Étrange.....
-Si che me rappelle bien, ch'est à la cave qu'elle est entreposé.
Ils descendirent donc à la cave. Effectivement, au milieu des tonneaux de jus de fruit, placée sur un cousin rouge, lui même placé sur une chaise, se trouvait une autre carte de métal, avec incrusté une améthyste presque blanche en forme de cœur. Vivinana s'y précipita, avança doucement sa main tremblante d'émotion vers l'objet de sa convoitise....
-Enfin ! Les quatre Cartes sont à nous, Natsuko !
Mais avant qu'il puisse la saisir, il fut projeté contre le mur en même temps que sa complice.
-Ne parle pas trop vite, Vivi, vous n'aurez jamais cette Carte.
-Silver_lugia, c'est toi ? Hey ! Vivi ! Réveille-toi !
Il s'était évanoui sur le coup. La dénommée Silver-lugia, qui était un peu plus âgée qu'eux, se baissa pour ramasser deux Cartes que Vivi et Natsu' avait tombé lors de l'attaque de son attaque.
-La Carte de Trèfle et celle de Cœur... C'est Maitre Kev qui va être content. Mais pour le moment, je vais me débarrasser de vous deux...
-Alors cette enflure est aussi sur le coup...
Silver_lugia rangea les Cartes de Cœur et de Carreau et envoya un jet de flamme sur ses adversaire grâce à la Carte de Trèfle; en effet, les Carte contrôlaient chacune un élément, celle de Cœur l'air, celle de Carreau la terre. Mais Natsuko ne se laissa pas faire, elle pris la carte de Pique, qu'avait encore Vivi, et s'en servit pour faire un bouclier aqueux
-Tu as encore de la ressource on dirait, mais c'est pas avec ça que tu vas pouvoir résister à mes flammes !
Elle augmenta la chaleur des flammes, réduisant le bouclier en un nuage de vapeur. Elle s'approcha pour prendre la Carte de Pique, croyant qu'elle les avait carbonisés. Mais malheureusement pour elle, Natsuko avait réussi à sauver sa peau et celle de Vivi. Elle pris donc S_l au dépourvue quand elle envoya un filet d'eau, qui commença à serrer son cou pour l'étrangler.
-Mais que....
-Tu... Croyais peut être... Qu'on allait se laisser... Faire ?
-Natsu'....
-T'es réveillé, toi ?
-Que s'est-il passé ?...
Natsuko n'eut pas besoin de lui répondre. Le cadavre violacé de S_l le faisait pour elle. Ils avaient gagné !

-Maitre Kev ! Maitre... Kev !
-Du calme, PP, qu'est-ce qui se passe ?
-On a.... Retrouvé.... Le cadavre de S_l dans la cave du bar !
-Comment ça ?!
-Ce n'est pas tout ! La Carte à disparue ! Et celle qui était au TekartagayemingueCenter aussi !
-Je parie que c'est encore cette bande de....

Que va tenter Kev pour récupérer les Cartes ?
Est-ce que Natsuko et Vivinana vont pouvoir les garder ?
Pourquoi tant de monde veut s'en emparer ?
♥~Affaire à suivre ....~♦

Insert me

-On va en faire qu'une bouchée, hein Sand' ?
-Sablaireau !
Natsuko était très déterminée à leur faire mordre la poussière, à elle et son Luxio. Elle n'avait pas qu'à la chercher. Ce n'est pas parce qu'elle est plus haut placée qu'elle allait faire sa loi ici, sur son territoire !

ID

Vous êtes coincée sur l'ile au Bannis après avoir fait une grosse bêtise. Enfuyez-vous grâce à un mouchoir en papier !

[Saer Myenn]

Spoiler :

Saga du cartel - Episode 1 : Le village.

C'était une belle journée à Bipland, les Nirondelles faisaient leurs nids, les Keunotor sortaient d'hibernation, bref, la journée idéale, avec les chamailleries habituelles de Vivi&Nana, Dragi qui hurle après les jeunes, un bulldozer qui s'apprête à détruire une maison, Snap qui … Un bulldozer ? La maison de Kev était visée, malheureusement, il était trop tard pour l'en avertir, et il fut détruit en même temps que sa maison. Soudain, le bulldozer s'arrêta avant de détruire la maison de Raytom, car Tyriak mit un tuyau sous la roue de la machine, ce qui força le gars qui conduisait à sortir. Saz Pan Rudo, le maire du village se saisit du tuyau et non sans mal mais aidés des autres Bipiens, il détruisit l'odieuse machine. L’ouvrier s’enfuit en hurlant : «C’est des malades ! Des malades !». Kev fut enterré à la façon bipienne, c’est-à-dire enterré dans la forêt avec les divinités sylvestres. C’est ainsi que tout commença, et que tout finit.

Le deuxième jour, cinq bulldozers conduits cette fois par une limousine arrivèrent à Bipland.
- Une limousine maintenant ? Mais alors ça veut … commença Vivi.
- Dire que quelqu’un de très riche est derrière tout ça ! finit Nana.
- Mais qui donc est suffisamment riche pour réclamer la destruction de cet endroit ? surenchérit Saz.
Une femme d’une incroyable beauté sortit de la limousine et sortit des plans. Raytom, devenu fou à cause de la mort de son ami Kev se munit d’une branche de saule assez épaisse et se lança vers la femme pour la punir car il avait compris, il comprenait tout. Malheureusement, il ne comprit pas ce qui se passait quand elle sortit un pistolet et tua froidement Raytom qui tomba à ses pieds. Elle s’abaissa, sortit un linge, et le posa délicatement sur le cadavre avant de s’asseoir dessus. Elle se mit à jouer avec son pistolet en le balançant de gauche à droite, avant de tirer au hasard. Elle toucha Nana à la cuisse droite, puis par le lien télépathique des jumeaux, Vivi ressentit la même douleur au même endroit. Dragi, qui se déplaçait vers les enfants pour les protéger, leva les mains en l’air pour prouver qu’elle ne voulait pas de mal. Au même moment, Snap le médecin se dirigeait vers les enfants en imitant Dragi. La femme se leva et alla vers les jumeaux en menaçant les autres du pistolet. Elle sortit son Luxio et électrocuta Vivi d’un milliard de volts. Il mourut sur le coup, et Nana s’effondra en larmes. Elle tomba sur Vivi tandis que la femme fit demi-tour et remonta dans sa limousine.
- Vous voyez ? Ils ne sont pas si durs que ça à tuer. Faites ça rapidement et cachez les corps. Je reviendrais demain, annonça la femme, aussi froidement que possible.
La femme partit et les cinq employés descendirent de leurs machines. Les quatre survivants capables de se battre, Snap, Saz, Natsu et Tyriak, se jetèrent sur quatre ouvriers qui se firent battre à mort. Cependant, dans les combats, avant que Snap ne porte le coup final à son adversaire, le dernier ouvrier que personne ne frappait, toucha Snap dans le dos qui mourut sur le coup. Après la fin du massacre, Natsu était indemne car elle avait utilisé son Sablaireau, tandis que les autres étaient blessés, Tyriak assez violemment au crâne, il eut juste le temps d’achever son adversaire avant de mourir. Natsu et Saz n’eurent aucun mal à se débarrasser des deux derniers ennemis. Dragi s’approcha de Saz pour panser ses blessures, puis les trois adultes s’approchèrent pour enlever Nana du cadavre de Vivi pour aller soigner l’un et enterrer l’autre avec les cadavres de ceux tombés dans la journée.

Le troisième jour, la femme revint plus féroce que jamais en voyant que tous ses ouvriers étaient morts. Elle tira dans tous les sens et toucha deux fois Saz à la poitrine. Natsu se jeta sur lui.
- Natsu, dit Saz, la bouche pleine de sang, tues-la ! Tues-la puis partez pour un autre village, très loin d’ici !
- Mais Dragi ?
- Elle a une bonne endurance physique, crois-moi. Mais Nana sera plus difficile à convaincre, il faudra que tu uses de psychologie pour qu’elle accepte de te suivre.
- Mais … je ne veux pas ! Qui va t’enterrer ? Et puis je vais bien réussir à te sauver ! dit-elle en accomplissant vainement des massages cardiaques sur le cadavre.
- Natsu, il est mort, annonça Dragi en mesurant son pouls.
- Non ! Non ! Non, il n’est pas mort ! Il va s’en sortir, dit-elle en continuant à effectuer massages cardiaques et bouche-à-bouche.
- T’es mignonne toi, mais il est vraiment mort, et vous allez mourir avec lui !
Natsu sortit son Sablaireau qui se jeta sur la femme à une vitesse folle et qui détruisit son pistolet alors qu’elle le braquait sur Dragi. Elle donna un coup de pied dans le Sablaireau qui vola jusqu’à Natsu. Elle sortit son Luxio.
- Très bien, tu veux un match Pokémon ? Qu’il en soit ainsi ! Mais pour être sure que personne ne nous interrompe ... Luxio, Cage-éclair !
Une cage d’électricité apparut de nulle part pour emprisonner Dragi, Nana et Saz.
- Très bien, commençons, lança-t-elle avec dédain.
- On va en faire qu'une bouchée, hein Sand' ?
- Sablaireau !
Natsu était très déterminée à leur faire mordre la poussière, à elle et son Luxio. Elle n'avait qu'à pas la chercher. Ce n'est pas parce qu'elle est plus haut placée qu'elle allait faire sa loi ici, sur son territoire !
- Sablaireau, Griffe Ombre !
Luxio évita très facilement l’assaut, mais Sablaireau visait également la femme, qui fut tranchée par les griffes, et perdait du sang à une vitesse affolante. Luxio, enervé, se mit à attaquer Sablaireau en vain, car ses attaques ne portaient pas. Il fut vaincu par KO quand Sablaireau utilisa Tunnel. La Cage-Eclair s’interrompit
- Ainsi, cela se finit. Mais d’autres te traqueront, Natsuko, ria la femme d’un rire sinistre, avant de mourir.
- Dragi, tu sais ce qu’elle voulait dire ?
- Pas la moindre idée. Et mainenant, on fait quoi ?
- On va suivre les conseils de feu notre maire. On va s’installer dans un lieu tranquille, isolé de la civilisation et de ses méfaits.
Sur ces mots, les trois femmes partirent, et ce fut la fin du village.

Mais qui était cette femme ? Pourquoi en voulait-elle à Natsu ? Et surtout, qui sont ces «autres» ? Vous le découvrirez dans le prochain épisode de votre fantastique saga !

[Tyriak]

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, j'ai l'honneur de vous présenter un MVLC réalisé à 2, par l'inénarrable dragi' et moi-même, modeste petit représentant de la dragibologie, en réponse au sujet imposé par DimoniaK.

Rappel du sujet !

MVLC: Tuez-moi avec un exposé barbant sur l'impressionisme, aka ce que je dois faire pour lundi ='(
Poème: Vantez les mérites des jours où on bosse pas. Et il doit être bien construit, sinon le roi des feignants vous tue!!

Spoiler :

« Et surtout, rédigez le correctement et sans fautes ! Je ne veux pas voir une seule erreur, historique ou orthographique ! »
C'est sur cette dernière phrase de la mère Dragibus, qui n'avait du bonbon que la variété des couleurs, que DimoniaK daigna se réveiller pour enfin jeter un œil au sujet que Son Absolue Chianteté avait balancé sur sa table. Un truc absolument passionnant sur l'impressionnisme. Par passionnant, entendez suffisamment pour en lire les trois premiers mots avant de se rendormir, sans songer une seconde à écouter les élucubrations explicatives qui meubleraient les blancs entre deux sermons, ce jusqu'à la sonnerie.

Arrivé chez lui, Dimo' jeta son sac et son corps engourdi sur le lit. Par curiosité, il songea à sortir le sujet de son trieur, accessoire par défaut de l'élève bordélique, qui n'avait d'ailleurs de trié que le nom.
Finalement, il le lut : Sujet : L'Impressionnisme, une révolution dans l'histoire de la peinture ?. Pour une fois, il eut l'impression de comprendre le sujet. Évidemment, ce n'était qu'une impression, comme les lueurs rougeâtres du ciel aux rayons du soleil levant. Il alluma son ordinateur, en rassemblant ses connaissances sur le sujet. L'époque était délimitée : de 1874 à 1886, ce qui signifiait que c'est pendant la Révolution Française et le règne de Napoléon, qui avait succédé à Louis XIV, mort guillotiné par une pièce à Varennes, en Autriche hongroise. Ce devoir était presque trop facile. Presque, car en tapant « Impressionnisme » sur Wikipédia, il découvrit que c'était carrément un mouvement artistique !
Ah ouais...
Carrément...
Fait ch*er cette prof'...
Et en plus c'est pour lundi...
Deux jours... Dont un au foot et l'autre devant un match de foot.
Tant pis.
Entre les « fait ch*er », les « F*ck » et autres « m*rde », qui tenaient lieu et place de ponctuation chez lui, Dimo' commença à lire l'article. Les idées se bousculaient dans sa tête, tant et si bien qu'elles en ressortaient aussitôt. La soirée allait être longue.
M**de.

Le lundi en question, DimoniaK se présenta en cours les mains dans les poches.
Lorsque sa prof lui demanda son travail, il balança négligemment sur sa table une copie double, dont seule la première page était remplie. Et encore, à moitié, en comptant la place occupée par le sujet. C'est dire combien il s'était foulé...

Madame Dragibus s'approcha de lui, jeta un rapide coup d'œil sur la feuille et haussa un sourcil surpris. C'était une grande femme sèche, aux cheveux noirs et lisses soigneusement tirés en arrière en un chignon sévère. Aucune excentricité dans sa tenue : tailleur gris foncé de coupe hyper classique et chaussures à talons plats. L'archétype de l'enseignante coincée et ultratraditionnaliste.

Elle prit son temps pour chausser ses lunettes sur l'extrémité de son nez pointu et lut les quelques lignes griffonnées à la hâte par DimoniaK .
« Remarquable ! Absolument remarquable, votre analyse sur l'impressionnisme, dit-elle en le regardant par dessus sa monture. Votre travail mérite d'être lu à l'ensemble de la classe, afin que vos camarades puissent prendre connaissance de cette Perle de Culture !... »

Sujet : L'Impressionnisme, une révolution dans l'histoire de la peinture ?

L'impressionnisme, c'est quand on ressent des impressions fortes : on est impressionné.
Pendant la révolution, les gens qui étaient condamnés à mort trouvaient la guillotine impressionnante. On peut trouver plusieurs peintures qui montrent leur visage impressionné.

Toute la classe se tordit de rire pendant un long moment, tandis que DimoniaK affichait un petit sourire narquois derrière un air faussement modeste.

« Monsieur DimoniaK, je suis moi-même très « impressionnée » par la profondeur de votre réflexion et la terrible justesse de vos propos. A tel point que j'aimerais que l'on poursuive ce débat passionnant et « impressionnant » en tête à tête mercredi après-midi dans la salle de permanence. Vous disposerez alors de quatre heures complètes pour me préciser vos « impressions » fortes sur le sujet... Apportez-moi votre carnet de liaison sur le bureau... »

Le mercredi suivant, le pauvre DimoniaK fut bien obligé de se rendre en perm pour recommencer son devoir.
Madame Dragibus l'attendait, toujours sanglée dans le même type de tailleur, mais bleu marine cette fois. Elle devait en posséder toute une collection dans son dressing, d'une couleur différente pour chaque jour de la semaine.
« Vous avez quatre heures pour me faire un travail correct. Je mets à votre disposition quelques encyclopédies de la peinture et des reproductions de tableaux afin que vous puissiez effectuer des recherches et combler votre puits d'inculture, annonça-t-elle d'un ton cassant. Des questions ? Non ? Alors au travail. »

Purée... M*rde... Saleté de devoir. Si seulement j'avais fait le premier plus sérieusement... J'en serais pas là... 'Tain, pas d'idées. Du tout. Ça va venir...ça va venir... Mais il me les faut tout de suite les idées... Argh... J'y arriverai jamais ! Bordel... Impressionnisme... impressionnisme... pffff... elle me les broute, elle ! Comme si j'en avais quelque chose à battre ! Quatre heures pour ça... quatre ?! La journée va être longue... Bon, on a plus qu'à s'y mettre... Impressionnisme... Qu'est-ce que j'ai lu déjà ? Un truc à propos de monnaie non ?

Au bout d'un moment, la prof passa derrière Dimoniak et vint lire par dessus son épaule ce qu'il avait déjà écrit, c'est-à-dire pas grand chose.
« Ah, comme c'est étrange, Monsieur Dimoniak, vous n'avez pas beaucoup avancé. Seriez-vous en panne d'inspiration ? Je vous « impressionne, » c'est ça ? »

Ha ha ! Fais de l'humour ! Vieille bique, va ! Elle me saoule celle là avec ses devoirs et ses exposés qui n'intéressent personne !

- Comment ça j'intéresse personne ?
La voix s'immisça dans l'esprit de Dimoniak, qui releva la tête... Un instant, il eut peur d'avoir pensé à voix haute. Quoique, la prof' n'aurait pas relevé en premier le peu d'intérêt qu'il lui portait.

- Ohé ! Je suis là !
Dimo' tourna la tête. La dame l'interpella alors :
-Monsieur DimoniaK, vous cherchez l'inspiration, le nez en l'air ?
Un peu honteux, il baissa la tête.

- C'est quand même pas possible de louper un truc qui est juste sous son nez ! Rah ces humains !
Le cancre n'en revenait pas : le sujet lui parlait !
- Je sais, ça doit être la première fois de ta vie gnagnagni gnagnagna... Mais bon, t'es coincé, faut bien que je t'aide, non ? Bon, on va commencer...
Cherche tout d'abord les dates de l'impressionnisme : c'est un important mouvement artistique qui va principalement prendre ses marques à la fin XIXè siècle, à travers les pinceaux de Monet, Manet, voire même Degas qui prêta au mouvement des touches exotiques, influencé par le Japon et ses estampes. S'il ne fallait retenir qu'une seule œuvre impressionniste, c'est tout d'abord celle qui se révèle lui avoir prêté un nom qu'il faut analyser : Impression Soleil levant de Monet.

L'ado eut encore un moment de stupeur, qui se traduisit par un arrondissement des lèvres et des yeux donnant à sa face ronde un air encore plus lunaire que d'habitude.
Puis il se mit à gratter furieusement sur sa feuille. Le « devoir » continuait à débiter ses infos d'une voix nasillarde mais rapide, et Dimo', peu habitué à prendre des notes, loupait la moitié des mots.

- L'impressionnisme est un néologisme inventé à partir du titre de ce tableau et devint vite générique pour désigner les tenants de la « nouvelle peinture ». L'oeuvre de Monet est significative à la fois par son sujet, mais surtout par sa facture proche de l'esquisse. On sent dans la touche fragmentée la volonté de rendre l'instant d'une atmosphère particulière, une sensation unique, une « impression ».
- Hey, j'arrive pas à suivre et je capte pas tout !
- Ahah... ! Et c'est seulement maintenant que vous en prenez conscience, Monsieur DimoniaK ?
- Euh... Non... Oui... Enfin, c'pas à vous que je parlais...
- Monet sait que le bonheur ne peut relever que de la plénitude du présent. Il veut prendre, dans les filets de son art, les vibrations de ses impressions, ce présent, qui chatoie sans jamais se fixer comme un être de fuite qui affole son désir par l'épaisseur d'une absence. Barque et soleil se déploient vers nous dans un mouvement qui réconcilie le déplacement dans l’espace et le mouvement dans le temps comme si la peinture présentait la certitude du temps retrouvé dans l’éternité d’un devenir. Rien n’est perdu et pourtant rien n’est fixé par le peintre qui, fidèle à sa vocation d’exprimer une totalité naturelle concrète et sans fin, nous invite à plonger dans sa peinture comme dans une source ponctuée des trois notes de la barque.
- Vous vous parliez à vous-même je suppose... Un sursaut de votre conscience à l'approche des examens...
- Euh... Oui... Non... Attends ! Pas si vite !
- Cézanne préfèrera à la naïveté du panthéisme et à la vanité d'une impossible cueillette du présent sa personnalité comme ascension vers la lumière, certitude de soi, dans un projet, mouvement dont Francis Ponge imprégnera ses yeux d'enfants, au Jardin de la Fontaine, à Nîmes la lumineuse, en levant les yeux vers la Tour Magne baignée de lumière.
- Ne me tutoyez pas !!!

Obligé d'écouter la voix dans sa tête tout en écrivant des mots qu'il ne comprenait pas pendant que sa prof lui parlait et qu'il devait lui répondre, Dimo' commençait à être en surcharge cognitive...
Les lettres dansaient devant ses yeux.
- Excuse... Pan-thé-isme du présent... Ascension du projet... Bob éponge les yeux d'enfants...

Les mots s'étiraient dans sa tête en un long écho caverneux.
- Les impressionnistes vont expérimenter les oppositions de couleurs primaires et complémentaires pour exalter la pureté des coloris.

Madame Dragibus avait commencé à prendre une teinte verdâtre des plus seyantes...
- Le mélange optique dans l'oeil va remplacer le mélange des pigments sur la palette (surtout chez les néo-impressionnistes). La couleur, chez ces peintres, accédait à la primauté des moyens de création. C'est par la juxtaposition des couleurs pures en touches fragmentées qu'ils voulaient arriver à créer ce qui jusqu'alors était attendu uniquement du dessin : la composition, le volume, la perspective, la traduction des émotions.

La pièce elle-même changeait peu à peu de couleur et d'aspect, les meubles se déformant légèrement, les perspectives s'étirant mollement, le tout baigné d'un flou artistique du plus bel effet.

Soudain, il lui sembla que tout était à nouveau normal. Les touches de couleur aléatoires reprirent la place à laquelle elles avaient été empruntées. Les murs se rapprochèrent, leurs faces blanches éliminant la fausseté des perspectives. Devant lui, se tenait une professeur mi-hébétée, mi-mécontente, qui se détourna de lui pour griffonner quelque chose dans un coin de son agenda. Dimo' souffla, et passa sa main devant son front couvert de sueur... Et là, horreur ! Sa main n'était plus qu'un agencement de couleurs primaires, qui semblait ramper le long de son bras dans un nuage du plus bel effet. Dans son crâne, la voix du devoir résonnait :
- Aujourd'hui, et depuis la trentième année qui suivit la fin de son siècle, l'impressionisme n'est plus considéré comme une Révolution dans l'art. Bien que désirant s'affranchir du carcan du passé, il représente pour les plus brillants analystes l'aboutissement, le paroxysme de la représentation réaliste des éléments dont la Nature s'est fortuitement parée. Ce sont ces multitudes de couleurs et de sensations qui viennent combattre la nouvelle invention diabolique qui enlève à l'art une partie de son devoir : la photographie, inventée en 1839, qui mettra à la portée du peuple vulgaire la fixation de la lumière du Monde.
DimoniaK n'en peut plus ! Il est à bout de force tandis qu'il combat la gangrène pixellisée qui remonte jusqu'à son épaule. Il ouvre une fenêtre, à bout de forces ; il irait jusqu'à jeter son appendice pointillisé s'il le pouvait ! La diatribe infernale continue :
- Débouchons enfin sur la conclusion : les rôles de l'Art. L'antique citation latine n'a jamais pris autant de sens qu'avec l'impressionnisme : Placere, Ducere, Movere !, devise que tout artiste, qu'il exerce ses talents dans les images, les lettres ou les sons, se doit de connaître ! Le Placere, la fonction plaire de l'impressionnisme se distingue par sa nouveauté. La distraction du lecteur, si l'on s'en réfère au sens pascalien du terme, est apporté par ce détournement du quotidien pour en faire une oeuvre.
L'élève finit par se rendre compte qu'il ne peut s'en sortir. Il s'avance, chancelant vers sa copie, à peine remarqué par Madame Dragibus qui semble rédiger un véritable rapport à son sujet. Il tente de hurler, mais pas un son ne sort de sa bouche, figée dans un goût horrible de peinture.
- Ensuite, le Ducere, la fonction d'éducation, d'information. L'impressionisme tend aussi à corriger les moeurs de par son attachement aux scènes joyeuses, son éloge constant de la Nature, et sa pureté affichée. Quoi de mieux qu'un Art épuré pour transmettre ces valeurs de tolérance et de solidarité, de beauté coquette et d'organisation aléatoire ? C'est justement cette même pureté qui permet de justifier la dernière partie des fonctions de l'Art : le Movere. L'émotion qui jaillit de ces touches de couleurs, est renforcée par les mélanges incessants dans nos yeux des multiples points de lumière.
Des points de lumière, c'est tout ce que voit Dimo' dans sa lente agonie. Il tente de griffonner un S.O.S. à la hâte sur sa feuille. Il ne sait ce qu'il a écrit, mais il sait que les pixels continuent à recomposer son corps, jusqu'à son cerveau.
- À travers cette démonstration, nous avons pu démontrer que l'impressionnisme n'est pas que...
Ses membres, déjà raidis, deviennent distants, comme s'ils n'existaient plus.
- ...le renouveau de la peinture traditionaliste, mais aussi un constant flux d'émotions puissantes. C'est un Art...
Son corps se disloque tandis qu'il tente une dernière fois de hurler. Sans espoir. Il...
- ...vivant.
...explose.

C'est ainsi que DimoniaK mourut, paix à son âme, tué par son devoir sur l'impressionnisme.
Il est allé rejoindre Monet et Van Gogh au paradis des nymphéas et des tournesols.

Quant à Madame Dragibus, qui était persuadée que Dimo' avait fui par la fenêtre, elle était bien embêtée d'avoir perdu un élève aussi brillant : avant de la quitter, il avait griffonné à la hâte la citation latine des plus grands artistes. Elle l'avait alors découpée et elle la portait désormais tout près de son cœur. Mais, pas de temps à perdre, il fallait se remettre au travail ! C'est ainsi que, vêtue d'un tailleur caca-d'oie, elle venait tout juste de remettre à ses élèves le sujet de leur prochain devoir.

Sujet : le cubisme ou une révolution dans l'histoire de l'Art.

Enjoy ! Les parties rédigées par dragi' sont en gras

(D'après saz', c'est à Babu de poster les choix ! )

[Babu]

Natsuko en a déjà posé il me semble...

[Jenn!]

...
Personne ne se décide ?
J'prends l'île déserte dans ce cas-là !

Insert Me : Je sais... Pendant tout ce temps, je n'ai cessé de vous suivre, de vous soutenir, de vous apportez aides et soutiens. Mais voilà, depuis maintenant cette terrible journée, je le sens, plus jamais nous pourrons redevenir les amants que nous étions.
Pub : Allez, soyons fou, j'attends de vous une pub qui vanteraient avec brio les biscuits pour chiens " Kinuko ". Miam d'avance.
MVLC : Mmmmmh... J'aimerais vois si vous êtres capable de me tuer grâce à l'aide incontestée d'un chewing gum au wasabi.

[Streptopoek]

Je prend la MVLC pour au moins en faire une ne comprenant XD
Par contre il faudra attendre un peu

Spoiler :

MVLC:Tuer moi avec quelque chose que vous ne pouvez pas supportez, attention cela doit être vraiment tordu
Chanson: Parodiez in too deep de sum 41 en n'utilisant jamais les mêmes mots(sauf pour le refrainet les mots de liaisons
Pub:Une pub pour vendre de la baleine, il faut essayer de rendre cela normal

Sa y est Snap tu est content et dsl pour tout le monde

Je n'ai point eu l'envie et pourtant je l'ai fait.
Je n'ai pas pu souffrir mais grâce à moi, nous ne pouvons pas en dire autant pour tout le monde.

Cette histoire ce déroule dans un cataclysme post-apocalyptique.
Il est que le monde d'aujourd'hui est horrible, mais celui de mon esprit l'est d'avantage je vous rassure.
La vie n'est qu'un chemin ayant des ruelles amenant à d'autres choses mais aujourd'hui elle m'a amené au coté de Jenn!
Je me baladais donc paisiblement au côtés des rataupe et autres créatures tellement charmantes.
J'entrait donc dans un bar, étrangement, il ne rester qu'un tas de taules froissé autour.
Je me trouvait donc prés de megaton, mais un individu semblait tout à fait étrange .
En effet portant un t-shirt de l'équipe de France 98, un short ressemblant étrangement à celui de yannick noah durant sa victoire et des geox.
Son visage portait une expression étrange, en effet, il mélangeait à la fois l'impression d'une personne constipé ainsi que d'un enfant ecervelé.
Mais ce qui me marqua fut sans doute le fait qu'il mangeait un chewing gum ceut qui semblait par ailleurs la cause de cette expression.
Personne ne c'était approché de lui ou elle on ne savait pas, en effet son visages était gonflé, des pustules énormes.
Cependant je voulait m'approcher sans résultat puis je dit au barman, une heineken.
Je la prit, étant déjà bien amoché je ne sentait pas le danger et m'approcher de l'individu.
Je lui dit " euh. . . bonjour".
Puis il fut heureux et était pret à parler mais il semblait au contraire s'étouffer.
Il tomba, raide mort comme une loque.
Dans une de ces poches se trouver un packet de chewin-gum au wasabi.
Puis il se mit à enfler, enfler,enfler, à tel point qu'on aurait eu penser à un certains bou mais en vert.
Son corps émanait une odeur insoutenable, mais je n'eu le temps de rien faire.
Et oui je suis mort, recouvert par des rongeurs assoiffé de sang, et décomposé par un acide inconnu.
Tout sa car j'ai bu.

Bon je crois que je vais prendre le chemin de snap qui tape .

[Dr.Snap]

TES CHOIX !

[Saer Myenn]

Natsuko en a déjà posé il me semble...

Mais j'ai déjà pris le defi de Natsu !

[dragibus]

C'est bon, on reprend à partir de là :

Je prend la MVLC pour au moins en faire une ne comprenant XD
Par contre il faudra attendre un peu

MVLC:Tuer moi avec quelque chose que vous ne pouvez pas supportez, attention cela doit être vraiment tordu
Chanson: Parodiez in too deep de sum 41 en n'utilisant jamais les mêmes mots(sauf pour le refrainet les mots de liaisons
Pub:Une pub pour vendre de la baleine, il faut essayer de rendre cela normal

[Vivinana]

Je prend le MVLC !

Insert me :
Dragibus se leva d'un bond et sauta par la fenêtre pour éviter son assaillant. C'était sans compter sur Nana qui l'attendait déjà en bas pour en finir avec elle. Vivi sauta par la fenêtre et la pauvre femme fut encerclée. Nana sortit alors un miroir étrange...
-Tu vas sombrer dans le miroir de la folie !

Parodie : parodiez "J'ai demandé à la Lune" d'Indochine.
PS : Vous devrez dénigrer Laqua-Rium dans cette parodie EHEHEHEHEHEH ! Qui osera


MVLC : Ca fait trop longtemps que je ne suis mort à mon goût ! Assassinez-moi avec votre amitié !

[Phénicia]

J'ai bien envie de te tuer... En toute amitié xD Je prends MVLC

Tout commença une journée comme une autre, car oui, toutes les journées se ressemblent dans les histoires, sauf que celle-là n’était pas exactement comme l’exigeait le train-train quotidien, sinon ça ne serait pas marrant et l’histoire serait déjà fine… Bref, passons ! Il existait un schizophrène/hermaphrodite/porce/autres (précisez et biffez la mention inutile) qui se nommait Vivinana ; il vivait bien dans une jolie petite maison d’un lieu inconnu (parce que si on met le vrai lieu il faudrait à la gamine qui écrit qu’elle cherche comment faire pour faire se rencontrer les protagonistes et aucune inspiration ne vient de ce côté-là), il avait une amie du nom de Phénicia qui vivait juste à côté et avec qui il passait la majeure partie de son temps. Un beau jour, alors que la jeune fille entrait chez son ami, elle fut scandalisée. Le pot de Nutella acheté la veille. Vide. Mangé. L’œuvre de Vivinana. Lui qui était son ami. Phénicia entra alors dans une rage folle qu’on ne lui connaissait pas auparavant.

- Vivi… J’VAIS T’TUER !!!!

Elle repoussa alors les restes du pauvre pot de Nutella afin de ne pas plus l’abimer, lui qui avait dû tant souffrir, puis serra les poings. Dans un anime, on aurait pu voir une aura l’entourer, ses muscles se gonfler, des flammes sortir de ses yeux… Mais vu que l’on n’est pas dans un anime, on va éviter !

- Vivi, tu vas mourir ici même pour ce blasphème !

Vivinana haussa alors un sourcil avant de demander d’un air tout à fait naturel par rapport à la furie face à lui :

- Mais on est ami !

- Dans ce cas, expliqua Phénicia, je te tuerais avec toute mon amitié !!!!

Elle se mit alors à faire d’étranges mouvements avec ses mains, comme dans les animes car, rappelons-le : Phénicia est une otaku ! Elle prit alors une profonde inspiration et hurla, les mains pointées vers sa cible le tout en prenant une voix plus suraigüe qu’habituellement.

- POCHO POCHO POOOOOCHOOOOOO !!!!

Mais elle ignorait évidemment que le monde du jeu de rôle dans lequel « Pichi », « Puchu » et « Pocho » avaient été inventé n’était pas le même que celui de cette histoire, pas de bol comme on dit ! L’attaque eu alors l’extraordinaire effet… D’être juste complètement ridicule ! Seulement, rappelons que Phénicia est un peu bête, donc elle dû retenter l’attaque une bonne dizaine de fois avant de comprendre que ça ne marchait pas. Sur le coup, Vivinana était attablé face à son pot de Nutella en train de finir sa dernière tartine à la si douce saveur chocolatée. Scandalisée, Phénicia partit en courant jusque face à un ravin débarqué là on ne sait trop pourquoi en pleurant.

- J’ai pas pu tuer Viviiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!

Attristé par la réaction de son amie, le schizophrène la rejoint, tentant du mieux possible de la réconforter, elle esquissa un mince sourire.

- Vivi… Merci mon ami…

Elle tenta alors de lui sauter dans les bras, mais sa crétinité (ça se dit ça ?) la fit tomber à côté, elle poussa alors inconsciemment Vivinana dans le ravin et il mourut juste quand Phénicia était vraiment redevenue son amie, il fut alors tué par son amitié.

Insert me : Il y eut tout d'abord une lumière aveuglante, KevUmbreon ne pouvait plus rien voir, mais, inconsciemment, il pensait ne pas être seul. Non. Il en était même certain. Puis vint un souffle. Un son. Un murmure.
-Maître, j'obéirais au moindre de vos désire !
La lumière faiblit, laissant vaguement entrevoir le visage de Vivinana.

MVLC : Une envie de me tuer ? C'est malin, il va falloir se contenter d'un ours en peluche et d'une brosse à dent !

ID : Survivant d'un naufrage, vous voilà sur une jolie petite île, tout est partis à la mer à l'exception d'une game boy avec un jeu pokémon version jaune !

[Babu]

Je tue Mamy moi, même si c'est la mort dans l'âme

C'est l'histoire de Mamy, ce cycle éternel...

Il était une fois, dans le pays ravagé par les guerres de successions qu'on appelait alors la Belgique, une femme appelée Phénicia.

C'était un joli brin de femme, d'environ 80 ans, que l'on surnommait affectueusement Mamy, en raison de son âge avancé ainsi que de son côté maternel. Elle était en effet encline à couver les jeunes qu'elle croisait dans la rue, les mettre sous son aile, sauf s'ils étaient flamands, des relents de racisme latents occupaient son esprit.

Elle en avait vu du monde, Mamy! D'un point de vue humain, son existence fut bien remplie. Son charme légendaire faisait tomber tous les hommes à ses pieds, elle ne comptait plus le nombre d'hommes qui étaient venus chanter sous ses fenêtres et la combler de cadeau. Au début, elle s'en amusait, se sentait flattée de cette attention qu'on portait sur elle, et puis, à la fin, elle se lassa.

Un homme cependant retint son attention. Par un froid matin de janvier, son regard croisa celui d'un beau brun à la peau mat, qui répondait au doux (?) nom de Kev. Tout en lui la faisait chavirer: sa barbe négligée, sa démarche pachydermique, autant de qualités auxquelles Mamy ne savait rester indifférente...

Comme les autres prétendants, et à la manière de la parade nuptiale du paon, il chanta sous ses fenêtres, telles un homme orchestre, pendant que ses doigts parcouraient le long tube rigide de son saxophone, il jouait de la guitare avec ses pieds (ou comme un pied, les versions différent quand à ce point de détail). Il la couvrit aussi de cadeaux, notamment, d'un ours en peluche taille réelle, de couleur chocolat avec des yeux d'un noir de jais.

Leur idylle dura un long temps, qui pour eux fut à la fois une seconde et une éternité. On les voyait se promener dans les champs de pomme de terre (oui, pour les frites, on est en Belgique que diable!), la main dans la main, se susurrant des mots doux à l'oreille... Ils parlèrent mariage, se chamaillaient pour les prénoms de leur futurs bambins, leur relation était fusionnelle, ils vivaient en parfaite harmonie, leur bonheur était palpable.

Les années passèrent, ils se marièrent, eurent de nombreux enfants.

That's all Folks! Allez au lit les enfants!

Comment ça je dois la tuer? Vous êtes sûrs? Bon ok...

Mais leur amour était menacé... En effet, parmi les prétendants refoulés, un était plus machiavélique, calculateur, conspirateur que les autres, je veux bien sûr parler de l'infâme Snap! Depuis des décennies il ourdissait sa vengeance, aidée de son assistante robotisée, le Dragibus X6500 à commande vocale.

Et après toutes ses années à maugréer, l'occasion rêvée se présenta enfin. A force de jouer du saxophone, Kev', l'ange gardien de Mamy, développa une scoliose carabinée, qui l'obligea à garder le lit. Phénicia sans défense, Snap et l'extension mobile du Dragibus X6500 pénétrèrent dans leur nid d'amour, et poignardèrent sauvagement Kev'. Lorsqu'elle entra à son tour dans la pièce, Phénicia ne put s'empêcher de s'évanouir.

A son réveil, elle était ligotée à une chaise, Snap se dressant de toute sa hauteur devant lui. Son plan était simple. Tout d'abord la faire souffrir, plus ensuite, l'achever, en partie grâce à l'homme qui la lui avait dérobée, Kev'. Il avait d'abord pensé à la petite cuillère, mais ça l'aurait empêché de voir Derrick à la télévision, il avait donc opté pour un moyen plus "expéditif". Il sortit son long coutelas, s'empara d'une des brosses à dents de Mamy, et se mit à la tailler, jusqu'à ce qu'elle fut acérée. Puis il s'approcha de Phénicia, et dans un rugissement bestial, lui enfonça l'arme improvisée dans la chair. Poussant le sadisme toujours plus loin, il prenait soin d'éviter les organes vitaux, ce qui fit que le calvaire dura de longues et douloureuses minutes.

Lorsqu'il jugea qu'elle en avait assez, il la traina jusqu'à cette ours qu'elle chérissait tant, et, à la manière d'un bâillon, il le lui appliqua sur le visage. Passablement affaiblie, Mamy ne put qu'émettre un long râle avant d'aller rejoindre son bien aimé Kev.

Et ainsi, dans son repaire obscur, qu'on disait hanté, Snap exultait, l'œuvre de toute sa vie accomplie, les mains encore entachées du sang de Mamy.

C'est du moins ce que dis la légende!

MVLC: Tuez moi avec *regarde autour de moi* un poster de Lénine ou Guiness, au choix

ID: Après que votre pédalo se soit échoué, vous vous retrouvez démunis, si ce n'est des pédales du pédalo, un Bobble Head Eddie et du poil à gratter.

Braquage surprise: Braquez une joaillerie avec une motte de beurre, impossible à feinter (dédicace à Kev').

[Dr.Snap]

Il faisait nuit. Ca se passait à Nouillorque. La ville du crime et des abus sexuels nocturnes. Et cette nut fatidique ne faisait pas exception. Un homme voulait s'enrichir, accompagné d'un bon à rien qui voulait lui aussi s'enrichir. Mais pas de la même manière. En effet, Kev cherchait les premiers objets de valeur qu'il allait trouver pour se faire un peu de blé. Mais Snap n'était pas comme ça, pas du tout. Il cherchait autre chose...Il cherchait...

L'émeraude sacrée du dieu Subigard

22h35. L'heure H approche à grands pas alors que je refais les plans dans ma tête. Tout doit être parfait. Tout doit être calculé. Et, malheureusement, dans mes plans, il me fallait une personne pour m'aider. Et il fallait qu'elle soit stupide, pour ne pas me faire un coup de Trafalgar derrière mon dos. J'ai trouvé la personne idéale.

C'est avec Kev que je me prépare à perpétrer mon crime, à la recherche du précieux joyau qui me rendra définitivement et massivement riche. C'est Kev qui doit apporter tout le matériel dont j'ai besoin. Et d'ailleurs, je l'attends, là. Il est en retard, c'est pas bon du tout, ca...
Oui, car bien entendu je nécessite le matériel de plus haute technologie pour braquer ma cible : la joaillerie Pett & Deufrique, là où mes senseurs sensoriels ont détecté le bijou hier soir...

Ah, une silhouette arrive vers moi. Mais où est le sac de matériel...
- Salut Snap, désolé, j'ai pas pu venir plus tôt...
- Kev, ...bon, c'est pas très grave. Tu as ce que je t'ai demandé.
- Hé ben en fait...non. J'ai eu un petit souci...
- Qu'est-ce que tu me racontes !! Tu vas tout faire foirer avec tes conneries !!
- C'est maman qui a pas voulu que je prenne le...
- Tu...l'as dit à ta mère ? Mais ca va pas non ?
- Relax ! J'ai pu empocher ca en partant de chez moi en douce !

Je ne sais pas ce qui est le plus troublant. Voir Kev en train de me sourire et en me donnant le ça dont il parle, ou voir que l'objet en question est une motte de beurre...
Je décide alors d'annuler le plan. Ca sert plus à rien, maintenant...
Mais Kev insiste pour qu'on y aille quand même ! J'ai beau lui répéter que c'est inutile et ridicule et qu'on n'y arrivera jamais sans le matériel adapté...

- Ouais, je vois, Snap. En fait, t'as la trouille ! Tu te chies dessus ! T'as pas de couilles !
- Tu vas voir si j'ai pas de couilles ! Ramène-toi, grouille-toi, on y va.

C'est sur ces mots que nous sommes partis, tout habillés de noir (si on fait exception aux baskets rouges de Kev visibles à mort), vers la cible. La joaillerie. Et une fois arrivés devant, j'ai un peu regretté d'avoir pris Kev comme coéquipier...Mais bon, c'est fait, c'est fait, et foutu pour foutu, autant aller jusqu'au bout. Reste plus qu'à trouver comment...

J'ai à ma disposition un abruti, et une motte de beurre. Voyons voir. Ah, il y a aussi un couteau en bois planté dans la motte de beurre. Bingo !

Je prends le couteau et indique à Kev qu'il peut servir de levier pour décrocher le rideau de fer du sol. Nous décidons alors d'essayer de soulever la chose, tout en faisant levier avec le couteau. J'aurais jamais cru devoir en arriver là...

- Snap, ca marche pas, c'est tout rouillé !
- Rouillé ?....

Une autre idée géniale me vient à l'esprit ! Décidément, ce soir, mon cerveau carbure. Et il va falloir qu'il carbure encore longtemps...Je décide alors de me servir du beurre, soyons fous, pour graisser un peu les bords du rideau. Et le miracle s'accomplit : moyennant un effort considérable, c'est à dire après de longues minutes d'effort et de graissage au beurre demi-sel, nous arrivons enfin à hisser le rideau jusqu'en haut de la porte ! C'est une brillante victoire !

Reste plus qu'à entrer...

En y réfléchissant bien, rien de tel qu'un boulet pour casser une vitre...J'ordonne donc à Kev de devenir mon héros en se jetant de toutes ses forces contre la porte en verre de la joaillerie. Et il l'a fait. Il a pris son élan, et il s'est jeté comme le dératé qu'il est de tout son poids sur la porte avec une inertie telle, ....bah, que la porte s'est brisée. Mais ce qui m'inquiétait et que je craignais ne s'est pas produit...

Aucune alarme ne retentit, alors que la porte a été fracturée ! Qu'est-ce que cela signifie ? Je rentre alors par les restes de la porte, et j'aperçois alors tous ces objets de valeur en or, en argent, en diamants, en cuir...J'empêche Kev de se jeter dessus pour l'instant. En effet, je trouve ca louche. Comment ca se fait ? On dirait que la sécurité du bâtiment a été oubliée...Je plonge la main dans un présentoir à bijoux et y retire un bracelet...Toujours rien...

- Bon, ben, Kev, vas-y, remplis le sac ! Je vais par là, si t'as un problème, crie.
- Bien reçu, chef !

Un peu plus tard, alors que je reviens bredouille de mes fouilles de l'arrière-boutique, je remarque que derrière le comptoir, il y a une vitre posée au sol, avec un trou parfaitement rond dedans.
Tout à coup je comprends tout ! Quelqu'un a déja fait le crime parfait avant moi ! Quelqu'un d'autre m'a déja pris l'Emeraude sous le nez...C'est la seule chose qu'il manque...

C'est au moment où je désespère le plus que je vois une ombre bouger dans l'arrière-boutique d'où je viens. Nous ne sommes pas seuls ! Mon voleur est toujours là ! On est arrivés pile au moment où cet enfoiré voulait prendre le bijou ! Mon sang n'a fait qu'un tour.

Je vais dans l'arrière-boutique, et je le vois, lui et sa cagoule noire. Sans même réfléchir un seul instant, j'appelle Kev et je lui saute dessus sauvagement. S'ensuit alors une lutte acharnée sur le lino de la boutique vers laquelle nous avons roulé jusqu'au comptoir. Alors que je commence à me dépétrer de l'emprise de mon ennemi masqué, Kev choisit ce moment pour entrer en action, et sauter dans le tas !!
C'est dont une surprise pour nous de voir tomber sur nous cet imbécile...mais au moins, ca m'a permis de me retirer du combat, maintenant que l'ennemi est...occupé.

Je saisis la coupelle contenant la motte de beurre, et je l'écrase en plein dans la visage du type. Puis soudain, il se met à pousser d'horrible cris, disant que ça brûle, que c'est horrible, pleurant et courant vers l'extérieur...Je ne pensais pas que le beurre allait servir, mais finalement...

Et il a encore plus servi que je ne le croyais.

Le lendemain, j'apprends aux infos des nouvelles sur le vol. Il apparaît que la police suspectait un crime ce soir-là, à la Joaillerie Pett & Defrique. Il étaient ainsi postés un peu en retrait, attendant les braqueurs pour les prendre en flagrant délit...
C'est exactement ce qui est arrivé à notre cher intrus masqué ! Le bracelet que je lui ai mis dans la poche n'a pas du l'aider beaucoup à s'en sortir...

Et j'ai compris qu'il faisait une allergie au sel !! C'est grâce à ca qu'on a pu continuer tranquilles...

Et croyant en avoir fini, la police n'a même pas remarqué qu'on avait largement le temps de s'enfuir avec un sac rempli de bijoux !! C'est une réussite !

Mais ce n'est qu'une fois rentré à notre repaire secret que je me suis posé la question fatidique...

Spoiler :

L'homme en cagoule n'avait pas non plus l'Emeraude sur lui...Que dois-je en déduire ?!

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[Poème] Votre thème sera la lettre K Faites au moins trois-quatre strophes.

[Insert Me !!] Vous devrez insérer le passage suivant :
"Mais enfin, tu sais que je t'aime ! Je n'aime que toi, tu es tout pour moi !!..."
Un long silence glacial plus tard, Dragibus se tourna en silence et repartit vers la porte, le fermant et la verrouillant au passage. Dans la cellule, la télévision se mit soudain en route toute seule...

[ID] Vous êtes attaché à un poteau pour la deuxième nuit consécutive au beau milieu de la tribu des Ouga Bouga. Vous savez que le lendemain, il ne feront qu'une bouchée de vous ! Il y a un masque tribal et votre chapeau par terre, près de vous...

[Saer Myenn]

Spoiler :

Saga du cartel – Episode 2 : Souvenirs.

- Je veux revoir Vivi ! Je veux le revoir, je le veux, je le veux, je le veux !
- Tu sais que c’est impossible, Nana. Ils sont tous …
Natsu ne put finir sa phrase car les larmes coulèrent à flots sur ses joues. Les trois femmes arrivèrent dans un village où elles demandèrent à passer la nuit. Elles signèrent leurs noms et un parfait inconnu encapuchonné les aborda.
- Les autres vont vous tuer cette nuit en brûlant votre chambre.
- Attendez, quoi ? Les autres ? La femme en a déjà parlé ! s’exclama Natsu. Qui sont ces inconnus ?
- Une femme ? Vous devez parler de Voltali Obscur, répondit l’inconnu. Vous l’avez rencontrée ?
- Oui, je l’ai même tuée. Qu’est-ce qu’elle nous voulait ? Pourquoi voulait-elle détruire notre village ?
- On ne peut pas en parler ici, venez avec moi.
Les trois femmes suivirent l’inconnu avec méfiance jusqu’à sa chambre où il ferma à clé et se découvrit. Un Pokémon apparut, ce qui fit avoir un haut-le-cœur à Nana.
- Je m’appelle Ordairu, j’ai été fusionné avec un Nidoking par le Cartel.
- Le Cartel ? Mais qu’est-ce que c’est ? demanda Dragibus
- C’est une organisation qui veut contrôler le pays en renversant le président. Ils ont déjà essayé un coup d’état, mais leur chef a été emprisonné car l’armée qu’ils avaient formée était trop faible. C’est pour cela qu’ils nous ont créés. Nous sommes des armes de destruction massive.
- Nous ? C’est-à-dire qu’il y en a d’autres ? fit Natsu, apeurée.
- Attendez, si vous appartenez au Cartel, alors pourquoi êtes-vous libre ? demanda Nana
- C’est simple, je suis leur plus puissante création. Ils lavent le cerveau des fusions, mais ils n’ont pas pu me le faire. Je me suis enfui de ma cuve quand j’étais enfant, et j’ai aidé une autre gamine à s’enfuir, elle devait être fusionnée à un Sablaireau.
Soudain, Natsu se mit à hurler comme si une douleur lancinante lui traversait le corps, puis elle se mit à pleurer et perdit connaissance.

FLASHBACK

Des scientifiques s’approchèrent de la cage d’un Sablaireau.
- Est-elle prête pour l’opération ?
- Apparemment oui. Le problème est que le projet 50H27GP rôde toujours dans les laboratoires, je me demande bien pourquoi, se demanda le scientifique.
- On s’en fiche ! Nous n’aurons qu’à lancer les autres fusions à sa recherche ! Nous devons finir l’opération sur le sujet 42A avant qu’elle ne s’échappe aussi. Préparez-la pour l’opération !
Les scientifiques endormirent le Sablaireau surexcité, puis le placèrent dans une cuve jumelle avec celle de Natsu. L’opération avait commencé depuis cinq minutes quand plusieurs secousses espacées de quelques secondes surgirent. Le mur ouest explosa et une ombre entra dans la pièce et tua un scientifique.
- 50H27GP ! s’exclama le scientifique restant.
- Je m’appelle Ordairu, et j’ai faim ! Il me faut de la chair humaine !
Il remarqua Natsu enfermée dans la cuve, encore endormie. Il se jeta dessus et brisa la cuve en quelques coups de cornes bien placés. La fillette, frêle et impuissante, faillit se faire éventrer quand Sablaireau brisa sa cuve pour sauver Natsu avec qui il avait développé un lien télépathique. Il attaqua Ordairu violemment avec ses griffes. Ordairu, par pur réflexe animal, recula pour s’occuper du scientifique en l’ouvrant avec une griffe, puis le mangea. Après, le noir total …

FIN DU FLASHBACK

Natsu se releva en pleurs et regarda Ordairu.
- Pourquoi ne m’as-tu pas achevé ce jour-là ? pleurait Natsu. Ces villageois seraient encore vivants si tu m’avais tué !
- La puissance psychique qui te reliait à ton Sablaireau m’a stupéfait. C’est pour cela que je ne t’ai pas achevé. Permettez-moi de changer de sujet, mais les membres du Cartel ne vont pas tarder à incendier votre chambre.
- Comment es-tu au courant de leur plan ? s’étonna Dragi.
- Quelques scientifiques me sont dévoués car ils sont contre les agissements du Cartel. Quoi qu’il en soit, je vais vous prêter trois toges. Enfilez-les et sortez quand vous entendrez de l’agitation dans les couloirs. Fuyez très loin au Nord – Ouest jusqu’à trouver un village fantôme du nom de Flow, dit-il en leur donnant une carte. Je vous y rejoindrais plus tard.
- Pourquoi, tu ne viens pas avec nous ? demanda Nana.
- Non, ils vont venir vérifier si vous êtes bien mortes, répondit Ordairu. C’est pour cela qu’il faut que je crée une diversion en attirant le membre du Cartel dans une autre direction.
- Tu ne peux tout simplement le tuer ? Ce serait tellement plus … commença Natsu.
- Surtout pas ! Ils vont certainement se douter de quelque chose s’il ne revient pas. D’ailleurs, pour finaliser la diversion, il me faut un peu de votre sang. Je vois que la petite est blessée, c’est parfait.
Il s’approcha de Nana qui poussa un hurlement strident. Ordairu mit un doigt sur sa bouche pour ordonner à Nana de se taire tandis qu’il défit son bandage. Il pressa sa joue écailleuse contre la jambe de Nana qui frissonna mais qui se retint d’hurler car les écailles lui faisaient mal, «Je dois rendre hommage à Vivi, qui ne se plaignait jamais même en étant blessé grièvement» pensa-t-elle tout en pleurant.
- Voilà, en me voyant ensanglanté, il comprendra que j’ai tué quelqu’un, expliqua Ordairu.
Une explosion se fit entendre et Ordairu pressa les femmes de mettre les toges, puis de sortir avec les gens qui fuyaient en courant. Ordairu, lui, attendit que tout le monde sorte puis se rendit dans la chambre brûlée et s’assit dans la suie.
Soudain, dans la foule, ils virent une personne avec un uniforme de gardien de la paix traverser en sens inverse le couloir, en qui Dragi reconnut son seul et unique amour : King-of-Ice. Dragi se rapprocha de Natsu.
- C’est lui ! C’est lui le membre de Cartel ! lui murmura-t-elle.
- Comment le sais-tu ? Non ! Tu vas faire foirer le plan d’Ordairu ! hurla-t-elle tandis qu’elle poursuivit Dragi qui, elle, poursuivit KoI.
Dragi suivait KoI et réussit à le rattraper pour le retourner et le fixer. Il sortit un couteau et transperça Dragi. Une lueur s’anima dans ses yeux, mais elle disparut quand il attaqua deux fois de plus Dragi. Il s’en alla en courant quand il vit Natsu.
- Merde ! Dragi ! Dragi ! Tu m’entends ? Dragi ! hurla Natsu à la vieille dame, qui s’évanouit.
«Encore une fois : déception, douleur. Nouveauté : haine, cruauté. KoI a bien changé depuis notre dernière rencontre»

FLASHBACK

- Salauds de flics ! Vous ne m’aurez jamais !
L’enquête visant à arrêter KoI le voleur touchait à sa fin. Le lieutenant Dragibus avait résolu l’affaire elle-même. Les voitures chassèrent KoI et finirent par l’arrêter. Dragibus menotta KoI et l’emmena dans sa voiture comme un trophée. Lors du voyage de retour, Dragi et KoI se mirent à discuter et Dragi apprit qu’il vendait tout ce qu’il volait car ses parents ne l’avaient jamais accepté et l’avaient forcé à la rue. Dragi se prit de compassion pour ce faux orphelin et leurs visites devenaient de plus en plus fréquentes, tournant même à l’obsession pour les deux personnes. Les collègues de Dragi, voyaient de l’amitié voire de l’amour filial naître entre ces deux personnes, décidèrent de muter Dragi vers un autre commissariat car leur lien pouvait entraver le travail de Dragi. Dragi entra dans la cellule, prit les mains de KoI entre les siennes.
- KoI, je vais être mutée.
- Mais enfin, tu sais que je t'aime ! Je n'aime que toi, tu es tout pour moi !! ...
Un long silence glacial plus tard, Dragibus se tourna en silence et repartit vers la porte, la fermant et la verrouillant au passage. Dans la cellule, la télévision se mit soudain en route toute seule ... C’était Dragi qui lui avait allumé la télé. Elle embarqua ses affaires et partit…

FIN DU FLASHBACK.

Non ! Elle était déjà partie pour un être qui lui était cher, elle ne partirait plus pour personne ! Elle se réveilla à l’hôpital entourée de Natsu et de Nana. Lors de son lever, Natsu lui donna un mot écrit par Ordairu.

« A cause de Dragibus, notre plan a échoué et le Cartel vous sait encore en vie. Mais comme prévu, nous devrons nous retrouver à Flow. Faites lire ce mot à Dragibus. »

- Tu ne peux évidemment pas nous accompagner, Dragi, tes blessures sont trop graves, annonça Natsu. Ordairu a dit que comme tu n’avais rien à voir avec cette histoire, le Cartel n’avait aucune raison de te tuer, expliqua Natsu. Du moins pas pour l’instant. Cependant, Ordairu n’espérait pas que tu te réveilles. Nous allons devoir te laisser en arrière et partir. Nous reviendrons te chercher quand tout sera fini.
- Je comprends. Partez, je vais me reposer. Mais s’ils reviennent me tuer ?
- Aucun risque, tu es sous protection policière car ils ont commencé à enquêter sur le membre du Cartel qui t’as tiré dessus, expliqua Nana. Au revoir, Dragi.
- Au revoir.
Natsu et Nana embrassèrent Dragi et sortirent du camp hospitalier et du village, en laissant Dragi derrière elles …

MVLC : Tuez-moi avec une bûche glacée. Aucun poison, étouffement, ou mort banale.
Braquage : Braquez un poste de police.
Pause Pub : Vantez les mérites du kit espion Saz Pan Rudo !

[Anzu-chan]

Prends la pause pub:

Vous revez d'espionner la vielle mémé qui vous sert de voisine?Le petit jeune geek collé a sa game boy?La jeune blonde constament en maillot de bain?Espionner une fabrique de Coca pour,enfin,avoir la recette secrete?Tuer votre voisin suite a son chien?Tout ca vous est maintenant possible!!Et oui,grace au kit d'espionnage Saz Pan Rudo,l'impossible de vient possible!

MVLC:Tuer moi avec...Le jeu tetris en lui meme
ID:Echappée de l'ile de Tokio,petite ile remplis de poilus pas a la page de notre société avec des rouleaux de paipers toilettes
Pause PUB:Vantez l'hopital du Dr.Snap,un hopital réservé a ceux qui soufre de la tumeur cancérigène du Sida!

[DimoniaK]

Je prends le VLC de Saz.

~Sazly le héros (du moins pour l'eau liquide)~

Sazly était un bûcheron qui servait à une marque de papier absorbant. Bon, Marge fantasmait pas dessus, il absorbait que dalle, et loin de la la possibilité de vaincre le tsumami d'Au-Delà grâce à Sazly, fallait plus compter sur le vieil âge de ce tsumami. Sazly, c'était plus le bûcheron lambda dirigé par le milliardaire Saz Pan Rudo qui se mouchait avec des billets de 50$. Mais, Saz eut une fin tragique. Pourquoi? Eh bien lisez ce qui suit, fainéants, ou Don Dimo vous réserve le châtiment suprême: Se faire tuer comme Sazly!
-C'est ce que vous voulez?
-NON!
-Eh ben vous l'aurez quand même!
Bon, après le flinguage de ces andouilles, passons au plus important: la mort tragique de Saz, et la mort tragique des clodos qui voulurent s'emparer de ses biens, tous deux tués par... MOIAHAHAHAHAHAHAHAHA!!!!!!!!!
-Tu pourrais faire un cri plus effrayant Dimo!
-Oh taggle Orion!

Saz avait décidé des s'offrir un petit voyage en forêt, mais il détestait la forêt. Mais c'était pour honorer sa marque principalement, parce qu'on bûcheron c'est sensé aimer la forêt. Mais bref. Il la détestait d'abord parce que ses pompes toutes bien cirées s'enlisent dans la boue, et combiné à son gros poids, ça faisait de la boue mouvante. Heureusement que son gros bide faisait qu'il ne voyait pas ses pieds, car sinon il aurait fait une crise cardiaque. Ensuite, il la haïssait à cause de l'odeur des pins, qui n'était pas celle du fric. En fait, Saz détestait toute odeur qui n'était pas celle du fric. Et comme il était plein de pèse...
-DE BLE! Le pèse ça insinue que je suis gros donc ça va pas, alors que le blé c'est une bonne céréale pleine de nutriments!
-On est dans un VLC, tu peux pas la fermer des fois Saz!
-Ok, d'accord Dimo...
-DON DIMO!!!!
-Oui ben voilà quoi....

Donc, je finis ma phrase: comme il était plein de blé, si c'est ce que tu veux Saz, Il était con. Ca arrive à tous les hommes politiques, prouvé scientifiquement par le docteur Foldimo!
-Oh ça va, pas de quoi en faire une loi Nouilletonnienne!
-SAZ LA FERME!
-On est en forêt...
-Eh bé, le sens de l'humour des pourris plein de fric...

Mais, au moment d'arriver dans une clairière, Saz et Dimo virent une espèce d'ombre. Dimo le prit pour le fantôme de Michael Jackson et se mit à vouloir faire le moonwalk. Mais comme il était bourré (ben oui, il faut l'être pour croire qu'il est toujours là), il confondit moonwalk et Walking On The Moon de Police.

Mais Saz s'aperçut que c'était Isaac Nouilletonne, l'un des pères de la physique!
Giant steps are what you take......... Walking on the moon...
-Tu m'as renié pendant toutes ces anneaux -euh, années- , maintenant tu vas mourir!
I hope my legs don't break.......... Walking on the moon...
-Vraiment, Grondolf -heu, monsieur Newton-?
We could walk forever......... Walking on the moon...
-Oui, vraiment! Alors je vais te soumettre à la loi universelle Nouilletonienne du mouvement: Tout ce qui monte doit retomber!
We could live together......... Walking on, walking on the moon...
-Ah bon?
Walking back from your house........ Walking on the moon...
-Oui à la fin!
Saz s'envola, comme soulevé par une force mystérieuse...
Walking back from your house........ Walking on the moon
Et retomba lourdement sur la bûche gelée, car juste au moment ou les rouleaux Sazly firent un super absorbant pour l'eau, il resta sans effet pour la glace.
Saz touched freeze log on the ground....... Walking on the moon
Les morceaux de gel sur la bûche s'envolèrent pour retomber sous forme de couteau à glace dans la main de Dimo, et celui-ci découpa Saz en morceaux avant de le mettre dans cinq glacières différentes....
He was dead by its on the ground........ Walking on, walking on the moon...

Peu après, le groupe Police passa outre son nom pour se transformer en agents normaux avec des képis ridicules et arrêtèrent Dimo pour homicide volontaire et parce qu'il chantait mieux que le groupe lui-même, mais lui s'en foutait.... il avait tué Saz, c'était l'essentiel....

TO BE CONTINUED....

VLC:Tuez-moi avec TA-TA-TA-TA TALALALA QUE T'ES MIGNON MIGNON MIGNON (Enfin René la taupe quoi)
Braquage: Braquez un centre pour diabétiques avec du Médiator.
Philol: Si vous voyiez les morts, qu'est-ce que ça vous ferait? Hein? Hein? HEIN?

[White ~]

Je prend la Pause Pub de Anzu !

Vous avez la tumeur cancérigène du sida ? Vous adorez souffrir ? N'attendez plus direction l'hôpital
de Dr.Snape !
Si échec de l'opération autopsie gratuite !

MVLC = Tuer moi avec... un Ipod et un Dofus Mag !
ID = La Tribu des Ougah-GlaGla s'apprête a vous mangez.. Vous avez a coté de vous un marteau,un sifflet et... un bouteille de Volvic !
Pub = Vantez les mérites du Resto Pokaymon et du tyran de la sympathique Tsuko' !

J'adore le passage où tu me dit taggle.