"oui bah pourquoi discuter, de toute façon ça dépend du référentiel". C'est de l'antiphilo ça. Le but c'est quand même d'avancerWreyzax a écrit :Je ne peux donner qu'une réponse avec certitude : Tout dépend de la réalité.

Il faudrait voir je pense l'ambivalence du sujet : réflexion métaphysique/politique, qui va (à peu près) de pair avec ambivalence de "pouvoir" en droit/fait.
Si je devais répondre à pareil sujet je partirais d'abord du p@r@d0x' en constatant que le monde change constamment par un mvt global/social/individuel, ce qui me permettrait ainsi de dire que changer le monde c'est s'opposer au changement inhérent à l'existence de ce monde (et là PHRASE CHOC, "ouiiii, changer pour l'homme c'est s'opposer au changement")
Puis comme j'aurais à la fin de l'introduction la flemme de réfléchir je ferais un plan bateau autour de "pouvoir" : fait (= répéter l'intro en expliquant mieux et en précisant le p@r@d0x' à la fin)/droit (réflexions chiantes sur la libertééééééééé)/légitimité (dieu, les hommes et le caca).
Et là je ferais une conclusion nulle genre "ne rien faire c'est changer le monde puisque si j'avais fait qqchose le monde serait différent, alors foutez moi la paix et laissez moi glander".
Mais comme j'ai parlé au conditionnel, en fait si j'avais vraiment fait le sujet ça serait vachement mieux, donc j'ai changé le monde en créant une potentialité de changement (au conditionnel). je suis CROFOR