- "Ici le MI7. Saz, vous me recevez ?"
- "Oui, qu'est-ce qu'il y a ?"
- "Il y a un changement dans les plans. Apparemment, Puz Ara Dons est au courant de la transaction. Il se peut même qu'il sache que vous êtes là."
- "Et merde..."
- "Nous pensons qu'il l'a su par un traître qui se cache parmi nous, et qui lui révèle nos informations. Du coup, votre mission change : au lieu de simuler la transaction, vous devez à tout prix l'annuler ! Un autre émissaire a été envoyé plus tôt que nous ne le pensions, et donc vous ne pouvez plus le remplacer..."
- "Que dois-je faire, alors ?"
- "Nous n'avons pas le choix..."
"Il faut tuer Puz Ara Dons !!"
Une histoire de héros et de truands
Peu après cette communication, le fameux agent Saz Pan Rudo, un des tout meilleurs agents du MI7, une organisation secrète qui lutte contre le crime et toutes les transactions douteuses de ce genre, comme les vendeurs d'armes destructrices et tout ce genre de choses. Et sur ce coup-là, c'est exactement de ce cas-là qu'il s'agissait. (quelle coïncidence vraiment fortuite.)
En effet, un malfrat du doux pseudonyme de Puz Ara Dons (car tous les méchants ont un pseudonyme) faisait régner le mal derrière le dos de tout le monde, et peut-être même de toute la planète. D'après ce que sait le MI7, ce méchant devait passer un marché de plusieurs millions de dollars contre une arme redoutable qui allait rayer un certain pays de la carte !! C'est précisément pour ça que l'agent Saz a été envoyé à la villa privée de Puz, sur l'île privée de Puz, en toute discrétion par hélicoptère.
Mais comment entrer dans cette énorme forteresse inabordable à cause d'une gigantesque clôture en planches de bois d'un mètre 70 de haut (nan, je déconne, y a un vrai mur en béton de 8 mètres) ? Aucun problème pour Saz ! C'est pas une petite barrière qui fera abandonner notre héros. Celui-cl se met alors en route pour trouver un endroit, comme un angle, où escalader ce mur qui paraît infranchissable, jusqu'à trouver son bonheur : un coin de mur parait escaladable. Difficile mais faisable. Saz se lance.
Après une montée laborieusement verticale le long de la paroi, proche du sommet, Saz s'aperçoit qu'il y a une caméra de surveillance placée ici. Quelle chance, Saz est juste hors du camp de vision de l'engin. Il décide alors d'utiliser la TFAPCS (Technique des Films pour Accrocher une Photo sur une Caméra de Surveillance), il sort alors son téléphone portable d'agent secret (c'est à dire qu'il peut téléphoner, recevoir la radio, entendre les voix à travers les murs, pirater des ordinateurs à distance, et surtout, prendre des photos) et il prend donc une photo de ce que, logiquement, la caméra devrait voir. Et il la fixe devant l'objectif. Et voila ! Les gardes seront dupés avec ca !!
Saz peut maintenant passer en toute sécurité derrière la caméra et sauter de l'autre coté du mur, et ainsi faire un atterrissage d'agent secret derrière le seul buisson de la cour.
Les gardes et leurs lampes-torches sillonnent la cour de la villa, cherchant dans le néant une éventuelle trace d'agent secret. Saz sort son silencieux scintillant sur son sac secret (super sentence

) et l'assemble en le vissant lentement pour garder tout le suspense de l'horrible carton qu'il va faire après, mais aussi parce qu'il grince et que ca pourrait alerter les sbires de Puz.
Saz sort alors de son buisson et dégaine son arme, et parvient à liquider en toute discrétion les trois gardes de la cour. Il passe alors par le checkpoint du seuil de la porte, et ouvre cette dernière. Quelle magnifique entrée, avec toutes ces pièces sur les côtés et ce double escalier central qui mène à l'étage !! Saz en est tout subjugué. Un petit toussotement, un petit regard de renard pour voir si personne ne l'a vu ou suivi, et Saz est parti tel une fusée vers l'étage où se trouve sûrement la grande salle où se déroule la transaction.
Saz découvre un grand couloir, avec au fond, une porte. Il court vers cette porte, puis sort son portable et commence à décrypter les voix qu'il entend à travers la porte. Ce qu'il entend le laisse sans voix. Et de toute façon, s'il dit un mot, les détecteurs de mot du couloir le repèreraient.
"Deux millions tout de suite ? Ca me va. Vous voulez conclure cette affaire avec un whisky ?"
La transaction était en train de se conclure !! Saz décide d'intervenir. Il ouvre alors violemment la porte et sort une phrase que personne n'avait soupçonné jusque là. (qui fait d'ailleurs réagir les détecteurs.)
- "Puz Ara Dons !! Tu es cerné cette fois !! Rends-toi !", dit-il avec fougue et en pointant son revolver sur le malfrat.
- "Tiens donc, ne serait-ce donc pas le fameux agent Saz Pan Rudo !! Quelle bonne surprise !! Un petit whisky ?", répondit Puz, comme si de rien n'était.
- "Silence ! Dis-moi où est l'arme sinon j'te bute !"
- "Calme-toi. Je sais que le MI7 me veut vivant. Si tu me tues, tu n'auras rien. Et d'ailleurs, si tu ne me tues pas, tu n'auras rien non plus..."
- "Tu bluffes !!"
- "Ecoute, Saz. Mon cher Saz. La transaction est finie. Les armes sont déja en train de s'échanger quelque part dans le Proche-Orient...La partie est finie, Saz. Maintenant, j'aimerais assez que tu partes."
- "Je ne partirai pas sans toi, même si je dois te tuer pour ca !!"
Puz Ara Dons appuie sur un petit bouton sous son bureau, ce qui a pour effet de le faire disparaitre, lui et son fauteuil, au rez-de-chaussée par une trappe secrète. Saz a comme l'impression qu'il s'est fat avoir et que la journée va être longue...
Les gardes arrivent alors vers la salle de la transaction. Il faut fuir. Ni une ni deux, Saz se rue vers la fenêtre de la salle, se hisse sur la corniche supérieure, et d'un geste aigu et osé de pur gymnastique, essaye à quatre reprises d'atteindre le toit avec ses jambes afin de pouvoir y grimper (il réussit d'ailleurs à la troisième tentative).
S'ensuit une véritable scène d'action avec Saz, courant sur le toit de la villa, et les trois gardes qui le suivent, et qui lui tirent dessus avec leurs revolvers. Saz se cache derrière une cheminée pour éviter les balles, puis d'un geste net et précis, se lève, se retourne, et décoche une balle dans l'oeil gauche d'un garde. Puis il se remet à courir sur le toit.
Les gardes ne s'attendaient pas à ce que l'agent Saz sorte un lance-roquettes de son petit sac à dos d'agent secret...
"Allez crever en enfer bande de trous du cul !!", lança Saz en actionnant le bazooka portatif nucléaire qu'il tient sur son épaule. Cette manoeuvre a pour effet de faire exploser une partie du batiment, et surtout, permet à Saz de voir Puz s'enfuir dans une de ses limousines, de l'autre coté !! C'est le quitte ou double !!
Et là, c'est le drame.
Saz analyse la trajectoire de la voiture (oui, son portable permet aussi de faire ca) et calcule avec précision. Puis il se jette dans le vide, du haut du toit, pour atterrir en plein sur la superbe limousine noire de Puz Ara Dons. Pendant sa chute, il reçoit un appel privé de Décibelle. Dans l'incompréhension, il décroche.
- "Allô ?"
- "Ici le MI7 !! Hé ouais, je les ai tous butés !!", cria Décibelle, suivi d'un rire démoniaque.
- "Comment ? Non...Pas Smith...Pas Turner...Pas McDonalds...Pas Fernandez...Oh, quoique, Fernandez...Mais bon !! NOOON !! Espèce de salope !! C'était donc toi, le traitre ! Dès que je rentre, tu vas voir !"
Et il raccroche.
Saz s'écrase alors sans la moindre égratignure sur la limousine, faisant la peur de sa vie à Puz. Celui-ci décide alors de donner l'ordre à Francis, le chauffeur, d'arreter la voiture.
Ceci a pour effet de propulser Saz en avant et de le faire s'écraser royalement comme une vieille bouse devant la limousine. Puz va le voir et lui demande une dernière fois, de se rendre, sinon il ferait usage de son arme la plus terrible. Saz est donc contraint de se rendre, et est amené dans le bureau de Puz après s'être fait assommer par derrière.
C'est attaché, sur une chaise, et nu que Saz se retrouve dans le bureau de Puz. Puz lui annonce qu'il a réfléchi et que, finalement, il valait mieux exécuter le pauvre agent secret.
- "Vous ne pouvez pas me tuer ! Tout le monde va le savoir !"
- "En effet, c'est pourquoi je te ferai tuer par quelqu'un de...spécial."
- "Non...pitié..."
- "Ecoute, Saz...", dit-il en s'approchant, "sais-tu pourquoi je ne peux pas te tuer moi-même, et que je n'aurais jamais pu ?"
Saz fait un non apeuré de la tête, pendant que Puz s'approche près de lui...
- "C'est parce que je...suis ton père."
- "NOOOOOOOOOOOOOOON", cria Saz, perdant tout espoir.
- "Bon, il est l'heure d'abréger tes souffrances. Ravi de t'avoir connu, petit."
Puz part en appuyant sur un interrupteur caché sous un cadre dans la salle. Une trappe s'ouvre alors au plafond, révélant une chose horrible accompagné d'une vieille odeur de jambon périmé. C'est impuissant que Saz assiste à la scène : une sorte de squelette enroulé dans du jambon, à qui il manque un bras et une jambe, tombe du plafond et se dirige en rampant vers lui...
Saz meurt dans des souffrances atroces, très lentement, dévoré par ce zombie sorti tout droit d'un film de science-fiction (et d'horreur)...
Pour la petite histoire, on a pu identifier le zombie : il s'agissait de Naz Psa Doru, le père de Puz, et qui a été victime d'un mauvais plan de son fils pour l'héritage de sa fortune colossale. Il s'était fait envoûter par un vieux mage vaudou du nom de Noerbmuvek, le transformant en vieux zombie décrépi, et enroulé dans du jambon...que Puz décida d'enfermer dans le grenier après lui avoir coupé un bras et une jambe...
Mais quelle était l'arme que Puz a commandé ? Que va-t-il faire avec ? Serait-ce le début d'une nouvelle phase du monde ?
Nous le saurons peut-etre un jour... (ou pas)
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Choisissez votre destin :
[Insert Me !!] Votre histoire devra contenir le passage suivant :
"...Alors, vous voyez, mes chers amis, ceci est un néocactus !!", disait Ludwig à ses élèves. Ils étaient très impressionnés par ce nouveau défi de la science, et posaient des milliers de questions au professeur.
Mais soudain...
"Arretez ! Arretez tout !", cria un homme en noir, en défonçant la porte.
[Insert Me !!] Votre histoire devra contenir le passage suivant :
Tout à coup, la grande hache qui oscillait au-dessus de Vivinana commença à descendre. Quelle frayeur dans les yeux de Vivinana, sur qu'il allait mourir dans la souffrance, mais aussi dans ceux de Kev, qui faisait tout pour empêcher la lame de découper Vivi en deux !
Mais attention, si vous prenez ce deuxième choix, dans votre histoire, Kev doit mourir, et Vivi doit survivre !!