"Les Polotans sont des êtres admirables. Malgré les difficultés qu'ils rencontrent tous les jours, ils n'hésitent pas à m'accueillir et à partager un peu de leurs nourritures, durement recueillit.
Pauvres Polotans, ils sont tellement gentils... Et malheureusement, la cruauté et l'injustice existe aussi sur cette planète.
Car malgré toutes les difficultés auxquels ils font face, il a fallu qu'en plus, un être ignoble se mette en tête de tous les anéantir.
Cette être, j'ai décidé de l'appeler Demanbul, les Polotans l'appellent l'Okar-Nio, ce qui veut dire "gobeur de moi" ou quelque chose dans ces eaux là.
Tout ça à débuté le jour de ma rencontre avec les Polotans.
Cela fessait quelques jours que j'errais seul, affamé car incapable de savoir avec certitude ce qui est comestible ou non.
J'étais au bord d'un lac, me demandant s'il y avait des poissons ou quelque chose de similaire, quand soudain, j'entendis des bruits non loin de moi, derrière quelques arbres.
Curieux comme je suis, je me suis dépêché pour aller voir ce qu'il se passait.
En faite, il y avait quatre petits êtres jaunes, d'environ 1 mètre de hauteur, avec un bec et une longue queue, l'un d'eux porté un étrange couvre-chef, il s'agit des Polotans, et ils se disputaient une espèce de gros fruit avec une grosse larve affreuse.
Les Polotans étaient en difficulté, la larve semblait affamé et féroce.
Elle attrapa un Polotan et le dévora, je n'ai pas bien vu, mais le bruit que ça fessait était affreux...
J'ai eu de la peine pour eux, et de peur de les voir ce faire dévorer à leurs tours, j'ai décidé d'aller les aider.
Ils étaient assez surpris de mon arrivé, ils n'avaient jamais vu "une créature de mon espèce" mais ils ont bien vite compris que je voulais les aider.
J'ai d'abord voulu abattre la larve, mais je n'avais que mes poings pour frapper et ça ne lui fessait pas grand chose.
Le Polotan avec le chapeau bizarre lança un espèce de champignon tout desséché sur la larve, ce qui produit un nuage de poussière très irritant d'après la réaction de la larve.
On en profita pour fuir avec l'espèce de gros fruit, un "Dolmi-Mikra" qu'ils appellent ça, qui fût plus facilement transportable avec mon aide.
Je les suivit jusqu'à une espèce de petit campement où les Polotans vivaient.
Ils étaient en réalité une bonne trentaine, et d'autres petit groupe revenaient avec de la nourriture.
La nuit venue, je fût présenté au reste de la tribu par le Polotan qui portaient tant tôt le chapeau, je l'ai surnommé Mike et il est devenu, en quelque sorte, mon ami.
En faite, les groupes de Polotans sont toujours constitué de quatre à sept individu, et chaque groupe nomme un chef, celui-ci porte un espèce de chapeau en guise d'insigne.
J'eus ensuite droit à des gros champignons comestibles, ils avaient un goût très étrange mais j'avais enfin le ventre plein sans trop avoir peur d'être intoxiqué.
Quelques jours passèrent, les Polotans semblaient se plaire là où ils s'étaient installés et ils ramenaient de plus en plus de nourriture, aucune nouvelle de la grosse larve.
Un jour, un groupe de Polotan revient au camp, ils semblaient affoler.
Ils repartirent en plus grand nombre et je les suivis.
Ils avaient découvert une espèce de gros peau dure, recouverte d'une substance gluante et nauséabonde.
Je ne comprenais pas ce que ça signifié.
Mike, à qui j'avais essayer d'apprendre un peu à parler ma langue, tenta de m'expliquer de quoi il s'agissait.
- Lach'pignon croqua larf' et dim manger nio flur dolmi-mikra tant passé damblé !!!
Bref, j'ai juste compris que ça avait un rapport avec la larve de l'autre-fois et que ça leurs fessait très peur.
C'est une fois la nuit tombée que j'ai compris de quoi il s'agissait vraiment...
Au campement, la moitié des Polotans étaient de garde, alors que d'habitude, seul une poignée reste éveiller.
Avec l'atmosphère pesante que cela causait, je ne pu dormir et je les regardais tentant de comprendre.
Au bout de quelques heures, une lueur rouge se mit à briller dans les arbres non loin. Les Polotans, en voyant ça, s'affolèrent et ils réveillèrent ceux qui dormaient.
La lueur rouge s'approchait et les Polotans essayaient de s'organiser.
Une quinzaine de Polotans semblaient prêt à ce battre, alors que les autres partaient petit groupe dans la même direction.
Mike me fit comprendre qu'ils auraient bien besoin de moi. Ne sachant pas à quoi m'attendre, j'ai ramassé le bâton qui me semblait le plus lourd et le plus solide dans ce qui trainé au campement, et pris une pierre pour la jeter sur l'éventuelle ennemie qui approchait.
La lueur rouge s'approchait encore et toujours, mais sa lumière était de plus en plus faible, est-ce que ça voulait dire qu'on était tranquille ?
[...]"