J'ai décidé de créer un topic qui réunirait quelques uns de mes poèmes, sachant que j'en écris beaucoup ! Je voudrais avoir votre avis, n'hésitez pas à commenter, critiquer, dire si je dois m'améliorer et etc...
Je rééditerai ce topic régulièrement pour ajouter de nouveaux poèmes, revenez dans ce topic souvent si vous le voulez donc !

Bon, une fois n'est pas coutume, il est temps de vous présenter mes poèmes mais avant tout, j'aimerais vous raconter ce qui m'a poussé à devenir un "poète adolescent" (j'ai presque 16 ans).
Tout a commencé lors de ma "première romance" qui s'est plus ou moins bien terminée bien qu'il n'eut rien de concluant à vrai dire. J'ai voulu tenter de séduire "l'élue de mon coeur" en lui écrivant une lettre avec un poème mais maintenant que je m'en souviens, je crois que ça date de ma "seconde romance", je ne sais plus trop... x)
Malgré des "échecs romantiques", j'ai voulu poursuivre l'écriture de poèmes car j'avais découvert que ça me plaisait beaucoup et qu'avoir un moyen d'expression de plus (après le dessin) m'arrangeait fortement.
Vous devez savoir que je cherche sans cesse à m'améliorer et que si ça vous semble de basse qualité, ne me blâmez pas pour ça !

Bon ben, allons-y donc !
Edit : Suite au lock du topic dans la rubrique "Général", je l'ai ouvert ici car Pokéclément me l'a conseillé pour que je bénéficie de critiques littéraires ce qui est une bonne idée et je l'en remercie !

Ah ! J'oubliais, si vous voulez, n'hésitez pas à poster vos poèmes ici, je n'aime pas me la jouer "perso". Je pense qu'on pourra s'entraider pour que se révèlent quelques futurs poètes ou poètes au talent caché !

Voilà, merci à vous tous d'avance !

Recueil I :
Spoiler :
~Recueil I : Voyages & Merveilles~
~Voyage dans les ténèbres~
Toute chose disparaît,
Puis revient, sans arrêt,
Comme les saisons,
Comme la raison.
Plongés dans l'obscurité,
Sans lueur, sans pureté,
Dans la fournaise de la passion,
Nous menant à la perdition.
Est-ce la folie ? Est-ce normal ?
Tant de choses trop brutales,
Nous rongent l'esprit,
Nos aînés alors rient.
Atteindre la rationalité,
Sans nuances grisées,
Serait-ce le but d'une vie ?
Nous l'aurait-on appris ?
À la recherche de l'amour propre,
Pour vivre une existence sobre,
Les humains se battent comme des taureaux,
Ils sèment encore et encore le chaos.
Aliénées dans les ténèbres,
Ces mélodies funèbres,
Résonnent dans nos âmes,
Avant de tomber en flammes.
~À travers les nuages...~
J'ai admiré les cieux,
Beaux et majestueux,
Mais, une étoile filante est tombée,
Elle cachait un pauvre cœur blessé.
Quand ce visage réapparaîtra ?
Quand je croirai en moi ?
Si c'est le cas, reviens me rencontrer,
Nous avons un chapitre à créer.
Peut-être que la solitude endurcit,
Mais parfois, il faut de la compagnie,
Pour apaiser une âme seule et triste,
Et peindre une brillante piste.
C'est pour cela que je me suis élevé,
Car énormément, tu me manquais,
Écrivons encore une autre page,
Pénétrons à travers les nuages...
~Balade Céleste~
Le temps s'est figé et j'ai regardé en haut,
Les oiseaux semblaient m'appeler, si beaux,
Un pont nuageux est alors apparu soudainement,
Rien ne semblait réellement être comme avant...
Virevoltant dans les cieux bleus d'azur,
Profitant de cette atmosphère si pure,
Rêve ou réalité, peu importe, cela me plaît,
Ce serait mieux si ça durerait pour l'éternité...
Comme dans un conte merveilleux,
Nageant, volant à travers les nuages,
Dans cet incroyable lieu,
Comme envoûté par un mage.
Si je devais tomber de ce domaine,
Et revenir à cette entité malsaine,
Que l'on appelle "réalité" d'une manière effrayée,
J'y remonterai et poursuivrai ce rêve parfait.
~Fleuve Limpide~
Il coule, s'écoule tranquillement,
Pas un bruit, quelques effritements,
L'eau bénit ces rochers si rigides,
Il coule, s'écoule, le fleuve limpide.
Dans cette forêt verdoyante, chuchotent les oiseaux,
Des secrets célestes dissimulés dans l'eau,
Ciel et terre communiquent silencieusement,
Une chose que personne ne peut voir vraiment.
Quand la pluie tombe, son bruit se confond,
Avec ce fleuve cristallin et peu profond,
Ce jeu aquatique se répète toujours,
Pendant que défilent les jours.
Il coule, s'écoule tranquillement,
Ignorant les lois même du temps,
La terre le garde sous son égide,
Il coule, s'écoule, le fleuve limpide.
~Vent des Souvenirs~
Il revient sans cesse nous effleurer,
Il nous touche doucement, tout près,
Incapables de faire face à l'avenir,
Il vient nous hanter, ce vent des souvenirs.
Les fragments du passé, des leçons oubliées,
Toutes ces personnes avec qui nous étions liés,
Nous marchons dans les ténèbres du doute,
Ayant soudainement perdu notre route.
L'horloge tourne, des départs se font,
On essaye de vivre notre vie à fond,
Mais, ce jour où les sourires ne suffiront plus,
À cacher notre douleur viendra plus tôt que prévu.
Il revient sans cesse pour nous rappeler,
Que le temps est précieux, il ne faut l'oublier,
Quand nous aurons encore peur de périr,
Il reviendra, ce vent des souvenirs.
~Horloge Abîmée~
Le temps continue de passer,
Accompagné d'un tic-tac animé,
Supporter son poids devient difficile,
Le temps vole vite, il file.
J'ai grandi sans voir où j'allais,
Je n'ai pu faire ce qui me plaît,
Tous ces rêves, toutes ces fantaisies,
Rendent supportables toutes les nuits.
Un chant folklorique, une illusion émotionnelle,
Tout cela n'a réellement rien de rationnel,
Du début à la fin, je suis passé du rire aux larmes,
Pensant à ces nombreux jours où je me désarme.
Le temps est précieux, il ne peut être gaspillé,
Sinon, nos corps ne feront que vaciller,
Cette porte, je l'ai déjà fermée,
Laissant cette pauvre horloge abîmée.
~Fierté fragile~
D'une ascension vers les montagnes,
À une chute vers la mer qui me gagne,
Quelque chose au fond de moi est touché,
Cette chose dure et solide qu'on appelle "fierté".
La faiblesse de mon cœur, sa cassure,
Prouvent bien que je ne suis jamais sûr,
De ma propre personne si lâche,
Toutes ces douleurs que je cache...
Ne t'effondre pas, Dame Fierté,
Puisque j'ai récemment décrété,
Que je lèverai mon épée blanche,
Contre toute chose non-franche.
L'espoir renaîtra un jour,
Ainsi que de beaux velours,
Ça ne sera sûrement pas facile,
Car ma fierté est fragile.
~Azur~
Le ciel bleuté vient apporter la tranquillité,
Doucement, approche le bel été,
Dans l'océan majestueux sont jetées des pensées,
Dans les inatteignables cieux, rien n'est sensé.
Les souvenirs défilant comme dans un film dramatique,
Tous ces moments désignés comme fantastiques,
Tous ces regrets ineffaçables,
Ces douleurs inévitables...
Nous voyagerons encore vers des lieux d'azur,
En réunissant toutes ces émotions pures,
En attendant l'été suivant,
Ensemble, éternellement...
~Nuages...~
Le ciel s'est grisé, peint par ces nuages,
Est-ce vraiment simple de tourner la page ?
Oublier certains moments difficiles,
Est parfois impossible, paraît-il.
La force s'écoule de la souffrance,
Saisie le plus souvent par chance,
Le temps finit toujours par nous endurcir,
Afin que nous ne puissions plus souffrir.
L'oubli peut tuer quelquefois,
Les souvenirs doivent rester parfois,
Pour nous rappeler notre faiblesse,
Et qu'il y a des mots qui blessent.
Le ciel s'est grisé, peint par ces nuages,
Est-ce facile de devenir quelqu'un de sage ?
Sacrifier une bonne partie de notre innocence,
Est le symbole de l'adieu à notre enfance.
~Sommet du Monde~
Les aigles royaux règnent sur les pics,
Pendant que les insectes pathétiques,
Essayent vainement de sauter plus haut,
Que ces grands et puissants oiseaux.
Parmi ces aigles, certains tombent,
Ceux qui se prennent pour des colombes,
Et qui voient leur humilité les quitter,
À cause de leur très grande vanité.
Certains peuvent devenir des insectes,
Après s'être transformés en êtres infects,
Regrettant leur place d'avant,
Qui les a quittés brutalement.
Si un jour, vous perdez vos ailes,
Comprenez vos fautes et ainsi, elles,
Reviendront sur votre dos pour vous aider,
À être au sommet du monde, à jamais...
~Voyage dans les ténèbres~
Toute chose disparaît,
Puis revient, sans arrêt,
Comme les saisons,
Comme la raison.
Plongés dans l'obscurité,
Sans lueur, sans pureté,
Dans la fournaise de la passion,
Nous menant à la perdition.
Est-ce la folie ? Est-ce normal ?
Tant de choses trop brutales,
Nous rongent l'esprit,
Nos aînés alors rient.
Atteindre la rationalité,
Sans nuances grisées,
Serait-ce le but d'une vie ?
Nous l'aurait-on appris ?
À la recherche de l'amour propre,
Pour vivre une existence sobre,
Les humains se battent comme des taureaux,
Ils sèment encore et encore le chaos.
Aliénées dans les ténèbres,
Ces mélodies funèbres,
Résonnent dans nos âmes,
Avant de tomber en flammes.
~À travers les nuages...~
J'ai admiré les cieux,
Beaux et majestueux,
Mais, une étoile filante est tombée,
Elle cachait un pauvre cœur blessé.
Quand ce visage réapparaîtra ?
Quand je croirai en moi ?
Si c'est le cas, reviens me rencontrer,
Nous avons un chapitre à créer.
Peut-être que la solitude endurcit,
Mais parfois, il faut de la compagnie,
Pour apaiser une âme seule et triste,
Et peindre une brillante piste.
C'est pour cela que je me suis élevé,
Car énormément, tu me manquais,
Écrivons encore une autre page,
Pénétrons à travers les nuages...
~Balade Céleste~
Le temps s'est figé et j'ai regardé en haut,
Les oiseaux semblaient m'appeler, si beaux,
Un pont nuageux est alors apparu soudainement,
Rien ne semblait réellement être comme avant...
Virevoltant dans les cieux bleus d'azur,
Profitant de cette atmosphère si pure,
Rêve ou réalité, peu importe, cela me plaît,
Ce serait mieux si ça durerait pour l'éternité...
Comme dans un conte merveilleux,
Nageant, volant à travers les nuages,
Dans cet incroyable lieu,
Comme envoûté par un mage.
Si je devais tomber de ce domaine,
Et revenir à cette entité malsaine,
Que l'on appelle "réalité" d'une manière effrayée,
J'y remonterai et poursuivrai ce rêve parfait.
~Fleuve Limpide~
Il coule, s'écoule tranquillement,
Pas un bruit, quelques effritements,
L'eau bénit ces rochers si rigides,
Il coule, s'écoule, le fleuve limpide.
Dans cette forêt verdoyante, chuchotent les oiseaux,
Des secrets célestes dissimulés dans l'eau,
Ciel et terre communiquent silencieusement,
Une chose que personne ne peut voir vraiment.
Quand la pluie tombe, son bruit se confond,
Avec ce fleuve cristallin et peu profond,
Ce jeu aquatique se répète toujours,
Pendant que défilent les jours.
Il coule, s'écoule tranquillement,
Ignorant les lois même du temps,
La terre le garde sous son égide,
Il coule, s'écoule, le fleuve limpide.
~Vent des Souvenirs~
Il revient sans cesse nous effleurer,
Il nous touche doucement, tout près,
Incapables de faire face à l'avenir,
Il vient nous hanter, ce vent des souvenirs.
Les fragments du passé, des leçons oubliées,
Toutes ces personnes avec qui nous étions liés,
Nous marchons dans les ténèbres du doute,
Ayant soudainement perdu notre route.
L'horloge tourne, des départs se font,
On essaye de vivre notre vie à fond,
Mais, ce jour où les sourires ne suffiront plus,
À cacher notre douleur viendra plus tôt que prévu.
Il revient sans cesse pour nous rappeler,
Que le temps est précieux, il ne faut l'oublier,
Quand nous aurons encore peur de périr,
Il reviendra, ce vent des souvenirs.
~Horloge Abîmée~
Le temps continue de passer,
Accompagné d'un tic-tac animé,
Supporter son poids devient difficile,
Le temps vole vite, il file.
J'ai grandi sans voir où j'allais,
Je n'ai pu faire ce qui me plaît,
Tous ces rêves, toutes ces fantaisies,
Rendent supportables toutes les nuits.
Un chant folklorique, une illusion émotionnelle,
Tout cela n'a réellement rien de rationnel,
Du début à la fin, je suis passé du rire aux larmes,
Pensant à ces nombreux jours où je me désarme.
Le temps est précieux, il ne peut être gaspillé,
Sinon, nos corps ne feront que vaciller,
Cette porte, je l'ai déjà fermée,
Laissant cette pauvre horloge abîmée.
~Fierté fragile~
D'une ascension vers les montagnes,
À une chute vers la mer qui me gagne,
Quelque chose au fond de moi est touché,
Cette chose dure et solide qu'on appelle "fierté".
La faiblesse de mon cœur, sa cassure,
Prouvent bien que je ne suis jamais sûr,
De ma propre personne si lâche,
Toutes ces douleurs que je cache...
Ne t'effondre pas, Dame Fierté,
Puisque j'ai récemment décrété,
Que je lèverai mon épée blanche,
Contre toute chose non-franche.
L'espoir renaîtra un jour,
Ainsi que de beaux velours,
Ça ne sera sûrement pas facile,
Car ma fierté est fragile.
~Azur~
Le ciel bleuté vient apporter la tranquillité,
Doucement, approche le bel été,
Dans l'océan majestueux sont jetées des pensées,
Dans les inatteignables cieux, rien n'est sensé.
Les souvenirs défilant comme dans un film dramatique,
Tous ces moments désignés comme fantastiques,
Tous ces regrets ineffaçables,
Ces douleurs inévitables...
Nous voyagerons encore vers des lieux d'azur,
En réunissant toutes ces émotions pures,
En attendant l'été suivant,
Ensemble, éternellement...
~Nuages...~
Le ciel s'est grisé, peint par ces nuages,
Est-ce vraiment simple de tourner la page ?
Oublier certains moments difficiles,
Est parfois impossible, paraît-il.
La force s'écoule de la souffrance,
Saisie le plus souvent par chance,
Le temps finit toujours par nous endurcir,
Afin que nous ne puissions plus souffrir.
L'oubli peut tuer quelquefois,
Les souvenirs doivent rester parfois,
Pour nous rappeler notre faiblesse,
Et qu'il y a des mots qui blessent.
Le ciel s'est grisé, peint par ces nuages,
Est-ce facile de devenir quelqu'un de sage ?
Sacrifier une bonne partie de notre innocence,
Est le symbole de l'adieu à notre enfance.
~Sommet du Monde~
Les aigles royaux règnent sur les pics,
Pendant que les insectes pathétiques,
Essayent vainement de sauter plus haut,
Que ces grands et puissants oiseaux.
Parmi ces aigles, certains tombent,
Ceux qui se prennent pour des colombes,
Et qui voient leur humilité les quitter,
À cause de leur très grande vanité.
Certains peuvent devenir des insectes,
Après s'être transformés en êtres infects,
Regrettant leur place d'avant,
Qui les a quittés brutalement.
Si un jour, vous perdez vos ailes,
Comprenez vos fautes et ainsi, elles,
Reviendront sur votre dos pour vous aider,
À être au sommet du monde, à jamais...
Spoiler :
Recueil II : Romances & Passions
~Bouquet d'Amour~
Ces pétales blancs parfumés,
Avec tous mes sentiments animés,
Par cet amour si vivant, si grand,
Que je tiens à te prouver ardemment.
Cette chevelure dorée que je n'ai pu ignorer,
Ces yeux bleus azur qui m'ont fait rêver,
Ce sourire brillant, ces lèvres rouges vermillon,
Toutes ces choses qui m'ont fait virevolter, tel un papillon.
Tu voulais à tout prix m'éviter,
Disparaître, ne plus vivre dans ma réalité,
Et pourtant, le destin nous a liés,
Afin que nous puissions nous aimer.
Cet arc-en-ciel d'émotions m'a mené,
Vers toi, mon seul, mon unique amour vrai,
En espérant t'accompagner pour toujours,
Je t'offre promptement, ce bouquet d'amour.
~Rouge & Bleu~
Les fleurs ont projeté leurs pétales,
Durant ce moment très spécial,
Où cette silhouette est apparue,
Où il avait beaucoup plu.
Devant ce lac cristallin,
J'ai promené ma main,
Sur cette eau limpide et pure,
Mais une chose l'a prise, une créature ?
Non, c'était une fille douce et sereine,
Dont la beauté égalait celle d'une reine,
Ces cheveux blancs, ces yeux bleutés,
Est-ce que peux exister une aussi grande pureté ?
C'est une fantaisie qui revient sans cesse,
M'amenant cette incroyable princesse,
Qu'absolument, je veux,
Alternant, rouge et bleu...
~Danse Merveilleuse~
Dansant dans une plage de sable blanc,
Une jeune fille aux yeux verts étincelants,
Attend la venue d'un certain garçon,
Durant qu'est jouée une belle chanson.
Qui conquerra le cœur de cette beauté ?
Pendant que ce jeune homme, en cet été,
Partage délicatement sa passion,
Laisse fleurir une relation.
Ils ont dansé en bordant l'eau de la mer,
En contemplant les oiseaux bleus qui la quittèrent,
Pour survoler les grands océans,
Un voyage fait éternellement.
Si je suis ce garçon, pourquoi y a-t-il des couleurs rêches ?
Serai-je capable de combler dans mon cœur, cette brèche ?
Il se peut que tout cela n'était qu'un rêve, de nouveau,
Et que je n'aie vraiment pas entendu ces échos musicaux.
Quoiqu'il en soit, je sais qu'elle existe, cette jeune fille,
Celle qui tout le temps, visite mes longues nuits,
Même si notre relation a l'air d'être rêveuse,
Nous continuerons cette danse merveilleuse.
~Romancia Eternia~
Tu es apparue comme la lune blanche dans une nuit noire,
C'est à partir d'ici que j'ai su ce qu'était l'espoir,
Mais ma nuit s'est terminée vite,
Je n'ai pu stopper ta fuite.
Réunissant dans ma mémoire tous tes mots,
Tous ces sentiments qu'il me faut,
Pour pouvoir simuler ta présence,
Et ne plus dépendre de la chance.
Quand la pluie s'abat sur mes poèmes,
Je ne suis vraiment plus le même,
La joie, la gaieté, ils s'en vont,
Dessinant un terrible fond.
Chère partenaire d'hier,
Disparue en un éclair,
N'oublie pas, voire jamais,
Qu'ardemment, je t'ai aimée.
~Meneuse Stellaire~
Cette lueur que je vois au loin,
Étrange et unique, qui essaye de m'attirer,
J'attends toujours que vienne le destin,
Car elle, que j'aimais, a disparu en vrai.
Est-elle vivante ? Le saurai-je un jour ?
Je l'aurai peut-être déjà oublié,
Après avoir compris, qu'elle ne reviendra jamais,
Son départ était donc un départ sans retour.
Criant son nom vers le ciel coloré,
De tous mes souvenirs, de tous mes sentiments,
Lui demandant de revenir tout près,
De moi, et de m'aimer comme avant.
Je ne l'oublierai pas même si elle s'efface,
Elle a béni mon cœur d'un amour si fort,
Que l'ignorer serait un très grand tort,
Elle, me guidant, afin que je trouve ma place.
~Regret Déchirant~
Il m'a saisi quand je t'ai vue,
Belle et douce inconnue,
Je voulais te dire ardemment,
La couleur de mes sentiments.
Tes yeux que je n'ai pu effacer de mon esprit,
Me languissant de toi toutes les nuits,
Bien qu'au fond, passer à autre chose serait mieux,
Pour ne plus jamais revenir en ce lieu.
La solitude qui amplifie mes émotions,
Le chagrin, les vils pièges de l'illusion,
J'espère toujours revoir cette silhouette,
Cette fille, je n'ai pu l'oublier en fait.
"L'amour est niais s'il est joyeux",
Comment le saurai-je ? Je la veux,
Si seulement je pouvais la revoir un jour,
Pour enfin lui déclarer mon amour...
~Fleurs de cerisiers...~
Les pétales tombent, les fleurs se fanent,
Mon cœur l'attend toujours,
Elle, qui a mis mes émotions en panne,
Elle a stoppé le temps avec cet amour.
Son corps hante mes rêves les plus beaux,
Je sais très bien que c'est pour de faux,
Qu'elle se montre devant moi, si jolie,
Cette beauté douce qui scintille...
Le rose de ces fleurs de cerisiers a tourmenté mon âme,
La douceur de cette fille m'a fait l'effet d'une lame,
Transperçant mon corps de plein fouet.
Un jour, la rencontrerai-je ?
Qui sait, le monde est vaste et si peuplé,
Fille de tendresse de neige...
~Courant Amoureux~
En essayant d'effacer cette image de toi,
Il y a des taches rouges et profondes tu vois,
Incapable d'oublier nous deux,
Nous, et ce beau courant amoureux.
Ta chevelure abondante éclairée par le soleil,
Ma belle enchanteresse aux grands merveilles,
Viens me bercer discrètement dans mes rêves,
Pour éviter absolument que je me lève.
En essayant de garder cette image de toi,
Je me suis blessé profondément cette fois,
M'évadant dans les cieux majestueux,
Nageant toujours dans ce courant amoureux.
~Lumière Inespérée~
Cette étoile m'a quitté,
Elle m'a abandonné,
Seul sur cette terre,
Errant en solitaire.
L'espoir ne fait que partir,
Le bonheur ne fait que mourir,
Et pourtant, de plus belle,
Cette étoile éclaire le ciel.
Ainsi dans l'obscurité,
S'efface la réalité,
Je me lève à nouveau,
Tout repart à zéro.
Cette étoile m'atteint,
Était-ce mon destin ?
D'attendre, d'espérer,
Cette lumière inespérée...
~Virée Féerique~
Les étoiles se sont mises à briller,
Cette flèche qui parcourt le ciel,
Cet étrange et ambigu appel,
D'une fille qui a brusquement crié.
Des vœux suspendus dans les cieux,
Un amour caché, des émotions incertaines,
Pour avoir visité tellement de lieux,
J'en sais des choses vilaines.
Une voix qui pleure de solitude,
Cherchant sans cesse la plénitude,
Elle a besoin de beaucoup de réconfort,
Pour avoir à nouveau un cœur fort.
Le vent va effacer sa silhouette,
Était-elle vraiment prête ?
À ce que je la laisse pathétique,
Oubliant cette virée féerique...
~Silhouette Hantée~
J'entends sans cesse ces mots,
« Qu'est-ce que l'amour est beau ! »
Jusqu'à notre séparation,
Nos douloureuses émotions...
Tu disais : « Je t'aime ! Je te le promets ! »
Alors pourquoi mon cœur s'est fissuré ?
Nous étions liés par ce fil de romance,
Quand a disparu la chance ?
Je me suis masqué par la crainte de souffrir,
Et aussi, pour pouvoir mieux te chérir,
N'aurais-je dû point t'aimer ?
Ai-je vraiment trop rêvé ?
Tu disais : « Enlace-moi ! Embrasse-moi ! »
Étais-tu toujours honnête en disant cela ?
Même maintenant, je ne sais vraiment pas,
Si je te reverrai encore une fois...
Le cœur se nourrit des sentiments,
Même parfois ceux d'avant,
Ou même des songes si merveilleux,
Qui nous mènent vers les cieux...
J'ai réellement rêvé, tu ne pouvais exister,
Car comment aurais-je pu être autant aimé ?
Moi qui ne connaît pas les fruits de la passion,
Toutes ces grandes et uniques sensations...
~Fantôme Romantique~
Aimer dans le secret,
Attendre, espérer,
Qu'un jour, la lumière brille,
Dans mon cœur, il fait nuit.
Et enfin, quand l'amour est confié,
La seule attente est d'être aimé,
Mais quand vient la déception,
Il n'y a plus d'illusion.
Car oui, quelle triste réalité,
Condamné à être enfermé,
Dans les entrailles des sentiments,
En souffrant silencieusement.
Submergé par la croyance,
De pouvoir vivre une romance,
Je suis tombé de très haut,
Noyé dans de profondes eaux.
J'ai aperçu une silhouette,
Alors que mon cœur s'arrête,
Je t'ai revue encore,
Ta chevelure en or...
~Romance Rêveuse~
Dans la brume,
Une mélodie est entendue,
Mes sens que l'on parfume,
Sont maintenant apparus.
Dans la forêt verte,
Il y a une chevelure,
Aussi dorée que pure,
Vivrai-je sa perte ?
Fleur d'hiver, fleur d'hier,
Je t'attends et j'espère,
Que tu reviendras à nouveau,
Devant ces belles eaux.
Comprends-moi, grande beauté,
Je ne peux restreindre mes émotions,
Leur inévitable transformation,
Qui deviendra réalité.
Dans les rêves, on s'épanouit,
Profitant d'agréables nuits,
Jusqu'au brutal réveil,
L'adieu des merveilles.
Alors je t'attendrai,
Douce et sereine fille,
Il faudra espérer,
Il faudra que je prie.
~Dernier Sourire~
Je me souviens de cette nuit d'hiver,
Qui ne date pas d'hier,
Le froid envahissait mon corps,
Tu étais partie encore.
Ce souvenir disparu dans la neige,
Était-ce l'amour ? Était-ce un piège ?
Aujourd'hui encore, j'entends ta voix,
C'est toi, la personne en qui je crois.
Tu ne reviendras pas, j'en suis sûr,
Je ne pourrai plus toucher ton cœur pur,
Tu m'as abandonné dans ce gel,
Avec cet amour éternel.
Je vais disparaître dans le brouillard,
Car je n'ai plus de raison de croire,
Qu'avec toi, je pourrai m'épanouir,
Il me reste juste ce dernier sourire...
~Ombre Lointaine~
Ces mots ne cessent de résonner dans mon esprit,
« Pourquoi ? », « comment ? », pendant la nuit,
Tout cela parce que j'attends encore et encore,
De pouvoir revoir ton unique chevelure d'or.
Ta disparition dans la brume, ton visage dissimulé,
Ce sourire, que j'ai délibérément abandonné,
Reste pourtant dans ce cœur qui se languit,
D'une fille aux mille et un charmes qui prie.
Je ne sais pas ce qu'elle a souhaité,
Cette étrange et incroyable beauté,
Je voudrais cacher dans ses souhaits,
Ces sentiments qui m'ont tant affecté.
Lumière que j'ai aperçue trop tard,
Pour trouver un nouvel art,
Un art d'aimer qui serait une aubaine,
Pour ne plus que me hante cette ombre lointaine...
~Fascination Vivante~
Par les cieux,
En ces lieux,
Atterrissent la vie, les sentiments,
Périt l'éternité, vit le temps.
De mon sommeil à mon éveil,
Les ténèbres se sont propagées,
Où sont passées les merveilles ?
Détruites par la réalité.
Sur la brèche temporelle,
Qui s'est fissurée,
Tout mouvement corporel,
Est annihilé.
L'amitié et l'amour,
Apportés par ces papillons,
Semblaient durer pour toujours,
Infernale et sale illusion.
~Trois mille parfums~
J'ai oublié, le temps qui nous a séparé,
J'ai soupiré, car j'ai abondamment rêvé,
Alors, expédié dans une fantaisie,
J'ai profité de cette merveilleuse vie.
Des chuchotements m'ont ordonné de ne pas me réveiller,
Ces tempéraments violents m'ont brutalement transformé,
En un fauve à la quête du sang et de la gloire,
J'étais le roi, le roi du désespoir.
Le cœur poignardé, j'ai agonisé,
L'illusion de ce monde de vérités,
Si inacceptables pour mon âme,
Tombera-t-elle en flammes ?
La brise d'été a appelé mon esprit,
Combien de choses m'a-t-on pris ?
Suivant toujours le chemin du destin,
Envoûté par trois mille parfums...
~Passion Meurtrière~
Une addiction qui se développe dans mon âme,
Cette ardente et dangereuse flamme,
Après avoir vu cette robe rouge,
Gracieusement, elle bouge.
Elle qui a voulu me posséder,
Me faire perdre toute rationalité,
En désirant absolument un baiser,
De ces lèvres très empoisonnées.
La folie de ces pétales rouges virevoltantes,
Cherchant à me faire oublier, toute chose importante,
Il est trop tard pour m'en libérer,
De cette affection exagérée.
Dans ce jardin aux roses vicieuses,
Vit une belle jeune fille rêveuse,
Elle a saisi mon cœur en un éclair,
Créant en moi, cette passion meurtrière.
~Passion Foudroyante~
Ô sentiment piégeur,
Me traversant le corps,
Me laissant rêveur,
Et stupide encore.
Le plongeon vers les flammes,
La brûlure ressentie de l'âme,
Avec des envies de rugir,
Serait-il temps de mentir ?
Paradis désertique,
Destin, rêves ambigus,
Froid comme l'Arctique,
Instants, moments révolus.
Rose blanche épineuse,
Véritable menteuse,
Haleine parfumée,
Qu'il faut humer.
Amour ou passion ?
Immuable question,
Mélodie du feu,
Le début du jeu.
Jouer aux cartes comme le destin,
Puis les brûler comme le Malin,
Poignardé en cette nuit,
J'ai inopinément fui.
Fuite fugitive,
Je suis en cavale,
Ce qui me motive,
Serait-ce le mal ?
Rires sournois et vicieux,
Ont-ils un visage, des yeux ?
Monstres dissimulés,
Corbeaux révélés.
Mangeant la peau des hommes,
Ayant subi trop de passions,
Ayant voulu éviter la raison,
Ils ont croqué la pomme.
Dans la saison de l'été,
J'ai longtemps espéré,
Le retour d'un amour réel,
Celui qui donne des ailes.
Passion ou raison ?
La même question,
Sans réponse,
Ici, je fonce.
Cheveux d'or, lumière dorée,
Quel beau corps, sans réalité,
Rêve éternel, feu caniculaire,
Ô passion, émotion austère...
~Bouquet d'Amour~
Ces pétales blancs parfumés,
Avec tous mes sentiments animés,
Par cet amour si vivant, si grand,
Que je tiens à te prouver ardemment.
Cette chevelure dorée que je n'ai pu ignorer,
Ces yeux bleus azur qui m'ont fait rêver,
Ce sourire brillant, ces lèvres rouges vermillon,
Toutes ces choses qui m'ont fait virevolter, tel un papillon.
Tu voulais à tout prix m'éviter,
Disparaître, ne plus vivre dans ma réalité,
Et pourtant, le destin nous a liés,
Afin que nous puissions nous aimer.
Cet arc-en-ciel d'émotions m'a mené,
Vers toi, mon seul, mon unique amour vrai,
En espérant t'accompagner pour toujours,
Je t'offre promptement, ce bouquet d'amour.
~Rouge & Bleu~
Les fleurs ont projeté leurs pétales,
Durant ce moment très spécial,
Où cette silhouette est apparue,
Où il avait beaucoup plu.
Devant ce lac cristallin,
J'ai promené ma main,
Sur cette eau limpide et pure,
Mais une chose l'a prise, une créature ?
Non, c'était une fille douce et sereine,
Dont la beauté égalait celle d'une reine,
Ces cheveux blancs, ces yeux bleutés,
Est-ce que peux exister une aussi grande pureté ?
C'est une fantaisie qui revient sans cesse,
M'amenant cette incroyable princesse,
Qu'absolument, je veux,
Alternant, rouge et bleu...
~Danse Merveilleuse~
Dansant dans une plage de sable blanc,
Une jeune fille aux yeux verts étincelants,
Attend la venue d'un certain garçon,
Durant qu'est jouée une belle chanson.
Qui conquerra le cœur de cette beauté ?
Pendant que ce jeune homme, en cet été,
Partage délicatement sa passion,
Laisse fleurir une relation.
Ils ont dansé en bordant l'eau de la mer,
En contemplant les oiseaux bleus qui la quittèrent,
Pour survoler les grands océans,
Un voyage fait éternellement.
Si je suis ce garçon, pourquoi y a-t-il des couleurs rêches ?
Serai-je capable de combler dans mon cœur, cette brèche ?
Il se peut que tout cela n'était qu'un rêve, de nouveau,
Et que je n'aie vraiment pas entendu ces échos musicaux.
Quoiqu'il en soit, je sais qu'elle existe, cette jeune fille,
Celle qui tout le temps, visite mes longues nuits,
Même si notre relation a l'air d'être rêveuse,
Nous continuerons cette danse merveilleuse.
~Romancia Eternia~
Tu es apparue comme la lune blanche dans une nuit noire,
C'est à partir d'ici que j'ai su ce qu'était l'espoir,
Mais ma nuit s'est terminée vite,
Je n'ai pu stopper ta fuite.
Réunissant dans ma mémoire tous tes mots,
Tous ces sentiments qu'il me faut,
Pour pouvoir simuler ta présence,
Et ne plus dépendre de la chance.
Quand la pluie s'abat sur mes poèmes,
Je ne suis vraiment plus le même,
La joie, la gaieté, ils s'en vont,
Dessinant un terrible fond.
Chère partenaire d'hier,
Disparue en un éclair,
N'oublie pas, voire jamais,
Qu'ardemment, je t'ai aimée.
~Meneuse Stellaire~
Cette lueur que je vois au loin,
Étrange et unique, qui essaye de m'attirer,
J'attends toujours que vienne le destin,
Car elle, que j'aimais, a disparu en vrai.
Est-elle vivante ? Le saurai-je un jour ?
Je l'aurai peut-être déjà oublié,
Après avoir compris, qu'elle ne reviendra jamais,
Son départ était donc un départ sans retour.
Criant son nom vers le ciel coloré,
De tous mes souvenirs, de tous mes sentiments,
Lui demandant de revenir tout près,
De moi, et de m'aimer comme avant.
Je ne l'oublierai pas même si elle s'efface,
Elle a béni mon cœur d'un amour si fort,
Que l'ignorer serait un très grand tort,
Elle, me guidant, afin que je trouve ma place.
~Regret Déchirant~
Il m'a saisi quand je t'ai vue,
Belle et douce inconnue,
Je voulais te dire ardemment,
La couleur de mes sentiments.
Tes yeux que je n'ai pu effacer de mon esprit,
Me languissant de toi toutes les nuits,
Bien qu'au fond, passer à autre chose serait mieux,
Pour ne plus jamais revenir en ce lieu.
La solitude qui amplifie mes émotions,
Le chagrin, les vils pièges de l'illusion,
J'espère toujours revoir cette silhouette,
Cette fille, je n'ai pu l'oublier en fait.
"L'amour est niais s'il est joyeux",
Comment le saurai-je ? Je la veux,
Si seulement je pouvais la revoir un jour,
Pour enfin lui déclarer mon amour...
~Fleurs de cerisiers...~
Les pétales tombent, les fleurs se fanent,
Mon cœur l'attend toujours,
Elle, qui a mis mes émotions en panne,
Elle a stoppé le temps avec cet amour.
Son corps hante mes rêves les plus beaux,
Je sais très bien que c'est pour de faux,
Qu'elle se montre devant moi, si jolie,
Cette beauté douce qui scintille...
Le rose de ces fleurs de cerisiers a tourmenté mon âme,
La douceur de cette fille m'a fait l'effet d'une lame,
Transperçant mon corps de plein fouet.
Un jour, la rencontrerai-je ?
Qui sait, le monde est vaste et si peuplé,
Fille de tendresse de neige...
~Courant Amoureux~
En essayant d'effacer cette image de toi,
Il y a des taches rouges et profondes tu vois,
Incapable d'oublier nous deux,
Nous, et ce beau courant amoureux.
Ta chevelure abondante éclairée par le soleil,
Ma belle enchanteresse aux grands merveilles,
Viens me bercer discrètement dans mes rêves,
Pour éviter absolument que je me lève.
En essayant de garder cette image de toi,
Je me suis blessé profondément cette fois,
M'évadant dans les cieux majestueux,
Nageant toujours dans ce courant amoureux.
~Lumière Inespérée~
Cette étoile m'a quitté,
Elle m'a abandonné,
Seul sur cette terre,
Errant en solitaire.
L'espoir ne fait que partir,
Le bonheur ne fait que mourir,
Et pourtant, de plus belle,
Cette étoile éclaire le ciel.
Ainsi dans l'obscurité,
S'efface la réalité,
Je me lève à nouveau,
Tout repart à zéro.
Cette étoile m'atteint,
Était-ce mon destin ?
D'attendre, d'espérer,
Cette lumière inespérée...
~Virée Féerique~
Les étoiles se sont mises à briller,
Cette flèche qui parcourt le ciel,
Cet étrange et ambigu appel,
D'une fille qui a brusquement crié.
Des vœux suspendus dans les cieux,
Un amour caché, des émotions incertaines,
Pour avoir visité tellement de lieux,
J'en sais des choses vilaines.
Une voix qui pleure de solitude,
Cherchant sans cesse la plénitude,
Elle a besoin de beaucoup de réconfort,
Pour avoir à nouveau un cœur fort.
Le vent va effacer sa silhouette,
Était-elle vraiment prête ?
À ce que je la laisse pathétique,
Oubliant cette virée féerique...
~Silhouette Hantée~
J'entends sans cesse ces mots,
« Qu'est-ce que l'amour est beau ! »
Jusqu'à notre séparation,
Nos douloureuses émotions...
Tu disais : « Je t'aime ! Je te le promets ! »
Alors pourquoi mon cœur s'est fissuré ?
Nous étions liés par ce fil de romance,
Quand a disparu la chance ?
Je me suis masqué par la crainte de souffrir,
Et aussi, pour pouvoir mieux te chérir,
N'aurais-je dû point t'aimer ?
Ai-je vraiment trop rêvé ?
Tu disais : « Enlace-moi ! Embrasse-moi ! »
Étais-tu toujours honnête en disant cela ?
Même maintenant, je ne sais vraiment pas,
Si je te reverrai encore une fois...
Le cœur se nourrit des sentiments,
Même parfois ceux d'avant,
Ou même des songes si merveilleux,
Qui nous mènent vers les cieux...
J'ai réellement rêvé, tu ne pouvais exister,
Car comment aurais-je pu être autant aimé ?
Moi qui ne connaît pas les fruits de la passion,
Toutes ces grandes et uniques sensations...
~Fantôme Romantique~
Aimer dans le secret,
Attendre, espérer,
Qu'un jour, la lumière brille,
Dans mon cœur, il fait nuit.
Et enfin, quand l'amour est confié,
La seule attente est d'être aimé,
Mais quand vient la déception,
Il n'y a plus d'illusion.
Car oui, quelle triste réalité,
Condamné à être enfermé,
Dans les entrailles des sentiments,
En souffrant silencieusement.
Submergé par la croyance,
De pouvoir vivre une romance,
Je suis tombé de très haut,
Noyé dans de profondes eaux.
J'ai aperçu une silhouette,
Alors que mon cœur s'arrête,
Je t'ai revue encore,
Ta chevelure en or...
~Romance Rêveuse~
Dans la brume,
Une mélodie est entendue,
Mes sens que l'on parfume,
Sont maintenant apparus.
Dans la forêt verte,
Il y a une chevelure,
Aussi dorée que pure,
Vivrai-je sa perte ?
Fleur d'hiver, fleur d'hier,
Je t'attends et j'espère,
Que tu reviendras à nouveau,
Devant ces belles eaux.
Comprends-moi, grande beauté,
Je ne peux restreindre mes émotions,
Leur inévitable transformation,
Qui deviendra réalité.
Dans les rêves, on s'épanouit,
Profitant d'agréables nuits,
Jusqu'au brutal réveil,
L'adieu des merveilles.
Alors je t'attendrai,
Douce et sereine fille,
Il faudra espérer,
Il faudra que je prie.
~Dernier Sourire~
Je me souviens de cette nuit d'hiver,
Qui ne date pas d'hier,
Le froid envahissait mon corps,
Tu étais partie encore.
Ce souvenir disparu dans la neige,
Était-ce l'amour ? Était-ce un piège ?
Aujourd'hui encore, j'entends ta voix,
C'est toi, la personne en qui je crois.
Tu ne reviendras pas, j'en suis sûr,
Je ne pourrai plus toucher ton cœur pur,
Tu m'as abandonné dans ce gel,
Avec cet amour éternel.
Je vais disparaître dans le brouillard,
Car je n'ai plus de raison de croire,
Qu'avec toi, je pourrai m'épanouir,
Il me reste juste ce dernier sourire...
~Ombre Lointaine~
Ces mots ne cessent de résonner dans mon esprit,
« Pourquoi ? », « comment ? », pendant la nuit,
Tout cela parce que j'attends encore et encore,
De pouvoir revoir ton unique chevelure d'or.
Ta disparition dans la brume, ton visage dissimulé,
Ce sourire, que j'ai délibérément abandonné,
Reste pourtant dans ce cœur qui se languit,
D'une fille aux mille et un charmes qui prie.
Je ne sais pas ce qu'elle a souhaité,
Cette étrange et incroyable beauté,
Je voudrais cacher dans ses souhaits,
Ces sentiments qui m'ont tant affecté.
Lumière que j'ai aperçue trop tard,
Pour trouver un nouvel art,
Un art d'aimer qui serait une aubaine,
Pour ne plus que me hante cette ombre lointaine...
~Fascination Vivante~
Par les cieux,
En ces lieux,
Atterrissent la vie, les sentiments,
Périt l'éternité, vit le temps.
De mon sommeil à mon éveil,
Les ténèbres se sont propagées,
Où sont passées les merveilles ?
Détruites par la réalité.
Sur la brèche temporelle,
Qui s'est fissurée,
Tout mouvement corporel,
Est annihilé.
L'amitié et l'amour,
Apportés par ces papillons,
Semblaient durer pour toujours,
Infernale et sale illusion.
~Trois mille parfums~
J'ai oublié, le temps qui nous a séparé,
J'ai soupiré, car j'ai abondamment rêvé,
Alors, expédié dans une fantaisie,
J'ai profité de cette merveilleuse vie.
Des chuchotements m'ont ordonné de ne pas me réveiller,
Ces tempéraments violents m'ont brutalement transformé,
En un fauve à la quête du sang et de la gloire,
J'étais le roi, le roi du désespoir.
Le cœur poignardé, j'ai agonisé,
L'illusion de ce monde de vérités,
Si inacceptables pour mon âme,
Tombera-t-elle en flammes ?
La brise d'été a appelé mon esprit,
Combien de choses m'a-t-on pris ?
Suivant toujours le chemin du destin,
Envoûté par trois mille parfums...
~Passion Meurtrière~
Une addiction qui se développe dans mon âme,
Cette ardente et dangereuse flamme,
Après avoir vu cette robe rouge,
Gracieusement, elle bouge.
Elle qui a voulu me posséder,
Me faire perdre toute rationalité,
En désirant absolument un baiser,
De ces lèvres très empoisonnées.
La folie de ces pétales rouges virevoltantes,
Cherchant à me faire oublier, toute chose importante,
Il est trop tard pour m'en libérer,
De cette affection exagérée.
Dans ce jardin aux roses vicieuses,
Vit une belle jeune fille rêveuse,
Elle a saisi mon cœur en un éclair,
Créant en moi, cette passion meurtrière.
~Passion Foudroyante~
Ô sentiment piégeur,
Me traversant le corps,
Me laissant rêveur,
Et stupide encore.
Le plongeon vers les flammes,
La brûlure ressentie de l'âme,
Avec des envies de rugir,
Serait-il temps de mentir ?
Paradis désertique,
Destin, rêves ambigus,
Froid comme l'Arctique,
Instants, moments révolus.
Rose blanche épineuse,
Véritable menteuse,
Haleine parfumée,
Qu'il faut humer.
Amour ou passion ?
Immuable question,
Mélodie du feu,
Le début du jeu.
Jouer aux cartes comme le destin,
Puis les brûler comme le Malin,
Poignardé en cette nuit,
J'ai inopinément fui.
Fuite fugitive,
Je suis en cavale,
Ce qui me motive,
Serait-ce le mal ?
Rires sournois et vicieux,
Ont-ils un visage, des yeux ?
Monstres dissimulés,
Corbeaux révélés.
Mangeant la peau des hommes,
Ayant subi trop de passions,
Ayant voulu éviter la raison,
Ils ont croqué la pomme.
Dans la saison de l'été,
J'ai longtemps espéré,
Le retour d'un amour réel,
Celui qui donne des ailes.
Passion ou raison ?
La même question,
Sans réponse,
Ici, je fonce.
Cheveux d'or, lumière dorée,
Quel beau corps, sans réalité,
Rêve éternel, feu caniculaire,
Ô passion, émotion austère...
Spoiler :
Recueil III : Cauchemars, Tourments & Leçons
~Entité Ténébreuse~
La lumière et s'éteint et s'allume sans arrêt,
Comme un rêve qui apparaît puis disparaît,
Les esprits de la Mort appellent quelque chose,
À la fois douce et vicieuse, telle une rose.
Égaré dans une forêt lugubre et hostile,
Un chat blessé miaule de manière difficile,
Symbole de l'espoir, cette étoile fugace,
Qui sans cesse, change de place.
Un château noir entouré d'orages,
Des guerres, de nombreux carnages,
Dessinant un paysage rouge et noir,
Où les gens ont arrêté de croire.
La pluie se confond avec les larmes,
Cette image semble avoir peu de charme,
Elle montre la réalité d'une façon fameuse,
Elle peint et crée cette entité ténébreuse.
~Poème Cauchemardesque~
Des hurlements ont été poussés,
Des monstres se sont éveillés,
Les crocs et les griffes sont libérés,
Le sang commence tranquillement à couler.
Dans un songe où mes peurs veulent m'anéantir,
J'essaye par tous les moyens de les détruire,
Mais, ma peau est transpercée soudainement,
J'ai fini par pousser mon propre hurlement.
La nuit se termine, je me réveille, cependant,
Mon terrible rêve continue à me hanter violemment,
Mon cœur et mon âme sont enchaînés,
Intérieurement, je cède à la réalité.
Je bouge, je chancelle à cause de ces chaînes,
Qu'ai-je fait pour subir ces choses malsaines ?
Je finirai bien par ne plus ressentir quoique ce soit,
Quand ça sera le cas, je pourrai dormir comme cela...
~Voyage Tumultueux~
I : Jusqu'au bout de toute crainte
Perdu dans la brume grise,
Étant né dans une ère étrange,
Combien de vies ont été prises ?
Avant que descendent les anges ?
Vent obscur, souffle impur,
Aucun endroit n'est sûr,
Le soleil noir se lève maintenant,
Les nuages se montrent à présent.
Même si les ailes des oiseaux,
Tombent vraiment de très haut,
Je peux saisir la lumière,
Et mille et un éclairs.
Ce voyage dangereux commence,
Devrais-je croire en la chance ?
Lois du monde, porte interdite,
Me menant à la passion très vite.
Sentiments d'autrefois,
Qui ont blessé ce cœur,
Submergé dans la peur,
Tous ces péchés renégats.
Chuchotements et rires,
Doucement font souffrir,
Maléfique mascarade,
Résistant à toute parade.
Enchaîné depuis les cieux,
J'ai cru voir des fantaisies,
Cent mille et un lieux,
Happés dans de grandes moqueries.
Ce cauchemar peureux commence,
Les ténèbres et leur résonance,
Volant toute joie, gaieté et,
Ce dernier ciel de l'éternité.
Puisque l'amour n'a pas suffi,
Afin de ne point vivre dans l'ennui,
Je révèle mes puissants crocs,
Il n'y aura pas de retour à zéro.
Émotions actuelles,
Qui m'ont mené aux feux,
Et à cette rose belle,
Voici mon voyage tumultueux.
II : Péripéties douteuses
La fin de l'océan,
Doit bien exister,
Ou bien avant,
J'ai dû rêver.
Romances éphémères,
Se succédant incessamment,
Seul sur cette terre,
Comme un être mourant.
La lune bleue s'éclaircit,
Entités nocturnes,
Je suis à leur merci,
Atmosphère taciturne.
À la recherche de cette ombre,
Cette fille aux cheveux dorés,
Aux beaux yeux verts d'été,
Je fuis les jours sombres.
Crépuscule orange et grisé,
De nouvelles fins de journées,
Sans avancée réelle et concrète,
Gardant mes émotions secrètes.
En ce jour, j'ai pensé tenir ta main,
Mais je crois que c'est décidément en vain,
Que j'essaie d'échapper au destin,
Mon sang coulant comme le vin.
Le pardon est le résultat,
D'une souffrance qui n'est pas,
Désirée d'une façon ou d'une autre,
Bel autel de notre apôtre.
Ô sereine expiation,
Soudaine transformation,
Ces pétales de tromperie,
Aussi jolis que la nuit.
Félin turbulent,
Se terrant au fond de moi,
Suis-je insolent ?
De pouvoir aimer cela ?
Papillon rayonnant,
Motifs colorés,
Beaux et fascinants,
Sans réalité.
Serait-ce une illusion ?
Le sort de ma destinée,
Y ai-je fait allusion ?
Enfermé par la vérité.
Le voyage n'est pas fini,
Et pourtant aujourd'hui,
Je semble prêt à affronter,
Toutes les grandes âpretés.
III : Désir Ardent
Quel joli visage,
Que montre ce miroir,
Sentiment de tout âge,
Piégé dans l'armoire.
Que sont ces griffes et ces canines ?
Est-ce l'apparition d'une passion féline ?
Ô quel transport amusant...
Grâce à ce visage charmant.
Fille douce et calme,
Je suis venu te déclarer,
Ma magnifique flamme,
Puisses-tu la supporter.
Est-ce de l'amour ou du désir ?
Quoique ce soit, cela doit sortir,
La panthère noire va s'éveiller,
C'est elle qui va tout déterminer.
Chaînes de la raison,
Devrais-je les défaire ?
Ou subir le poison,
De cette vie éphémère ?
Dans la forêt, une mélodie est jouée,
Célébrant l'amour et la solitude,
Profitant de notre impureté,
Nos mauvaises attitudes.
Jusqu'où pourrais-je aimer ?
Avant que cela arrive,
Quand ce feu aura trop brûlé,
Où il sera temps qu'on m'en prive.
Les forces supérieures rient,
De notre impuissance évidente,
Quand nous perdons la vie,
Sans réaction impudente.
Faudrait-il protester ?
Tout est déjà décidé,
Alors on abandonne,
Sans changer la donne.
Fille malicieuse en larmes,
Découvrant des sensations,
Sans pouvoir user d'armes,
Jusqu'à la rédemption.
Les cloches du réel sonnent,
Mais ne sont entendues,
Hélas par personne !
Nous sommes désormais perdus.
Le temps finira par nous dévorer,
C'est ici qu'il faut s'arrêter,
Et aller de l'avant,
Oublier ce désir ardent.
IV : Éternité
Combien de temps a passé ?
Sans que je puisse rêver,
Sans que je puisse voir,
Le fond de mon désespoir.
J'ai suivi mon cœur hésitant,
La pluie est tombée violemment,
Fêtant mon abandon,
Accompli sans pardon.
L'épée plantée sur ce sol,
Semble seule et à part,
Je l'ai compris, cette fille folle,
A ressenti de l'amour à mon égard.
Mais il est maintenant trop tard,
Je suis réellement en retard,
Oui, elle est partie loin,
Cela semble être son destin.
Après diverses passions,
Vécues à profusion,
Le regret naît,
Qu'il est laid !
Qu'est-ce que l'amitié ?
Face à l'amour, le vrai,
Me perdant dans l'illusion,
De l'âme, des sentiments en fusion.
Château obscur,
Princesse aux yeux d'azur,
Nouveau désir,
Terrible avenir.
Où ce voyage va m'emmener ?
Vers d'innombrables contrées ?
Où l'esprit s'abandonne,
Aux idées qu'il façonne.
Connaissez-vous la logique ?
Elle vise à être pathétique,
Pour ne pas être rejeté,
Il faut se dissimuler.
Donc, je porte des masques,
Protégeant mon corps flasque,
Le désir, l'amour et la passion,
Je n'ai pu résister à la tentation.
Après diverses compréhensions,
Laissant place à la désolation,
Le remords me dévore,
Je rejette la mort.
« Carpe Diem » est resté,
De la vie, il faut profiter,
« Memento Mori » est traité,
Comme un paria pour l'éternité.
~Mouvements
I : Nature~
Dans les forêts vertes où chantent les oiseaux,
Il est fréquent d'entendre le bruit de l'eau,
Limpide, cristalline, venant d'un lac pur,
Un des berceaux de la nature.
Mais quand nos rêves se versent sur ce domaine,
Ils se multiplient et en toute hâte nous mènent,
Vers mille et unes lumières inconnues,
Les a-t-on toutes vues ?
Hélas, non, nous sommes passifs face à de telles beautés,
Nous sommes incapables d'en tirer quelque gaieté,
Cœur de pierre, cœur austère,
Pourquoi faut-il qu'on erre ?
Hier un bosquet, aujourd'hui un désert ;
Attaquant la nature, notre mère,
Mais, un jour, le ciel se noircira,
Et toute chose mourra.
~II : Oubli~
C'était un manège où jouaient des enfants,
Un manège que l'on visitait tout le temps,
Cependant, les enfants sont partis,
Afin de vivre leur vie,
Des cris de joie, toujours la même mélodie,
Mais le passé s'efface toujours à ce qu'on dit,
Il laisse place au présent, un présent de regrets,
Puis le présent amène l'avenir, mauvais,
Combien de choses avons-nous oublié de chérir ?
Avant de les voir fatalement mourir ?
Aimez toute chose qui vous est offerte,
Avant que n'arrive le jour de la perte.
~III : Voyage~
Nous partons pour découvrir des expériences,
Pour nous forger une nouvelle conscience,
Les sept mers, les sept merveilles,
Beaux rêves jusqu'au réveil,
Nous comprenons que nous sommes fragiles,
Et que nous ne pourrons pas visiter tant d'îles,
Mais faire le tour du monde est ambitieux,
Même si on vous appellera, « le courageux »,
Ne vous surmenez pas à la tâche du voyage,
Si vous ne voulez pas périr à un jeune âge.
~IV : Amour~
C'est dans notre grande solitude,
Que l'on recherche la plénitude,
Quelqu'un pouvant nous apaiser,
Avec la douceur d'un baiser,
Étrange expression des émotions,
Plusieurs nombreuses impressions,
Le cœur, l'âme, agissant rapidement,
Comme si n'existait plus le temps,
Alors je vous le dis en toute sincérité,
La chose la plus fatale est celle d'aimer.
~Apaisement Fantaisiste~
Emporté dans ce domaine merveilleux,
Comme si soudainement, j'avais dit adieu,
À la rationalité, à tant de douces clartés,
Ces choses-là, j'ai voulu les quitter.
Calmement, la folie me gagne,
Doucement, loin, je m'éloigne,
Ces elfes espiègles m'ont déjà piégé,
Ils m'ont pris tout ce que j'ai.
Comme si l'alcool avait coulé dans mon corps,
Je me suis perdu dans ce bois encore,
Ne contrôlant plus mes mouvements,
Regrettant les temps d'avant.
Dans un lieu étroitement lié au Paradis,
N'étant pas aussi joli que l'on dit,
La fantaisie a eu raison de moi,
En m'apaisant mortellement cette fois.
~Rêve d'un jour...~
Perdu dans un sommeil irrégulier,
Ce rêve avec qui j'ai été lié,
S'est enfui aussi vite qu'il est venu,
Comme si je ne l'avais jamais vécu.
Pourquoi attendre qu'il se réalise ?
Car tant de fois, il se brise,
Et pourtant, ne cesse de renaître,
Serais-je son maître ?
Il mourra donc avec moi, dans mes cendres,
J'ai mis très longtemps à le comprendre,
J'ai erré dans les plus profondes obscurités,
Car la lumière m'a véritablement évité.
Les rêves se succèdent les uns après les autres sans fin,
Et nous y croyons bêtement et rit Maître Destin,
Nous guidant vers les entrailles des ténèbres,
Commençant sa manipulation funèbre.
~Raison Enfuie~
Dans l'ignorance,
Dans la malchance,
Toutes ces leçons,
Désormais s'en vont.
Fleur céleste, pétales blanches,
Le combat d'une dernière manche,
Désarmé, écrasé à terre,
Je hurle, gronde tel un tonnerre.
Félin téméraire, crocs brisés,
Avant, hier, le sang a coulé,
Je continue cette course sauvage,
Jusqu'à être détruit par les orages.
Espoir apparu, espoir disparu,
Comme l'aube et le crépuscule,
Qui partent avoir été vus,
J'avance, et fugacement recule.
Quand le doute règne en maître,
N'agissez point en traître,
Car fuir ses devoirs,
Amène le désespoir.
~Chevalier des Ténèbres~
Il voyage sur son destrier noir,
Il transperce toute chose, même l'espoir,
Il brandit son épée vers les orages,
Il laisse éclater sa grande rage.
Servant des entités obscures,
Cherchant à rendre son âme pure,
Elle brûle violemment dans les enfers,
Il a servi le maléfique Lucifer.
Sa souffrance se noie dans ses tueries,
Passent, défilent les nuits,
Dans l'attente de l'expiation,
De toutes ses machinations.
Tombé dans l'océan sombre et froid,
Il voudrait se libérer de ses propres lois,
Malgré tout, il continue son errance funèbre,
Lui, que l'on appelle "chevalier des ténèbres".
~Course Obscure~
Dans ce monde où les mots sont contrôlés,
Toutes ces marionnettes sont manipulées,
Le jeu des âmes damnées commence,
Les plus viles sorcières dansent.
Les portes du Salut se ferment,
La torture et le massacre germent,
Ô humanité terrifiée, expie tes péchés,
Affronte la réalité, évite de te cacher.
Ô humanité condamnée, tu ne peux t'échapper,
Chéris les ténèbres où tu seras happée,
Dans une solitude tueuse et douloureuse,
Tu révéleras ta vraie nature peureuse.
Chers humains, ne vous moquez point de la Mort,
Car ceci est définitivement un véritable tort,
Si une lumière essaye de vous atteindre,
En aucun cas, vous ne devez la craindre.
~Immortalité~
Aucun être n'est éternel,
Dans ce monde, le réel,
Nous ne pouvons surpasser la Mort,
Elle, qui anéantit nos corps.
Cet océan de désespoir s'étend,
Ô impétueux orages puissants,
Mère Solitude, pourquoi reviens-tu sans cesse ?
Nos cœurs se fissurent, ils se blessent.
Un nombre élevé de fantaisies illusoires,
Apparaissant tranquillement vers le soir,
Tant d'effondrements de notre espèce,
Tant d'inutiles tendresses...
Nos ailes brûlent, elles se consument,
Cette oisiveté que souvent, on fume,
Nous rend impuissants, nous met à terre,
Les oublis nombreux de nos pères.
Ô humains, vous cherchez une chose incompréhensible,
L'éternité n'appartient à personne de nuisible,
Attendez patiemment votre heure la plus noire,
Où vous aurez abandonné tout espoir.
Les saisons se pourrissent, le ciel s'obscurcit,
Nos amours perdurent mais ils s'enfuient,
Ce soleil brûlant nous fait fondre,
Rougissant cette terre qui s'effondre.
Aucun être n'est éternel,
Dans ce monde, se révèlent,
Les associés de la Mort, des tueurs nés,
Pour annihiler les chercheurs de l'immortalité.
~Entité Ténébreuse~
La lumière et s'éteint et s'allume sans arrêt,
Comme un rêve qui apparaît puis disparaît,
Les esprits de la Mort appellent quelque chose,
À la fois douce et vicieuse, telle une rose.
Égaré dans une forêt lugubre et hostile,
Un chat blessé miaule de manière difficile,
Symbole de l'espoir, cette étoile fugace,
Qui sans cesse, change de place.
Un château noir entouré d'orages,
Des guerres, de nombreux carnages,
Dessinant un paysage rouge et noir,
Où les gens ont arrêté de croire.
La pluie se confond avec les larmes,
Cette image semble avoir peu de charme,
Elle montre la réalité d'une façon fameuse,
Elle peint et crée cette entité ténébreuse.
~Poème Cauchemardesque~
Des hurlements ont été poussés,
Des monstres se sont éveillés,
Les crocs et les griffes sont libérés,
Le sang commence tranquillement à couler.
Dans un songe où mes peurs veulent m'anéantir,
J'essaye par tous les moyens de les détruire,
Mais, ma peau est transpercée soudainement,
J'ai fini par pousser mon propre hurlement.
La nuit se termine, je me réveille, cependant,
Mon terrible rêve continue à me hanter violemment,
Mon cœur et mon âme sont enchaînés,
Intérieurement, je cède à la réalité.
Je bouge, je chancelle à cause de ces chaînes,
Qu'ai-je fait pour subir ces choses malsaines ?
Je finirai bien par ne plus ressentir quoique ce soit,
Quand ça sera le cas, je pourrai dormir comme cela...
~Voyage Tumultueux~
I : Jusqu'au bout de toute crainte
Perdu dans la brume grise,
Étant né dans une ère étrange,
Combien de vies ont été prises ?
Avant que descendent les anges ?
Vent obscur, souffle impur,
Aucun endroit n'est sûr,
Le soleil noir se lève maintenant,
Les nuages se montrent à présent.
Même si les ailes des oiseaux,
Tombent vraiment de très haut,
Je peux saisir la lumière,
Et mille et un éclairs.
Ce voyage dangereux commence,
Devrais-je croire en la chance ?
Lois du monde, porte interdite,
Me menant à la passion très vite.
Sentiments d'autrefois,
Qui ont blessé ce cœur,
Submergé dans la peur,
Tous ces péchés renégats.
Chuchotements et rires,
Doucement font souffrir,
Maléfique mascarade,
Résistant à toute parade.
Enchaîné depuis les cieux,
J'ai cru voir des fantaisies,
Cent mille et un lieux,
Happés dans de grandes moqueries.
Ce cauchemar peureux commence,
Les ténèbres et leur résonance,
Volant toute joie, gaieté et,
Ce dernier ciel de l'éternité.
Puisque l'amour n'a pas suffi,
Afin de ne point vivre dans l'ennui,
Je révèle mes puissants crocs,
Il n'y aura pas de retour à zéro.
Émotions actuelles,
Qui m'ont mené aux feux,
Et à cette rose belle,
Voici mon voyage tumultueux.
II : Péripéties douteuses
La fin de l'océan,
Doit bien exister,
Ou bien avant,
J'ai dû rêver.
Romances éphémères,
Se succédant incessamment,
Seul sur cette terre,
Comme un être mourant.
La lune bleue s'éclaircit,
Entités nocturnes,
Je suis à leur merci,
Atmosphère taciturne.
À la recherche de cette ombre,
Cette fille aux cheveux dorés,
Aux beaux yeux verts d'été,
Je fuis les jours sombres.
Crépuscule orange et grisé,
De nouvelles fins de journées,
Sans avancée réelle et concrète,
Gardant mes émotions secrètes.
En ce jour, j'ai pensé tenir ta main,
Mais je crois que c'est décidément en vain,
Que j'essaie d'échapper au destin,
Mon sang coulant comme le vin.
Le pardon est le résultat,
D'une souffrance qui n'est pas,
Désirée d'une façon ou d'une autre,
Bel autel de notre apôtre.
Ô sereine expiation,
Soudaine transformation,
Ces pétales de tromperie,
Aussi jolis que la nuit.
Félin turbulent,
Se terrant au fond de moi,
Suis-je insolent ?
De pouvoir aimer cela ?
Papillon rayonnant,
Motifs colorés,
Beaux et fascinants,
Sans réalité.
Serait-ce une illusion ?
Le sort de ma destinée,
Y ai-je fait allusion ?
Enfermé par la vérité.
Le voyage n'est pas fini,
Et pourtant aujourd'hui,
Je semble prêt à affronter,
Toutes les grandes âpretés.
III : Désir Ardent
Quel joli visage,
Que montre ce miroir,
Sentiment de tout âge,
Piégé dans l'armoire.
Que sont ces griffes et ces canines ?
Est-ce l'apparition d'une passion féline ?
Ô quel transport amusant...
Grâce à ce visage charmant.
Fille douce et calme,
Je suis venu te déclarer,
Ma magnifique flamme,
Puisses-tu la supporter.
Est-ce de l'amour ou du désir ?
Quoique ce soit, cela doit sortir,
La panthère noire va s'éveiller,
C'est elle qui va tout déterminer.
Chaînes de la raison,
Devrais-je les défaire ?
Ou subir le poison,
De cette vie éphémère ?
Dans la forêt, une mélodie est jouée,
Célébrant l'amour et la solitude,
Profitant de notre impureté,
Nos mauvaises attitudes.
Jusqu'où pourrais-je aimer ?
Avant que cela arrive,
Quand ce feu aura trop brûlé,
Où il sera temps qu'on m'en prive.
Les forces supérieures rient,
De notre impuissance évidente,
Quand nous perdons la vie,
Sans réaction impudente.
Faudrait-il protester ?
Tout est déjà décidé,
Alors on abandonne,
Sans changer la donne.
Fille malicieuse en larmes,
Découvrant des sensations,
Sans pouvoir user d'armes,
Jusqu'à la rédemption.
Les cloches du réel sonnent,
Mais ne sont entendues,
Hélas par personne !
Nous sommes désormais perdus.
Le temps finira par nous dévorer,
C'est ici qu'il faut s'arrêter,
Et aller de l'avant,
Oublier ce désir ardent.
IV : Éternité
Combien de temps a passé ?
Sans que je puisse rêver,
Sans que je puisse voir,
Le fond de mon désespoir.
J'ai suivi mon cœur hésitant,
La pluie est tombée violemment,
Fêtant mon abandon,
Accompli sans pardon.
L'épée plantée sur ce sol,
Semble seule et à part,
Je l'ai compris, cette fille folle,
A ressenti de l'amour à mon égard.
Mais il est maintenant trop tard,
Je suis réellement en retard,
Oui, elle est partie loin,
Cela semble être son destin.
Après diverses passions,
Vécues à profusion,
Le regret naît,
Qu'il est laid !
Qu'est-ce que l'amitié ?
Face à l'amour, le vrai,
Me perdant dans l'illusion,
De l'âme, des sentiments en fusion.
Château obscur,
Princesse aux yeux d'azur,
Nouveau désir,
Terrible avenir.
Où ce voyage va m'emmener ?
Vers d'innombrables contrées ?
Où l'esprit s'abandonne,
Aux idées qu'il façonne.
Connaissez-vous la logique ?
Elle vise à être pathétique,
Pour ne pas être rejeté,
Il faut se dissimuler.
Donc, je porte des masques,
Protégeant mon corps flasque,
Le désir, l'amour et la passion,
Je n'ai pu résister à la tentation.
Après diverses compréhensions,
Laissant place à la désolation,
Le remords me dévore,
Je rejette la mort.
« Carpe Diem » est resté,
De la vie, il faut profiter,
« Memento Mori » est traité,
Comme un paria pour l'éternité.
~Mouvements
I : Nature~
Dans les forêts vertes où chantent les oiseaux,
Il est fréquent d'entendre le bruit de l'eau,
Limpide, cristalline, venant d'un lac pur,
Un des berceaux de la nature.
Mais quand nos rêves se versent sur ce domaine,
Ils se multiplient et en toute hâte nous mènent,
Vers mille et unes lumières inconnues,
Les a-t-on toutes vues ?
Hélas, non, nous sommes passifs face à de telles beautés,
Nous sommes incapables d'en tirer quelque gaieté,
Cœur de pierre, cœur austère,
Pourquoi faut-il qu'on erre ?
Hier un bosquet, aujourd'hui un désert ;
Attaquant la nature, notre mère,
Mais, un jour, le ciel se noircira,
Et toute chose mourra.
~II : Oubli~
C'était un manège où jouaient des enfants,
Un manège que l'on visitait tout le temps,
Cependant, les enfants sont partis,
Afin de vivre leur vie,
Des cris de joie, toujours la même mélodie,
Mais le passé s'efface toujours à ce qu'on dit,
Il laisse place au présent, un présent de regrets,
Puis le présent amène l'avenir, mauvais,
Combien de choses avons-nous oublié de chérir ?
Avant de les voir fatalement mourir ?
Aimez toute chose qui vous est offerte,
Avant que n'arrive le jour de la perte.
~III : Voyage~
Nous partons pour découvrir des expériences,
Pour nous forger une nouvelle conscience,
Les sept mers, les sept merveilles,
Beaux rêves jusqu'au réveil,
Nous comprenons que nous sommes fragiles,
Et que nous ne pourrons pas visiter tant d'îles,
Mais faire le tour du monde est ambitieux,
Même si on vous appellera, « le courageux »,
Ne vous surmenez pas à la tâche du voyage,
Si vous ne voulez pas périr à un jeune âge.
~IV : Amour~
C'est dans notre grande solitude,
Que l'on recherche la plénitude,
Quelqu'un pouvant nous apaiser,
Avec la douceur d'un baiser,
Étrange expression des émotions,
Plusieurs nombreuses impressions,
Le cœur, l'âme, agissant rapidement,
Comme si n'existait plus le temps,
Alors je vous le dis en toute sincérité,
La chose la plus fatale est celle d'aimer.
~Apaisement Fantaisiste~
Emporté dans ce domaine merveilleux,
Comme si soudainement, j'avais dit adieu,
À la rationalité, à tant de douces clartés,
Ces choses-là, j'ai voulu les quitter.
Calmement, la folie me gagne,
Doucement, loin, je m'éloigne,
Ces elfes espiègles m'ont déjà piégé,
Ils m'ont pris tout ce que j'ai.
Comme si l'alcool avait coulé dans mon corps,
Je me suis perdu dans ce bois encore,
Ne contrôlant plus mes mouvements,
Regrettant les temps d'avant.
Dans un lieu étroitement lié au Paradis,
N'étant pas aussi joli que l'on dit,
La fantaisie a eu raison de moi,
En m'apaisant mortellement cette fois.
~Rêve d'un jour...~
Perdu dans un sommeil irrégulier,
Ce rêve avec qui j'ai été lié,
S'est enfui aussi vite qu'il est venu,
Comme si je ne l'avais jamais vécu.
Pourquoi attendre qu'il se réalise ?
Car tant de fois, il se brise,
Et pourtant, ne cesse de renaître,
Serais-je son maître ?
Il mourra donc avec moi, dans mes cendres,
J'ai mis très longtemps à le comprendre,
J'ai erré dans les plus profondes obscurités,
Car la lumière m'a véritablement évité.
Les rêves se succèdent les uns après les autres sans fin,
Et nous y croyons bêtement et rit Maître Destin,
Nous guidant vers les entrailles des ténèbres,
Commençant sa manipulation funèbre.
~Raison Enfuie~
Dans l'ignorance,
Dans la malchance,
Toutes ces leçons,
Désormais s'en vont.
Fleur céleste, pétales blanches,
Le combat d'une dernière manche,
Désarmé, écrasé à terre,
Je hurle, gronde tel un tonnerre.
Félin téméraire, crocs brisés,
Avant, hier, le sang a coulé,
Je continue cette course sauvage,
Jusqu'à être détruit par les orages.
Espoir apparu, espoir disparu,
Comme l'aube et le crépuscule,
Qui partent avoir été vus,
J'avance, et fugacement recule.
Quand le doute règne en maître,
N'agissez point en traître,
Car fuir ses devoirs,
Amène le désespoir.
~Chevalier des Ténèbres~
Il voyage sur son destrier noir,
Il transperce toute chose, même l'espoir,
Il brandit son épée vers les orages,
Il laisse éclater sa grande rage.
Servant des entités obscures,
Cherchant à rendre son âme pure,
Elle brûle violemment dans les enfers,
Il a servi le maléfique Lucifer.
Sa souffrance se noie dans ses tueries,
Passent, défilent les nuits,
Dans l'attente de l'expiation,
De toutes ses machinations.
Tombé dans l'océan sombre et froid,
Il voudrait se libérer de ses propres lois,
Malgré tout, il continue son errance funèbre,
Lui, que l'on appelle "chevalier des ténèbres".
~Course Obscure~
Dans ce monde où les mots sont contrôlés,
Toutes ces marionnettes sont manipulées,
Le jeu des âmes damnées commence,
Les plus viles sorcières dansent.
Les portes du Salut se ferment,
La torture et le massacre germent,
Ô humanité terrifiée, expie tes péchés,
Affronte la réalité, évite de te cacher.
Ô humanité condamnée, tu ne peux t'échapper,
Chéris les ténèbres où tu seras happée,
Dans une solitude tueuse et douloureuse,
Tu révéleras ta vraie nature peureuse.
Chers humains, ne vous moquez point de la Mort,
Car ceci est définitivement un véritable tort,
Si une lumière essaye de vous atteindre,
En aucun cas, vous ne devez la craindre.
~Immortalité~
Aucun être n'est éternel,
Dans ce monde, le réel,
Nous ne pouvons surpasser la Mort,
Elle, qui anéantit nos corps.
Cet océan de désespoir s'étend,
Ô impétueux orages puissants,
Mère Solitude, pourquoi reviens-tu sans cesse ?
Nos cœurs se fissurent, ils se blessent.
Un nombre élevé de fantaisies illusoires,
Apparaissant tranquillement vers le soir,
Tant d'effondrements de notre espèce,
Tant d'inutiles tendresses...
Nos ailes brûlent, elles se consument,
Cette oisiveté que souvent, on fume,
Nous rend impuissants, nous met à terre,
Les oublis nombreux de nos pères.
Ô humains, vous cherchez une chose incompréhensible,
L'éternité n'appartient à personne de nuisible,
Attendez patiemment votre heure la plus noire,
Où vous aurez abandonné tout espoir.
Les saisons se pourrissent, le ciel s'obscurcit,
Nos amours perdurent mais ils s'enfuient,
Ce soleil brûlant nous fait fondre,
Rougissant cette terre qui s'effondre.
Aucun être n'est éternel,
Dans ce monde, se révèlent,
Les associés de la Mort, des tueurs nés,
Pour annihiler les chercheurs de l'immortalité.