p?j > Fuh.
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La liberté a toujours captivé les philosophes, qu'elle soit offerte dans une république, ou assassinée dans une tyrannie. Cette liberté, maculée du sang des Hommes révolutionnaires ou résistant, est gouvernée par le bon sens de l'Homme. Le bon sens est, en quelque sorte, ce qui dirige nos pensées, pour nous permettre d'accomplir des actes rationnels et sensés, dans notre intérêt. Ce même bon sens nous pousse à une rationalité mentale quant à notre condition. Selon cet argument décisif, c'est notre raison qui nous montre les bornes de la liberté, de nos libertés. Dans cette pensée, nous sommes supposés impuissants face à la liberté imposée. Dans cet extrait, Sartre est persuadé que cette impuissance n'est que fictive. A travers ce passage, Sartre nous montre une vision profondément humaniste, opposée à celle plus fataliste de l'impuissance humaine face à sa condition. Si ces deux thèses s'opposent, comment mettent elles en valeur les valeurs de la liberté ? Dans une première partie, nous verrons comment le déterminisme de l'Homme s'applique dans la société, qu'elle soit actuelle ou passée. [...]
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