Diplomacy : Toute ressemblance avec des faits réels est purement volontaire.
Spoiler :
L'archiduc d'Autriche rentrait à sa maison quand il apprit ce qui s'était produit. Il avançait dans l'allée du château dans son carrosse. Il vit en passant des mauvaises herbes, ce qui le mit en rogne. Il apercevait souvent, lui semblait-il, le jardinier se reposer à l'ombre des peupliers, ce qui l'insupportait au plus haut point. Il avait envie de sortir de son carrosse et d'aller lui mettre une claque! Enervé, il continua sa route sans le faire : il avait d'autres chats à fouetter. Son fils, en particulier, se montrait extrêmement énervant ces temps-ci : ils passaient leur temps à se chamailler, et il arrivait rarement qu'il sorte de sa maison sans que son fils ne se mette à la salir, et à la déranger.
Perdu dans ses réflexions, il vit comme une ombre passer. Il s'agissait d'un inconnu ossédant une cagoule, comme un voleur! Il demanda à ses chevaux de le poursuivre. S'il ne pouvait ni crier sur le jardinier ni sur son fils, peut-être le pouvait-il au moins sur un étranger? Cependant ce dernier, en le voyant le poursuivre, se mit à courir de plus en plus vite. Cela agaça l'Archiduc, car il savait bien que tout résistance était inutile, et pour cause: il lui fallut moins d'une minute pour le rattraper et lui demander :
"Que faites-vous là?" cria-t-il d'une voix rauque.
"Jé...Jé... Jé cours?" dit l'inconnu avec un fort accent serbe.
L'archiduc jura. Un espion SERBE! Il connaissait très bien FA, le souverain serbe, ainsi que ses envies de revendiquer certains territoires qu'il possédait.
Et à ce moment là un couteau glissa des vêtements du serbe. Un couteau tâché de sang! L'archiduc devint pâle, et comprit. Il confia le serbe au jardinier, qui était en train de paresser à côté, et courra de toutes ses forces vers le château. Ce qu'il vit alors l'épouvanta:
Son fils, Ramplestiltskin, était étendu au sol, mort. Jintei l'archiduc n'eut pas la force de pleurer et se mit à jurer. Il demanda à ce qu'on lui apporte le Serbe, et apprit qu'il s'était enfui. Lorsqu'il entendit cela, il laissa libre cours à sa colère.
Si bien qu'il n'entendit pas derrière lui, une voix spectrale lui dire "Père, je ne peux pas mourir, j'ai été Maudit..."
Perdu dans ses réflexions, il vit comme une ombre passer. Il s'agissait d'un inconnu ossédant une cagoule, comme un voleur! Il demanda à ses chevaux de le poursuivre. S'il ne pouvait ni crier sur le jardinier ni sur son fils, peut-être le pouvait-il au moins sur un étranger? Cependant ce dernier, en le voyant le poursuivre, se mit à courir de plus en plus vite. Cela agaça l'Archiduc, car il savait bien que tout résistance était inutile, et pour cause: il lui fallut moins d'une minute pour le rattraper et lui demander :
"Que faites-vous là?" cria-t-il d'une voix rauque.
"Jé...Jé... Jé cours?" dit l'inconnu avec un fort accent serbe.
L'archiduc jura. Un espion SERBE! Il connaissait très bien FA, le souverain serbe, ainsi que ses envies de revendiquer certains territoires qu'il possédait.
Et à ce moment là un couteau glissa des vêtements du serbe. Un couteau tâché de sang! L'archiduc devint pâle, et comprit. Il confia le serbe au jardinier, qui était en train de paresser à côté, et courra de toutes ses forces vers le château. Ce qu'il vit alors l'épouvanta:
Son fils, Ramplestiltskin, était étendu au sol, mort. Jintei l'archiduc n'eut pas la force de pleurer et se mit à jurer. Il demanda à ce qu'on lui apporte le Serbe, et apprit qu'il s'était enfui. Lorsqu'il entendit cela, il laissa libre cours à sa colère.
Si bien qu'il n'entendit pas derrière lui, une voix spectrale lui dire "Père, je ne peux pas mourir, j'ai été Maudit..."
Spoiler :
La première chose que vit le Tsar Russe en regardant sa cour, ce furent les nouvelles courtisanes. Il ricana en voyant l'aspect de certaines, mais d'autres lui semblaient avoir un côté hypnotisant, et une beauté sauvage. Il en invita volontiers plusieurs à sa table, les faisant jouer aux cartes tout en discutant avec elles, ayant tout le loisir d'observer attentivement leurs vêtements. Il pouvait sans problème inviter l'une d'entre elles à danser - tout ce qu'elles voulaient était son argent, et son statut, et il le savait très bien. De plus, le repas était délicieux, et la musique phénoménale. Bref, tout se passait extrêmement bien pour lui.
Alors que tout allait pour le mieux, il fut dérangé par la visite intempestive de son conseiller en chef, Zangoose. Il ne l'avait pas payé pour ça - en réalité, il ne faisait que répondre à la demande de son intendant qui n'arrêtait lui même pas de l'embêter alors qu'il jouait avec des filles. Il avait pris le moins cher qu'il avait trouvé, mais il espérait qu'il serait capable de gérer le pays en temps de crise.
Zangoose avait de nombreux ancêtres de la noblesse anglaise - tous célèbres depuis Zani Ier, qui réussit la presque-conquête de l'Europe, mais qui fit face à une coalition qui le battit alors qu'il était à un doigt de remporter la guerre. Zanichef, son fils, était un grand explorateur, et il avait inventé lors de l'une de ses explorations un jeu qui fit fureur en Grande Bretagne. Basé sur un réseau complexe d'alliance, on raconte qu'il l'aurait inventé lors d'un naufrage, où les survivants devaient éliminer ceux qu'ils voulaient manger. Cependant le père de Zangoose provoqua le déshonneur de sa famille: il avait pris le controle de l'Océanie et fit la pire gestion possible de ce pays. On le surnomma Zanidiot.
Il prit rapidement la parole :
"-Chef, nous avons des nouvelles des Serbes. Leur seigneur Fireanger a décidé de déclarer la guerre à l'Autriche-Hongrie."
Zellan roula des yeux.
"-Qu'il aille se faire... Nous n'avons pas besoin d'une guerre maintenant si? De toute façon il me tournera le dos dès que possible... Pauvre FA, on connait tous son trouble qui le pousse à trahir tout le monde... (Sur ces mots, il ricana.) Je vais vous laisser le champ libre pour le début des opérations si nécessaire".
Sur ce, Zangoose le quitta et Zellan se réintéressa aux courtisanes. Il allait pouvoir laisser libre cours à sa luxure.
Alors que tout allait pour le mieux, il fut dérangé par la visite intempestive de son conseiller en chef, Zangoose. Il ne l'avait pas payé pour ça - en réalité, il ne faisait que répondre à la demande de son intendant qui n'arrêtait lui même pas de l'embêter alors qu'il jouait avec des filles. Il avait pris le moins cher qu'il avait trouvé, mais il espérait qu'il serait capable de gérer le pays en temps de crise.
Zangoose avait de nombreux ancêtres de la noblesse anglaise - tous célèbres depuis Zani Ier, qui réussit la presque-conquête de l'Europe, mais qui fit face à une coalition qui le battit alors qu'il était à un doigt de remporter la guerre. Zanichef, son fils, était un grand explorateur, et il avait inventé lors de l'une de ses explorations un jeu qui fit fureur en Grande Bretagne. Basé sur un réseau complexe d'alliance, on raconte qu'il l'aurait inventé lors d'un naufrage, où les survivants devaient éliminer ceux qu'ils voulaient manger. Cependant le père de Zangoose provoqua le déshonneur de sa famille: il avait pris le controle de l'Océanie et fit la pire gestion possible de ce pays. On le surnomma Zanidiot.
Il prit rapidement la parole :
"-Chef, nous avons des nouvelles des Serbes. Leur seigneur Fireanger a décidé de déclarer la guerre à l'Autriche-Hongrie."
Zellan roula des yeux.
"-Qu'il aille se faire... Nous n'avons pas besoin d'une guerre maintenant si? De toute façon il me tournera le dos dès que possible... Pauvre FA, on connait tous son trouble qui le pousse à trahir tout le monde... (Sur ces mots, il ricana.) Je vais vous laisser le champ libre pour le début des opérations si nécessaire".
Sur ce, Zangoose le quitta et Zellan se réintéressa aux courtisanes. Il allait pouvoir laisser libre cours à sa luxure.
Spoiler :
La souveraine anglaise regarda ses sujets avec envie. Son premier ministre portait un splendide bijou - elle ne savait pas où il se l'était procuré, mais elle le voulait à tout prix. Les autres semblaient si heureux dans la foule, et elle savait comment ils l'appelaient tous - "the Mad Queen" ou encore "la Reine Stupide". Elle enrageait à entendre cela - elle était bien la seule à subir ces quolibets tout au long de son règne... Elle aurait adoré être à la place d'un des autres souverains européens. Ces chanceux ne subissaient ni ces courtisans affreux, ni tous ses navires coulés en mer, ni les crues régulières de la Tamise... A chaque fois qu'elle entendait une mauvaise nouvelle, elle se disait qu'elle aurait sans fois préféré naitre roi d'Allemagne ou Tsar de Russie...
Alors qu'elle enrageait dans son coin, elle vit son stratège officiel depuis le déclin de Zanidiot - quel entaché celui-là! - apparaitre et se rapprocher. Il n'avait guère 15 ans, et pourtant il avait déjà un air de noble, avec son monocle et sa montre en or. Et il était tellement jeune. Elle aurait été tellement heureuse de prendre sa place, mais elle ne le pouvait pas.
Il s'inclina. "Ma reine", dit-il d'une voix somptueuse. Elle grogna. Elle était à peine capable de faire de même. Son conseiller Mew_33 était aussi tellement plus intelligent qu'elle... Il était surnommé le Magicien par la cour, sous prétexte qu'il était capable de faire faire n'importe quoi à n'importe qui alors qu'il n'avait que 15 ans.
"-Quelque chose vient de se passer en Europe de l'Est. Nos espions indiquent qu'une guerre entre l'Autriche et la Russie se prépare. Je pense qu'il est temps d'agir."
"Pourquoi? Cela ne nous concerne pas..." répondit-elle
"Ma Reine, avez-vous jamais essayé de conquérir un pays sur le continent? Ne trouvez-vous pas l'île... oppressante?"
Elle acquiesça. Ce qu'il disait n'était pas faux...
"Pour cela, nous devons brouiller les souverains français et allemand d'une façon ou d'une autre, alors que les puissances Orientales ne regardent pas... dit-il en souriant. Nous devons frapper d'un grand coup. Nous devons détruire un bateau Français..."
"Quel intérêt? Le français sera monté contre nous, pas contre nos ennemis?"
"Nous ne signerons pas notre acte, bien entendu..."
Il lui expliqua son plan tandis qu'elle ricanait. Avec un esprit aussi malicieux que celui de son conseiller, Skychild pouvait laisser libre cours à son envie.
Alors qu'elle enrageait dans son coin, elle vit son stratège officiel depuis le déclin de Zanidiot - quel entaché celui-là! - apparaitre et se rapprocher. Il n'avait guère 15 ans, et pourtant il avait déjà un air de noble, avec son monocle et sa montre en or. Et il était tellement jeune. Elle aurait été tellement heureuse de prendre sa place, mais elle ne le pouvait pas.
Il s'inclina. "Ma reine", dit-il d'une voix somptueuse. Elle grogna. Elle était à peine capable de faire de même. Son conseiller Mew_33 était aussi tellement plus intelligent qu'elle... Il était surnommé le Magicien par la cour, sous prétexte qu'il était capable de faire faire n'importe quoi à n'importe qui alors qu'il n'avait que 15 ans.
"-Quelque chose vient de se passer en Europe de l'Est. Nos espions indiquent qu'une guerre entre l'Autriche et la Russie se prépare. Je pense qu'il est temps d'agir."
"Pourquoi? Cela ne nous concerne pas..." répondit-elle
"Ma Reine, avez-vous jamais essayé de conquérir un pays sur le continent? Ne trouvez-vous pas l'île... oppressante?"
Elle acquiesça. Ce qu'il disait n'était pas faux...
"Pour cela, nous devons brouiller les souverains français et allemand d'une façon ou d'une autre, alors que les puissances Orientales ne regardent pas... dit-il en souriant. Nous devons frapper d'un grand coup. Nous devons détruire un bateau Français..."
"Quel intérêt? Le français sera monté contre nous, pas contre nos ennemis?"
"Nous ne signerons pas notre acte, bien entendu..."
Il lui expliqua son plan tandis qu'elle ricanait. Avec un esprit aussi malicieux que celui de son conseiller, Skychild pouvait laisser libre cours à son envie.
Spoiler :
Le Ducce Italien bronzait tranquillement au soleil, à côté de sa piscine; il venait de faire une centaine de longueur de crawl. A vrai dire, il n'avait absolument rien à gérer dans son pays. Sa prétendue cour était presque déserte, les paysans étaient entièrement indépendants, et l'Eglise était dirigée par le pape. Il ne servait plus qu'à gérer les armées.
C'est pour cela qu'il attendait patiemment qu'une guerre arrive. Depuis tout petit, il savait qu'il aurait un destin extraordinaire : il comptait sur son incroyable talent et sur son grand charisme pour conquérir le monde, ni plus ni moins. Il espérait qu'un million, non, qu'un milliard de personnes viendraient se rejoindre à sa cause. Après tout, qu'est-ce qu'il pouvait faire de plus? Il savait que tout le monde l'aimait. Il était à la fois l'homme le plus intelligent et le plus doué que la Terre n'ait jamais porté! Qui pourrait le hair en sachant cela?
Il se leva. Il entendait son intendant, l'autrichien Buwaro, l'appeler. Il était très bien payé et il devait être aux anges. Le Ducce l'avait recueilli alors qu'il n'était qu'un enfant, et depuis, il avait le plaisir de nettoyer les toilettes de l'homme le plus beau sur Terre. Qui pourrait en être mécontent? Et pourtant il n'arrêtait pas de se plaindre. Sa terre natale devait lui manquer. Bah, le Ducce la lui redonnerait dès que possible.
Buwaro finit par accourir vers le Ducce. Il s'agenouilla et baisa ses pieds, comme le voulait la règle qu'il avait écrite. Puis il redressa sa tête en dit, sur un ton excité :
"Maitre, la lettre que vous attendiez est arrivée. Comme vous le pensiez, FA a déclaré la guerre à l'archiduc Jintei et inversement!"
Buwaro attendait ce moment depuis si longtemps! Pour lui c'était la fin de ses souffrances. Le Ducce perdrait et en vue de son enlèvement à la famille royale d'Autriche et de sa véritable naissance, il serait recueilli par un autre souverain!
Iceblaze ricana.
"Viens, laquais. Il est temps pour nous de conquérir le monde."
Et ils s'éloignèrent.
C'est pour cela qu'il attendait patiemment qu'une guerre arrive. Depuis tout petit, il savait qu'il aurait un destin extraordinaire : il comptait sur son incroyable talent et sur son grand charisme pour conquérir le monde, ni plus ni moins. Il espérait qu'un million, non, qu'un milliard de personnes viendraient se rejoindre à sa cause. Après tout, qu'est-ce qu'il pouvait faire de plus? Il savait que tout le monde l'aimait. Il était à la fois l'homme le plus intelligent et le plus doué que la Terre n'ait jamais porté! Qui pourrait le hair en sachant cela?
Il se leva. Il entendait son intendant, l'autrichien Buwaro, l'appeler. Il était très bien payé et il devait être aux anges. Le Ducce l'avait recueilli alors qu'il n'était qu'un enfant, et depuis, il avait le plaisir de nettoyer les toilettes de l'homme le plus beau sur Terre. Qui pourrait en être mécontent? Et pourtant il n'arrêtait pas de se plaindre. Sa terre natale devait lui manquer. Bah, le Ducce la lui redonnerait dès que possible.
Buwaro finit par accourir vers le Ducce. Il s'agenouilla et baisa ses pieds, comme le voulait la règle qu'il avait écrite. Puis il redressa sa tête en dit, sur un ton excité :
"Maitre, la lettre que vous attendiez est arrivée. Comme vous le pensiez, FA a déclaré la guerre à l'archiduc Jintei et inversement!"
Buwaro attendait ce moment depuis si longtemps! Pour lui c'était la fin de ses souffrances. Le Ducce perdrait et en vue de son enlèvement à la famille royale d'Autriche et de sa véritable naissance, il serait recueilli par un autre souverain!
Iceblaze ricana.
"Viens, laquais. Il est temps pour nous de conquérir le monde."
Et ils s'éloignèrent.
Spoiler :
Pendant ce temps, le président Français était aux anges. Il venait d'apprendre la nouvelle : un de ses bateaux avait découvert un somptueux trésor au Nord du Québec! Cela allait régler tous ses problèmes, la dette publique, le trou budgétaire et tant d'autres choses! Un miracle, un véritable miracle. En réalité il comptait bien prendre une partie du Trésor pour lui-même. Dans sa plus petite enfance, il mendiait son argent, et un jour il s'était dit : "Quand je serais plus grand, je deviendrais président!" Et puis bah c'était fait. Il ne savait pas trop bien comment, mais ils était aux rênes de son état. Mais depuis, ce manque d'argent semblait le poursuivre et il cherchait à obtenir tout ce qui avait une quelconque valeur. En réalité, le contenu de son compte bancaire en Suisse suffirait à couvrir la dette.
Cependant il n'aurait pas pu faire cela sans celui qui l'avait recueilli, aujourd'hui premier ministre son père adoptif qui le conseillait sans arrêt. Au final le président ne contrôlait rien mais ne répondait qu'aux ordres de son ami. Par contre, sans savoir pourquoi, il trouvait que ce qu'il faisait ressemblait de plus en plus à une dictature...
Et c'est normal car il s'agissait du voeu le plus profond de son père, Il'. Ce dernier venaait d'Asie, de Corée plus précisément, et voulait reprendre le modèle de son pays. De plus il souhaitait créer une grande dictature dans l'Europe entière.
Cependant ce matin-là tout a dérapé, quand Torticolis reçut la lettre qui annonçait que son bateau était coulé. Il fut choqué, horrifié par ce fait et appela son père à la rescousse. Il ne savait absolument pas comment il se devait de gérer la crise. Sa haine était sans limite : il se devait de récupérer l'or qu'on lui avait volé! Il irait jusqu'aux Highlands écossais, jusqu'à Naples et jusqu'à Berliin s'il le devait! Son armée, il la savait prête et surentraînée, tirant chaque jour sur des civils lors de nombreuses révoltes. Il savait qu'une puissance voisine était responsable de ceci et il s'apprêtait à écrire une lettre à ses rivaux, quand il se rendit compte qu'il ne savait pas écrire.
Son premier ministre arriva pile à ce moment-là pour l'aider. Il' regarda Torti-colis et ressentit une sorte de pitié pour cet être qui ne servait qu'à répondre à ses fantasmes. Puis il écrivit une lettre et l'envoya par la poste.
Cependant il n'aurait pas pu faire cela sans celui qui l'avait recueilli, aujourd'hui premier ministre son père adoptif qui le conseillait sans arrêt. Au final le président ne contrôlait rien mais ne répondait qu'aux ordres de son ami. Par contre, sans savoir pourquoi, il trouvait que ce qu'il faisait ressemblait de plus en plus à une dictature...
Et c'est normal car il s'agissait du voeu le plus profond de son père, Il'. Ce dernier venaait d'Asie, de Corée plus précisément, et voulait reprendre le modèle de son pays. De plus il souhaitait créer une grande dictature dans l'Europe entière.
Cependant ce matin-là tout a dérapé, quand Torticolis reçut la lettre qui annonçait que son bateau était coulé. Il fut choqué, horrifié par ce fait et appela son père à la rescousse. Il ne savait absolument pas comment il se devait de gérer la crise. Sa haine était sans limite : il se devait de récupérer l'or qu'on lui avait volé! Il irait jusqu'aux Highlands écossais, jusqu'à Naples et jusqu'à Berliin s'il le devait! Son armée, il la savait prête et surentraînée, tirant chaque jour sur des civils lors de nombreuses révoltes. Il savait qu'une puissance voisine était responsable de ceci et il s'apprêtait à écrire une lettre à ses rivaux, quand il se rendit compte qu'il ne savait pas écrire.
Son premier ministre arriva pile à ce moment-là pour l'aider. Il' regarda Torti-colis et ressentit une sorte de pitié pour cet être qui ne servait qu'à répondre à ses fantasmes. Puis il écrivit une lettre et l'envoya par la poste.
Spoiler :
Le Kaiser mangeait goulûment à ce moment-là. Il goûtait un plat à base d'escalope de Dinde, dont il raffolait absolument. La sauce était délicieuse mais il savait que même sans, il apprécierait ce bon repas.
Tout autour de lui tout le monde appréciait ce véritable festin. Il y en avait tout le soir, si bien que le Kaiser avait fini par prendre du poids. Cela créérait un trou dans le budget allemand, certes. Mais il s'en fichait au fond : il n'avait pour but que de remplir le trou dans son estomac. Il connaissait les événements qui avaient eu lieu récemment en Autriche. Pauvre Archiduc. le Kaiser l'inviterait bien à manger un de ces quatre pour l'aider à se remettre - l'escalope de dinde au chocolat était très bonne pour remonter le moral - mais il n'en avait pas le loisir.
Cette guerre l'embêtait aussi mais il s'en fichait encore plus. Une guerre, et puis quoi encore? En Serbie en plus? tant qu'ils n'attaquaient pas Berlin, qu'est-ce que cela pouvait lui faire? Et puis personne ne penserait à couper son ravitaillement en escalope de dinde. Du moins il l'espérait... C'est à ce moment précis que son lieutenant vint pour le saluer.
Tipwasson était sans problème l'homme le plus apprécié du royaume. Gros, gentil, affable, et même un peu bête par moment, le stratège officiel allemand avait cependant une mine un peu grisatre cette fois-ci. Le Kaiser fut étonné par cela, quand il entendit ce que Tipwasson avait à lui dire.
"Il nous faut participer à la guerre, mon seigneur."
"Comment? Pourquoi donc? Allons, nous n'avons pas besoin de cela! il y a suffisamment de nourriture ici pour aller en voler chez les autres."
"Mon bon roi, le Français a perdu une flotte en Amérique. Il nous soupçonne d'avoir été la saboter pour récupérer l'or qu'elle a porté. Le Russe compte prendre part au conflit, et nous avons reçu des lettres de tout le monde pour nous demander notre avis..."
"Ne pouvons-nous pas envoyer une escalope de dinde à ces gens-là en signe de paix?" marmonna la Kaiser Di'mort. Il congédia le stratège en lui laissant carte blanche et essaya de continuer le festin, mais n'avait guère plus d'appétit.
Tout autour de lui tout le monde appréciait ce véritable festin. Il y en avait tout le soir, si bien que le Kaiser avait fini par prendre du poids. Cela créérait un trou dans le budget allemand, certes. Mais il s'en fichait au fond : il n'avait pour but que de remplir le trou dans son estomac. Il connaissait les événements qui avaient eu lieu récemment en Autriche. Pauvre Archiduc. le Kaiser l'inviterait bien à manger un de ces quatre pour l'aider à se remettre - l'escalope de dinde au chocolat était très bonne pour remonter le moral - mais il n'en avait pas le loisir.
Cette guerre l'embêtait aussi mais il s'en fichait encore plus. Une guerre, et puis quoi encore? En Serbie en plus? tant qu'ils n'attaquaient pas Berlin, qu'est-ce que cela pouvait lui faire? Et puis personne ne penserait à couper son ravitaillement en escalope de dinde. Du moins il l'espérait... C'est à ce moment précis que son lieutenant vint pour le saluer.
Tipwasson était sans problème l'homme le plus apprécié du royaume. Gros, gentil, affable, et même un peu bête par moment, le stratège officiel allemand avait cependant une mine un peu grisatre cette fois-ci. Le Kaiser fut étonné par cela, quand il entendit ce que Tipwasson avait à lui dire.
"Il nous faut participer à la guerre, mon seigneur."
"Comment? Pourquoi donc? Allons, nous n'avons pas besoin de cela! il y a suffisamment de nourriture ici pour aller en voler chez les autres."
"Mon bon roi, le Français a perdu une flotte en Amérique. Il nous soupçonne d'avoir été la saboter pour récupérer l'or qu'elle a porté. Le Russe compte prendre part au conflit, et nous avons reçu des lettres de tout le monde pour nous demander notre avis..."
"Ne pouvons-nous pas envoyer une escalope de dinde à ces gens-là en signe de paix?" marmonna la Kaiser Di'mort. Il congédia le stratège en lui laissant carte blanche et essaya de continuer le festin, mais n'avait guère plus d'appétit.
Spoiler :
Le Seigneur Turc bronzait sur une plage sans rien faire pendant des heures. C'était si bon, ne rien faire. Quelle sensation il éprouvait en sentant le soleil sur sa peau. Que c'était bien. Il n'avait rien à faire de toute façon! Le pays se gérait de lui-même. Peut-être pourrait-il essayer de guerroyer pour l'étendre, mais le temps où l'empire Ottoman détenait les balkans remonte à si longtemps... Il avait tout de même de nombreuses obligations, comme les visites diplomatiques. Mais c'était si long, si dur, si énervant... il avait parfois envie de juste s'allonger sur le sol et de ne rien faire. Heureusement il pouvait se payer des vacances au bord de la mer. Que c'était bon, que c'était beau. VifArgent avait demandé personnellement à son conseiller diplomatique de ne pas le déranger pendant toute cette période.
Pourtant, pendant ce temps, ce même conseiller préparait activement la guerre. A l'insu même de son maitre - eh, c'était bien lui qui le lui avait demandé! Il s'apprêtait à répandre la sainte foi et à renvahir les Balkans pour rendre sa gloire passée à la Turquie. Tout allait dans son sens : l'Europe était sens dessus dessous, mais Shinyrio voyait clair dans le jeu de ses adversaires. Il connaissait très bien tous les pays Européens et leurs conseillers, et était parfaitement capable de prédire tous leurs coups à la perfection. Cette guerre, il allait la remporter, il le savait très bien. Il était le meilleur stratège européen, après tout! Seul son vrai souverain l'agaçait. VifArgent ne connaissait rien des théories du jeu, et ce qu'il préférait faire, c'était dormir. Quel acte ennuyeux... Mais soit. Shinyrio était prêt à le supporter, il avait besoin de son appui pour garder le peuple avec lui. Il ne lui manquait qu'une de ses divisions, et il était déjà prêt à lancer l'attaque...
Pourtant, pendant ce temps, ce même conseiller préparait activement la guerre. A l'insu même de son maitre - eh, c'était bien lui qui le lui avait demandé! Il s'apprêtait à répandre la sainte foi et à renvahir les Balkans pour rendre sa gloire passée à la Turquie. Tout allait dans son sens : l'Europe était sens dessus dessous, mais Shinyrio voyait clair dans le jeu de ses adversaires. Il connaissait très bien tous les pays Européens et leurs conseillers, et était parfaitement capable de prédire tous leurs coups à la perfection. Cette guerre, il allait la remporter, il le savait très bien. Il était le meilleur stratège européen, après tout! Seul son vrai souverain l'agaçait. VifArgent ne connaissait rien des théories du jeu, et ce qu'il préférait faire, c'était dormir. Quel acte ennuyeux... Mais soit. Shinyrio était prêt à le supporter, il avait besoin de son appui pour garder le peuple avec lui. Il ne lui manquait qu'une de ses divisions, et il était déjà prêt à lancer l'attaque...
Spoiler :
Jintei a l'Autriche-Hongrie
Iceblaze a l'Italie
Di'mort a l'Allemagne
Skychild a l'Angleterre
Zellan a la Russie
Torti a la France
Vifargent a la Turquie.
Iceblaze a l'Italie
Di'mort a l'Allemagne
Skychild a l'Angleterre
Zellan a la Russie
Torti a la France
Vifargent a la Turquie.