Essais aux fanfics

[dragibus]

Pas mal comme début, on a envie de connaître la suite...
L'idée est originale !
Revois quand même l'orthographe, il reste encore des fautes (mais je n'ai plus le courage de te les signaler ce soir )
Fais aussi attention aux répétitions, elles alourdissent le texte.
Avis positif : tu peux continuer

[tipo12]

J'adore!! vivement la suite!

[Roxas-le-Corbeau]

Je met en spoil ma fic, ça peut être long pour un premier chapitre... (si c'est trop long, je couperais en partie)

Spoiler :

La lumière silencieuse du phare éclaira lentement la mer, lumière scintillante dans l'immensité obscure de la grande mer qui frappe les rives de toutes ses forces, comme pour déplacer la terre. Silencieusement une barque accoste sur la plage, elle vient de la ligue, a traversé vent et marée pour arriver sur le sable fin des berges de Rivamar. Un homme sortit de la barque de bois, Ses long cheveux accueillirent le vent de la mer. Ses yeux étincelais a la lueur de faibles étoiles. Il semblait porter sur ses bras un enfant, endormit, mal en point. D'autre Hommes descendirent sur la plage, ils venaient de la terre, une capuche cachant leur visage. L'homme au cheveux long soupira :
- "Je ne vous le donnerais pas"
Un des encapuchonné s'avança, sa voix froide et dure était celle d'une femme
- "Ne fait pas de manière Auron, où comptes-tu fuir a présent ? Même tes amis du conseil des quatres n'ont rien put faire contre lui !
Un forme sortit de l'ombre, apparut un Arcanin étrange : plus semblable au lion qu'au chien, des cornes sortaient de sa tête, couverte d'un sang étrangement doré. Le dénommé Auron tournât le regard
- "Vous êtes des monstres ! ... Flaymbo... Mon Arcanin..."
La femme coupa court au ton désespéré d'Auron
- "Ne pleurniche pas ! La manipulation génétique a rendu ton Flaymbo plus puissant... maintenant... l'enfant !"
Auron regarda l'Arcanin avant de reporter son attention en arrière, sur la mer. Il prit l'enfant dans un bras, dégageant l'autre qui se découvrit recouvert de flamme vermeille
"Allez au diable !"
Dans une explosion de flamme, l'on entendit un grand plouf. Quand la fumée se dissipa, le sable était devenu du verre et Auron une statue. L'enfant... avait disparut...

Sinnoh a bien changé depuis Diamant et Perle. Les champions d'arènes, même les plus jeune, on du laissé la place a d'autre dresseur pour les succédés. Entre temps, une étrange organisation commençait de bien drôles expériences : des modifications génétiques sur les pokémons. Cette organisation connu sous le nom de : "Tisseur de vie" se répandit dans le monde entier. Toute les villes, même les plus isolées avaient des comptes a leur rendre. Il instaurèrent un ordre tyrannique où seul les tisseurs étaient préservé, les autres étaient en reste. "Tisseur de vie" laissa tout de même la possibilité au Sinnohsien d'être champion d'arène et même membre du conseil des quatre. Les dresseurs pouvaient toujours voyagé mais devais au préalable envoyé un formulaire attestant qu'a partir de ce jour il serait des dresseurs et ne serait plus reconnu comme citoyen d'une quelconque ville mais bien comme des "vagabonds" sans foyer, ni conjoint. Une fois devenu Dresseur, on le restait a vie. Ce qui fit grandement juté le nombre de dresseur dans tout Sinnoh. Certain assez fou tentait de prendre racine dans une ville mais c'est a ce moment qu'ils comprennaient que "Tisseur de vie" les surveillaient qui qu'ils soient... Pour ce qui est du but premier de cette organisation, la modification génétique des pokémons, leur espoir se concrétise et bientôt naîtra les nouvelles armes destructrice : La faune locale génétiquement modifier ! "Tisseur de vie" veut non seulement contrôlé tout Sinnoh mais aussi tout les autres pays !
Une seule personne depuis a tenté de se dresser sur leur chemin, l'on ne connait pas son nom, on n'a oublié qu'il y est mais sa statue de verre est toujours resté sur la plage où on l'a trouvé cette nuit, il y a 16 ans...

(finalement... j'ai coupé le chapitre ")

[dragibus]

L'idée est intéressante, mais c'est surtout la construction qui me plaît bien, avec la première partie qui est la fin d'une aventure, la deuxième qui est un saut dans le temps et la chute qui donne l'explication finale.

Tel quel, ça peut faire un bon one-shot, mais pas une fic complète de plusieurs chapitres. Tu peux développer un peu plus en expliquant ce qu'est devenu l'enfant et qui était cet homme.

Le style est bon : ta façon de raconter est vivante, efficace ; tu as varié la construction des phrases (ce qui change de l'ennuyeux schéma S+V+Complément) ; les descriptions de la première partie sont détaillées et contribuent à donner l'ambiance du texte.

Tu as su varier ton vocabulaire, il n'y a pas de répétitions choquantes : c'est rare !

En revanche, ta deuxième partie n'est pas assez vivante à mon goût, trop impersonnelle. Elle ressemble trop à un cours d'Histoire. C'est peut-être un choix de ta part pour contraster avec le début, mais j'ai moins accroché.
Tu peux l'aérer avec des paragraphes, y ajouter des descriptions, éventuellement des dialogues.

Encore deux remarques :
- beaucoup trop de fautes d'orthographe ! Ta fic ne sera pas validée par le comité de lecture si tu ne les corriges pas.
- des problèmes avec les temps : tu sautes du passé simple au présent dans la première partie ("la lumière...éclaira la mer... Une barque accoste sur la plage") et du passé composé à l'imparfait/passé simple dans la deuxième ("Sinnoh a bien changé...Une étrange organisation commençait..."), puis à nouveau du passé simple au présent, et encore au passé composé...

Petit rappel :
Un récit s'écrit généralement au passé, en utilisant le passé simple pour les "actions" et l'imparfait pour les "descriptions" (je schématise).
Dans les dialogues, on emploie les autres temps, selon les besoins.
On peut dans certains cas particuliers utiliser le présent de narration, (pour un récit intérieur, un effet de style ) mais c'est assez délicat à gérer...

N'abandonne surtout pas ce texte, retravaille-le un peu et il sera très bon !

[Roxas-le-Corbeau]

L'idée est intéressante, mais c'est surtout la construction qui me plaît bien, avec la première partie qui est la fin d'une aventure, la deuxième qui est un saut dans le temps et la chute qui donne l'explication finale.

Tel quel, ça peut faire un bon one-shot, mais pas une fic complète de plusieurs chapitres. Tu peux développer un peu plus en expliquant ce qu'est devenu l'enfant et qui était cet homme.

----> c'est prévus dans la suite du chapitre un, comme c'était déjà bien pour un premier post j'ai coupé avant qu'on le sache.

Le style est bon : ta façon de raconter est vivante, efficace ; tu as varié la construction des phrases (ce qui change de l'ennuyeux schéma S+V+Complément) ; les descriptions de la première partie sont détaillées et contribuent à donner l'ambiance du texte.

Tu as su varier ton vocabulaire, il n'y a pas de répétitions choquantes : c'est rare !

----> Merci

En revanche, ta deuxième partie n'est pas assez vivante à mon goût, trop impersonnelle. Elle ressemble trop à un cours d'Histoire. C'est peut-être un choix de ta part pour contraster avec le début, mais j'ai moins accroché.
Tu peux l'aérer avec des paragraphes, y ajouter des descriptions, éventuellement des dialogues.

-----> J'avais l'idée d'un discourt fait par un chef d'une cellule de rébellion, penses-tu que ce serait plus percutant ainsi ?

Encore deux remarques :
- beaucoup trop de fautes d'orthographe ! Ta fic ne sera pas validée par le comité de lecture si tu ne les corriges pas.

-----> C'est un problème... je trouverais un relecteur

- des problèmes avec les temps : tu sautes du passé simple au présent dans la première partie ("la lumière...éclaira la mer... Une barque accoste sur la plage") et du passé composé à l'imparfait/passé simple dans la deuxième ("Sinnoh a bien changé...Une étrange organisation commençait..."), puis à nouveau du passé simple au présent, et encore au passé composé...

------> Arf, je savais que j'allais avoir un problème avec la conjugaison... je suis bonne pour ressortir mon Bescherelle

Petit rappel :
Un récit s'écrit généralement au passé, en utilisant le passé simple pour les "actions" et l'imparfait pour les "descriptions" (je schématise).
Dans les dialogues, on emploie les autres temps, selon les besoins.
On peut dans certains cas particuliers utiliser le présent de narration, (pour un récit intérieur, un effet de style ) mais c'est assez délicat à gérer...

N'abandonne surtout pas ce texte, retravaille-le un peu et il sera très bon !

-------> Je prends note ! Merci

[dragibus]

J'avais l'idée d'un discourt fait par un chef d'une cellule de rébellion, penses-tu que ce serait plus percutant ainsi ?

C'est aussi une bonne idée... Tu pourrais peut-être faire un mélange des deux ? De la narration entrecoupée d'extraits de discours, de tracts électoraux, de lois, d'articles de journaux... Bref, tout ce qui peut faire comprendre au lecteur que Sinnoh est désormais une "dictature".

je suis bonne pour ressortir mon Bescherelle

Le Bescherelle, c'est bien pour trouver l'orthographe d'un verbe, mais il ne te servira à rien si tu ne sais pas à quel temps le conjuguer... Harmonise les temps de ton texte : n'utilise que le tandem passé simple/imparfait pour la narration. (Pour les dialogues, c'est différent.)

je trouverais un relecteur

Essaie de trouver le maximum de fautes par toi-même et, si tu veux, je te corrigerai le reste (par MP) pour que tu puisses poster ta fic dans l'espace membre.

[Matouminou]

Ces lignes ils ne les lirons pas,
Ces mots qui viennent du fond de mon coeur,
jamais ma bouche ne les prononcera,
les souvenirs de notre bonheur passé
sont devenu une tristesse qui ne fait que me hanter.

Tout était merveilleux
on s'entendait pour le mieux
malheureusement un obstacle se presenta
est ce que notre amitié y résistera ?

Je reste seul a sur l'ilot de mon espoir,
Au milieu d'une mer de cauchemard.
J'espère malgré toute cette adversité
qu'on ne soit pas séparés .

A mes amis qui ne liront jamais ces mots
sachez que même si vous m'oubliez seul dans mon coin
jamais je ne vous en voudrai de m'avoir fait mal à ce point
même si votre amitié ne me tiendra plus chaud .


Ceci est tiré de mes sentiments actuels mais mis en formes j'espère que c'est pas trop nul .

[Elerinna]

Je viens de lire ton poème et je le trouve superbe. Déjà que ce n'est en aucun cas facile d'écrire un poème (j'en suis incapable ) , il exprime ce que tu ressens au fond de toi. J'aime ta façon de t'exprimer. Tout cela pour dire que ton poème est tout à fait réussi et qu'il n'est guère "nul".

[Elerinna]

J'en profite aussi pour présenter le tout nouveau prologue de ma fanfic. J'espère de tout coeur que vous en apprécierez la lecture. Je voudrais avoir quelques avis avant de pouvoir la reposter :


Le monde inversé ; un monde sombre et froid. Un univers en ruine et sans ordre. La conséquence de la colère de son empereur ; Giratina. Un pokémon dont on ne connaît les origines, dont la cruauté ne trouve nul pareil dans aucune autre dimension connue. Celui-ci pouvait voyager à sa guise dans n’importe lesquelles de ces terres séparées. Mais sa venue était toujours synonyme de destruction, de désespoir, de mort,…

Les vestiges d’un monde autrefois si prospère composait son empire. C’était le monde des Vélanes, des êtres extraordinaires d’une puissance incomparable. Le dragon ténébreux les avaient tous tués impitoyablement car il savait pertinemment que cette espèce pouvait le renverser. Il les avait torturés, privés d’air, détruit tout espoir de vie sur leur monde qu’ils chérissaient tant. Il prenait un plaisir fou de dévaster la vie petit à petit jusqu’à l’agonie du peuple. Il croyait les avoir tous massacrés mais il restait une SEULE survivante, sauvée de la catastrophe par ses parents. Voici le récit de l’échappée de cette jeune Vélane qui deviendra, une fois dans le monde des pokémons, l’un des deux derniers obstacles contre lui, le mal incarné.

La dernière Vélane.

Adwilalle était couchée sur un somptueux tapis de fleurs jaunes éclatantes. La brise venait lui caresser son visage pâle et légèrement arrondi. Ses cheveux, d’une clarté dorée se confondaient dans les fleurs. Elle adorait se prélasser dans la nature des heures durant et contempler l’immensité du ciel de ses yeux mauves clairs. Adwilalle était quelqu’un de généreux et doté d’une grande intelligence. Elle restait la plupart du temps calme mais il lui était possible d’entrer dans des accès de rage fulgurante ou d’oublier certaines petites choses de la vie quotidienne.

Mais cependant, quelque chose vint troubler sa quiétude. Elle sentait que l’atmosphère s’était alourdie d’un coup. La jeune Vélane se releva et scruta les environs. Le champ était bien trop calme. Les oiseaux s’étaient envolés et les animaux s’en étaient allés s’abriter dans le couvert des arbres. Elle leva la tête vers le ciel qui était d’un magnifique bleu azur. Elle plissa les yeux et se rendit compte que la voûte céleste se déchirait petit à petit. Elle entendit des bruits de tonnerre, le vent s’intensifia, les nuages vinrent se répandre autour de la « plaie ». Elle retint un cri de terreur lorsqu’elle vit que quelque chose était en train de sortir de la blessure noire et béante et que le bleu azur du ciel était englouti par une teinte rouge sang comme s’il saignait. Tandis qu’elle regardait sans bouger cette vision, elle entendit une voix dans sa tête. C’était celle de sa mère qui lui demandait de revenir à la maison. Mais elle était teintée d’angoisse. La jeune fille se téléporta immédiatement et se retrouva devant son foyer. A présent, le bleu du ciel était azuré de sombres bandes rouges. Elle était horrifiée devant ce paysage inquiétant. Elle était au bord de la crise de panique, elle tremblait, regardait de toute part quand soudain, une fulgurante secousse la fit tomber. « MAMAN, cria-t-elle, PAPA ! OU ETES – VOUS ?!
- Par ici, ma chérie, lui répondit son père par télépathie. »


Elle se retourna vers la source de la voix et vit ses parents se précipiter vers elle en lévitant. « Dieu merci, tu es vivante, dit sa mère en serrant sa fille dans ses bras.
- Qu’est-ce qu’il se passe ? demanda-t-elle, en larmes, Pourquoi est-ce que tout autour de nous est en train de se désagréger? Notre monde est-il sur le point de… disparaître ?
- Je le crains, répondit son père en baissant la tête.
- Non ! Ce n’est… c’est impossible ! Pourquoi ? Serait-ce des créatures jalouses de nous ?
- Nous n’avons plus le temps de parler, mon ange, murmura-t-il, tu dois fuir, fuir notre monde. Tu es, j’en ai peur, la Vélane de la fameuse prophétie.
- Hein ?! Quelle prophétie ? Et pourquoi devons-nous fuir ?
- Tu le sauras bien plus tard. Mais tu dois partir … sans nous.
- QUOI ?! MAIS…
- Ne proteste pas, l’interrompit son père, c’est pour ta vie que nous le faisons. »

Il tourna le dos à sa fille et se concentra. Le sol trembla de plus belle, faisant vaciller le père. Il tint bon et accomplit un exploit que seules les plus puissantes Vélanes étaient capables de faire ; ouvrir un passage vers une autre dimension ! Il cria à sa femme de venir avec sa fille. Elle se dirigea vivement vers le trou qui ressemblait étrangement à la fissure qu’elle avait vue quelques minutes auparavant. Sa mère la lâcha et la fit léviter au-dessus du trou. Adwilalle tenta de résister, elle se débattit, utilisa ses pouvoirs mais rien n’y fit. Sa force mentale n’était pas encore de taille à lutter contre celle de sa mère. Ses yeux se perlèrent de petites larmes qui vinrent couler le long de son visage d’enfant. Sa mère vint lui caresser la joue.

« Nous sommes vraiment désolés de te faire ça, lui chuchota celle-ci doucement, mais il le faut. Nous allons mourir, notre espèce va s’éteindre, notre monde va disparaître. Tu es très puissante, ma chérie. Je le sais, tu vas accomplir de très grandes choses. Surtout, mon cœur, n’oublie pas que nous t’aimons de tout notre cœur. »

Elle embrassa sa fille sur la joue mais un cri à vous glacer le sang surgit d’un coup des ténèbres qui s’étaient incrustées autour de la petite famille. Elle se retourna et se prépara à l’attaque, son père également. Le trou se refermait lentement, la pauvre adolescente flottait dans le vide et regardait ses parents préparant déjà leurs attaques. La dernière chose qu’elle vit fut une silhouette noire d’ébène accompagnée d’une horde de créatures à ses côtés, fonçant vers ses parents. Elle se retrouva ainsi, flottant dans la noirceur et le froid. Déjà, l’étau de la peur se referma sur elle. Elle eût envie de crier mais il ne sortit de sa gorge aucun son. Elle sentit que sa flottaison n’allait plus durer. Au bout de quelques secondes, elle tomba, avalée par le gouffre sans fin. Elle ne savait où allait-elle déboucher. Elle ferma les yeux et se laissa emporter dans le tourbillon de froideur et d’humidité, semblable au gosier d’une créature qui l’aurait avalée entière.

[N€ar]

Alors, personnellement, je tr'ouve que c'est assez sympa au niveau de la lecture, avec un petit effet théatrâle dont il ne faut tout de même pas abuser.
Par contre, au début, on parle de Adwillale, puis d'alexandra, donc je comprend pas trop. De plus, les adjectifs d'alexandra sont au masculin, alors je pense qu'il faut revoir.
Sinon, perso j'aime bien.


HS total avec le commentaire ci-dessus: Je voudrais présenter un premier chapitre de ce qui pourrait être le premier chapitre d'une fic (qui selont mes plans actuels serait assez longue) que je souhaiterais poster. Je voudrais cependant avoir un avis là dessus avant de la proposer.

Spoiler :

Vergazon.
Les premiers rayons du soleil se montraient lorsqu'un bus s'arrêta devant un énorme bâtiment de briques rouges entouré par un grillage peu épais. Des fleurs jonchaient le sol autour du bâtiment.
Un homme qui devait avoir dans les 16 ans sortit du bus, un sac de voyage à la main. Son regard se dirigea vers une énorme plaque de cuivre clouée au bâtiment qui disait " Internat Gazon vert. Étudiez en harmonie avec la nature"
Le jeune homme soupira, puis se dirigea vers l'internat et poussa la porte. Inspectant l'intérieur, il repéra rapidement le secrétariat au milieu d'un décors datant du siècle dernier.
Il avança vers le secrétariat, et entra sans frapper. Un homme obèse portant le bouc s'y trouvait, fouillant dans une montagne de paperasse.
Le jeune homme se plaça devant lui sans prononcer mot, et attendit.
Le secrétaire lui jeta un regard en coin et dit:

"Vous êtes?
-William Turner"

L'obèse fut légèrement décontenancé par la neutralité du ton du jeune homme, mais continua

"Quel est la raison de votre visite?
-Je viens voir le directeur. Je vais m'installer ici.
-Vous montez le grand escalier en face, et vous prenez à droite. C'est la grande porte, fit le secrétaire"

Le jeune homme s'en retourna sans dire un mot alors que l'obèse ruminait intérieurement: "Encore un cas..."

William se dirigea donc vers un grand escalier fait de briques rouges, tout comme le reste de l'entrée. De vieux tableaux représentants d'anciens rois et maîtres de ligue ornaient les murs, et d'anciens meubles étaient placés ça et là pour couvrir les faiblesses de l'édifice.
Le jeune garçon continua de marcher jusqu'à une grande porte de bois marron. Il y entra, et s'avança rapidement dans la pièce qui était assez grande, mais qui, contrairement au Hall et à l'extérieur de l'internat, avait l'air assez récente, puisque les murs étaient blancs et le sol recouvert de moquette.
Le vieil homme qui trônait derrière le bureau était assez petit, avait des sourcils broussailleux, et accessoirement, avait du être bouledogue dans une autre vie.
Il regarda longuement William, puis pris la parole, tout en s'emparant d'un dossier peu chargé.

"Bonjour jeune homme, fit le directeur, vous êtes venus pour connaitre les détails de votre inscription ici, je me trompe?
-Non
-Parfait. Vous êtes donc... William Turner, 17 ans. Parents morts, a vécu en orphelinat pendant près de la moitié de sa vie... C'est très réjouissant.
-Non
-Certes... Bon, selon votre dossier, un oncle payera votre inscription, c'est bien ça?"

Le vieil homme pris le silence de William pour un approbation, et replongea dans le dossier du jeune homme

"Bon, étant donné que votre dossier a déjà été entièrement rempli par votre oncle, je ne vois aucune raison vous empêchant de venir étudier ici. Je tiens cependant à vous prévenir. Je ne veux pas de violence dans mon établissement, c'est bien compris?
-Oui
-Bien. Vous êtes dans la chambre le colocataire de Matthew Smith. Cherchez un surveillant, et demandez-lui de vous accompagner jusqu'à votre chambre et de vous expliquer comment marche l'internat. Ils déambulent un peu partout dans les couloirs.
-D'accord
-Et bienvenu à Gazon vert"

William se retourna sans un mot, et sortit du bureau. Il déambula ensuite dans un enchevêtrement de couloirs et de portes, jusqu'à se trouver nez-à-nez avec un grand homme aux courts cheveux noirs qui le dévisagea.

"Qui t'es?
-William Turner, nouvellement inscrit dans cet établissement. Le directeur m'a demandé de chercher un surveillant pour aller jusqu'à ma chambre
-Ah, ben t'en a trouvé un, fit le surveillant, légèrement déstabilisé par la neutralité du ton du jeune homme. T'es dans quelle chambre?
-Je suis le colocataire de Matthew Smith 
-Et merde..."

L'homme soupira profondément.

"Et merde... Bon, suis moi, fit-il en se dirigeant vers une intersection
-Oui.
-Est-ce qu'on t'as dis comment marchait les chambres?
-Non
-Okay. Vu ta chambre, c'est pas vraiment étonnant. Bon, les chambres sont doubles. Y'a des lits superposés, un lavabo et une douche. Et deux commodes. Interdiction de sortir de sa chambre après 10 heures du soir. Remarques, avec ton coloc', je pense qu'il y aura peut-être exeption..."

Le surveillant s'arrêta enfin devant une porte avec une feuille marquée Matthew Smith dessus, ainsi que plusieurs autres noms barrés à la va-vite. L'homme sortit un stylo de sa poche, et marqua le nom William Turner sous les ratures.

"Voilà, je te laisse t'installer et faire connaissance. Au fait, moi c'est Georges. Au revoir... si possible"

Et il s'en alla, laissant William seul devant son nouveau logis. Le jeune homme ouvrit la porte, entra, et... fut accueillit avec une pluie de cotillons colorés.
Un jeune homme avec des cheveux noirs mi-courts et de profondes cernes qui devait avoir son âge se tenait devant lui.

"Biennnnveeeenuuuuu cher camarade! s'écria-t-il. Alors, ça boum? moi c'est Matthew, mais appelle moi Matt s'il-te-plaît. C'est cool d'avoir quelqu'un, ça faisait longtemps, tous les autres ont été mis dans d'autres chambre, c'est triste. Bon, alors, le lit du haut, c'est le mien, okay? Je sais, ça fais bizarre cet attachement au lit du haut, mais bon, que veux tu, y'a des trucs comme ça, c'est comme un instinct, enfin bref, voilà quoi. Au fait, c'est quoi ton nom?
-William Turner
-William? Ah, cool. M'enfin, c'est quand même un peu long je trouve, dit Matt en sautant sur son lit, allez, j'vais t'appeler Will. Ça te va? Ouais? Ouais, cool, c'est bien, si ça t'avais pas plu, ç'aurait eu aucun sens. Sinon, ça va?
-Hmm, fit Will qui avait posé son sac par terre et était entrain d'en sortir un livre.
-Tant mieux, c'est toujours cool de bien aller, au fait, c'est quoi ce bouquin? Il a l'air vachement bien, je peux le voir dis? Tiens, y'a ni dessin ni titre, c'est triste, nan, mais bon, peut-être que le mec voulait pas être connu qui sait, donc ça cause de quoi?
-Hmm...
-Mais c'est passionnant dis-donc, dit Matt, soudainement moins motivé. Et donc?
-Ouais
-Euh... Bon, okay, puisque t'as pas l'air super causant, on va voir tes pokémons, s'écria soudainement l'adolescent, je te parie que je suis capable de tout connaître de toi rien qu'à partir de tes petits chéris, tu vas voir, c'est comme un d...
Il ne dit rien de plus car il se retrouva plaqué à terre, les deux mains dans le dos liées par celles de Will.

"Tu ne touches pas à ça, dit-t-il froidement tout en tordant les bras de Matthew
-Okay, okay, reste zen, geignit Matt, j'arrête de toucher à tes boules!
-Bien."

Will ramassa ses pokéballs, les mit dans ses poches, et retourna lire comme si rien ne s'était passé.
Matt, lui, se dégourdit un peu les bras, puis ouvrit la porte, et... s'empara du bras du nouvel arrivant avant le le tirer, puis de le trainer à travers les couloirs.

"T'en fais pas, dit Matt, je t'emmène juste voir des copains"

Le trainé ne répondit rien, s'efforçant de continuer de lire son livre. Il ne dit rien non plus lorsqu'il remarqua qu'une de ses pokéballs était tombé de sa poche et s'était ouverte. Il n'avait pas eu le temps de voir qui en sortait que déjà son nouvel "ami" le trainait dans un nouveau couloir.
Au bout de quelques minutes, Matthew s'arrêta devant une porte à la feuille déchirée. Il remit William sur pied, et toqua frénétiquement la porte.
Un jeune homme du même âge que les deux adolescents se tenait devant eux. Derrière lui, trois autres adolescents à l'air peu commode jouaient au poker en fumant des cigarettes.
Tous avaient un tatouage noir d'Arcanin sur la joue droite

"Tiens, mais c'est mon grand ami Matthew, fit l'adolescent qui leur avait ouvert. Alors, tu viens gentiment me rendre l'argent que je t'ai prêté?
-Salut Bruno, beau temps, hein? Ah, au fait, je trouve que vos décalcomanies à toi et à tes copains sont très réussies, faudra que vous me disiez quel marque de chewing-gum vous achetez. Par contre, je suis vraiment désolé, mais j'ai pas l'argent, mais par contre, j'ai mon très cher ami William, s'écria-t-il en désignant son compagnon. Je suis sur que vous pourrez vous arranger ensembles, pas vrai? Bon, désolé, mais moi faut que je file, tu sais ce que c'est, pas vrai? Bon, ben à plus!"

Et il pris ses jambes à son cou, laissant Will seul avec quatre adolescents assez énervés. Le Will en question n'en semblait pas vraiment peiné, et continuait de lire son livre.
Bruno s'avança vers lui d'un air menaçant.

"Alors, toi, je suppose que t'as pas mon fric...
-Hmm...
-Mais c'est pas grave, je suis sûr que tu me remboursera très bien en tant que punching-ball, pas vrai?
-Hmm...
-T'es masochiste où quoi?
-Hmm...
-Espèce d'enfoiré..."

Il lança son poing en avant, quand, juste avant qu'il n'atteigne le visage de Will il entendit:

"Ne leur casse rien"

l'adolescent eut à peine le temps de comprendre le sens des paroles de William que son poing avait déjà atteint sa cible... Et que la cible en question tournait une page. A ses pieds, Bruno hurlait de douleur, les phalanges tordues en quatre.
Will poussa un soupir exaspéré

"Tu ne sais vraiment pas te contenir..."

Les paroles n'étaient pas destinées au chef de bande, mais c'est ainsi que l'interprétèrent ses trois compagnons qui se retrouvèrent tous avec leur bras droit déboité après avoir tenté de frapper le jeune homme.

"Essayez de les remettre dans le bon sens, au bout de quelques heures, la douleur aura disparut. Ou pas."

Les quatre corps se virent soudain jetés dans la chambre, et la porte se ferma violemment.
Will, quant à lui, reparti tranquillement vers sa chambre, le nez plongé dans son livre. Au passage, il ramassa une pokéball et soupira

"Essaye de te contrôler la prochaine fois..."

Il la rangea dans sa poche, puis reparti.

Quelques heures plus tard, une femme de ménage retrouva 4 adolescent dans un triste état. Ils furent envoyés à l'hôpital du coin, et leurs seuls mots furent:

"On veut rentrer chez nous!"

Ils ne voulurent pas en dire plus, il n'y eut donc pas de suite à l'évènement.

[VLCMédia]

Mouais, c'est pas mauvais mais un peu confus quand même je trouve.

[Elerinna]

Ce sont des fautes d'inattention, excusez-moi, je ne suis pas très attentive quand j'écris. C'est assez ennuyeux --'. Je vais encore voir les erreurs qui reste à corriger.

[King-of-Ice]

Helloù tout le monde !

Alors je vous montre un essai de Fanfic :

Chapitre 1 :

I. Dans les sous-sols de la ville gelée.

Encore ...
Encore une nuit dans la peur ...
Encore une nuit sombre . Une nuit hantée par les démons ...

Les trois grands Pokemons lévitaient vers la statue de Regigigas , Dieu des Elements incompris.

Doucement , mais surement , Ils glissaient dans les sous-sols glacés de Frimapic . Quand soudain , la grande Statue apparut devant le trio Pokemon .

Crehelf fut le premier a arriver devant . Il était le plus sage , mais aussi le plus agile des trois.

Une fois arrivés , les trois Pokemons se placerent autour de la grande , que dis-je , de la statue Geante .

Soudain , des sons harmonieux et étrangement aigus sortirent de la bouche des trois Pokemons .

Une fissure ...
Puis une dizaine de fissures se découvrirent sur la cage glacée du geant .
Bientot , le Pokemon fut libéré .

Puis silence ...
Plus rien ...
Le géant ne bougeait pas et le trio prenaient un air interloqué .Les Dieux leurs avaient pourtant affirmés que Regigigas se reveillerait .

En l'espace de quelques secondes , trois coups se firent entendrent avant de voir les billes frontales du grand Pokemon s'allumer .

Un pas ...
Deux pas ...
Un cri a faire froid dans le dos ...

Le géant était réveillé .

"- Que me vaut l'honneur de recevoir les 3 Pokemons des Lacs de Sinnoh ? "

Crehelf s'avança .

" - Regigigas ... Nous avons besoins de ton aide ... " souffla le Pokemon .

Puis Crefadet virevolta et annonça :

"- Les Dieux nous ont envoyés te chercher ... " .

Et enfin , Crefollet tournoya en l'air avant d'atterir aux pieds du géant .
Le vol du Pokemon avait laissé derrière lui une longue trainée etoilée .

Il ouvrit la bouche mais fut coupé par la grosse voix de Regigigas :

"- Les Dieux ? .. Que me veulent-ils ? ... "

Cette fois , Crefollet reprit la parole :

"- Les Dieux t'appellent , tout comme ils ont appelés nos Confreres , venus de tout les continents : Kanto , Johto , Hoenn et , comme tu peux le voir , Sinnoh .
Il y a en ce moment meme un complot qui se trame dans notre univers mythologique ... Viens avec nous ...Lugia t'en diras plus . "

A ces mots , les billes frontales du geant clignotèrent .

"- C'est d'accord ... Je vous suis ... "

"-Tend ta main devant toi , s'il te plait . Nous allons nous téléportés . " , déclara Crehelf .

Dans un crissement , son bras s'allongea vers le trio .

Une patte ...
Deux pattes ...
Et une troisième se posèrent sur l'avant-bras du geant .

Un éclair ...
Puis , plus rien ...
Plus un bruit ...

L'obscurité retomba sur la pièce ...
Les Spectres Ressortirent ...

Parmis eux , une ombre plus noire que les autres sortit de la pénombre ...

Deux grand yeux rouges ...
Une crete blanche qui vole juste au dessus .

Il fit entendre involontairement un soupir et , dans une fumée épaisse et noire , se volatilisa .

Cette fois , le silence était complet .
Plus aucune vie , Plus aucun bruits ...

Si Quelqu'un veut bien me dire ce qui va et ce qui ne vas pas !

Merci !

K-O-I

[VLCMédia]

Les fautes d'orthographes (très peu je te rassure).

[bilkev]

Bonjour je suis un peu timide et donc seul ceux que j'ai mp ou qui me connaissent sur d'autres forum me connaissent bref je poste une fic d'un jeu qui n'est pas le mien voici le prologue :

Spoiler :

::Pokémon Academy Adventure::.
.::Prologue comme mon héros !::.
L'histoire commence dans le paisible bourg de Bourg-Palette, dans lequel le héros connu de tous les villageois, Red est revenu de son long périple sur des îles inconnues accompagné du professeur Chen.

Mais celui-ci parti vite avec son PIKACHU à l'aventure des badges, mais restons un instant dans ce bourg qui vit naître et partir tant de champions du dressage tel que Blue et qui compte dans ces habitants un imminent professeur le seul et l'unique Chen !

Mais, une question reste encore à résoudre :
Où étaient Red et Chen pendant ces trois ?

Et bien à son retour un enfant plus curieux que les autres qui étaient connus pour être un des amis de Red et lui demanda de répondre à ces questions :

"Où étais-tu Red pendant ces trois ?

-Dans un endroit tenu secret.

-Pourrais-tu m'en dire plus je voudrais être comme toi !

-J'étais à la Pokémon Academy ! Et un jour tu iras aussi, car le professeur Chen a mis une postulation pour ta candidature.

-La Poké-Pokémon Acdemy !

-Oui et tu seras tout un jour où une lettre te sera envoyé ne t'inquiète pas."

La discussion ce termina sous la pluie et toutes les nuits notre jeune Maxime rêvait de cette académie sur cette île secrète.

Red avait apporté de son stage un livre dans lequel il écrivait ces cours ainsi que les éléments qui l'entouraient. Il disait que cette grande région comportait plusieurs petites îles et chacune avaient ses fonctionnalités ainsi que ces possibilités de rencontrer des dresseur tous aussi différents que les autres.

Alors qu'il n'espérait plus et que Red avait déjà gagné quelques victoires et était revenu se reposer de toutes ces aventures notre jeune héros aller le voir tous les jours, pour lui demander de ces nouvelles et quand pense-t-il que la lettre arriverez, mais à chaque fois celui-ci lui répondait :

"Quand le moment sera venu."

Mais cela ne suffisait pas pour notre petit Maxime qui pensait que tout n'était que pure invention.

Bonne lectue même si ce n'est pas finit.

[N€ar]

juste une chose: bourré de fautes d'innatention ("à la poké-pokémon acdemy?" par exemple). Relis toi

Sinon, j'aimerais bien un avis constructif pour mon propre essaie!
je le remet (pas taper)

Spoiler :

Vergazon.
Les premiers rayons du soleil se montraient lorsqu'un bus s'arrêta devant un énorme bâtiment de briques rouges entouré par un grillage peu épais. Des fleurs jonchaient le sol autour du bâtiment.
Un homme qui devait avoir dans les 16 ans sortit du bus, un sac de voyage à la main. Son regard se dirigea vers une énorme plaque de cuivre clouée au bâtiment qui disait " Internat Gazon vert. Étudiez en harmonie avec la nature"
Le jeune homme soupira, puis se dirigea vers l'internat et poussa la porte. Inspectant l'intérieur, il repéra rapidement le secrétariat au milieu d'un décors datant du siècle dernier.
Il avança vers le secrétariat, et entra sans frapper. Un homme obèse portant le bouc s'y trouvait, fouillant dans une montagne de paperasse.
Le jeune homme se plaça devant lui sans prononcer mot, et attendit.
Le secrétaire lui jeta un regard en coin et dit:

"Vous êtes?
-William Turner"

L'obèse fut légèrement décontenancé par la neutralité du ton du jeune homme, mais continua

"Quel est la raison de votre visite?
-Je viens voir le directeur. Je vais m'installer ici.
-Vous montez le grand escalier en face, et vous prenez à droite. C'est la grande porte, fit le secrétaire"

Le jeune homme s'en retourna sans dire un mot alors que l'obèse ruminait intérieurement: "Encore un cas..."

William se dirigea donc vers un grand escalier fait de briques rouges, tout comme le reste de l'entrée. De vieux tableaux représentants d'anciens rois et maîtres de ligue ornaient les murs, et d'anciens meubles étaient placés ça et là pour couvrir les faiblesses de l'édifice.
Le jeune garçon continua de marcher jusqu'à une grande porte de bois marron. Il y entra, et s'avança rapidement dans la pièce qui était assez grande, mais qui, contrairement au Hall et à l'extérieur de l'internat, avait l'air assez récente, puisque les murs étaient blancs et le sol recouvert de moquette.
Le vieil homme qui trônait derrière le bureau était assez petit, avait des sourcils broussailleux, et accessoirement, avait du être bouledogue dans une autre vie.
Il regarda longuement William, puis pris la parole, tout en s'emparant d'un dossier peu chargé.

"Bonjour jeune homme, fit le directeur, vous êtes venus pour connaitre les détails de votre inscription ici, je me trompe?
-Non
-Parfait. Vous êtes donc... William Turner, 17 ans. Parents morts, a vécu en orphelinat pendant près de la moitié de sa vie... C'est très réjouissant.
-Non
-Certes... Bon, selon votre dossier, un oncle payera votre inscription, c'est bien ça?"

Le vieil homme pris le silence de William pour un approbation, et replongea dans le dossier du jeune homme

"Bon, étant donné que votre dossier a déjà été entièrement rempli par votre oncle, je ne vois aucune raison vous empêchant de venir étudier ici. Je tiens cependant à vous prévenir. Je ne veux pas de violence dans mon établissement, c'est bien compris?
-Oui
-Bien. Vous êtes dans la chambre le colocataire de Matthew Smith. Cherchez un surveillant, et demandez-lui de vous accompagner jusqu'à votre chambre et de vous expliquer comment marche l'internat. Ils déambulent un peu partout dans les couloirs.
-D'accord
-Et bienvenu à Gazon vert"

William se retourna sans un mot, et sortit du bureau. Il déambula ensuite dans un enchevêtrement de couloirs et de portes, jusqu'à se trouver nez-à-nez avec un grand homme aux courts cheveux noirs qui le dévisagea.

"Qui t'es?
-William Turner, nouvellement inscrit dans cet établissement. Le directeur m'a demandé de chercher un surveillant pour aller jusqu'à ma chambre
-Ah, ben t'en a trouvé un, fit le surveillant, légèrement déstabilisé par la neutralité du ton du jeune homme. T'es dans quelle chambre?
-Je suis le colocataire de Matthew Smith
-Et merde..."

L'homme soupira profondément.

"Et merde... Bon, suis moi, fit-il en se dirigeant vers une intersection
-Oui.
-Est-ce qu'on t'as dis comment marchait les chambres?
-Non
-Okay. Vu ta chambre, c'est pas vraiment étonnant. Bon, les chambres sont doubles. Y'a des lits superposés, un lavabo et une douche. Et deux commodes. Interdiction de sortir de sa chambre après 10 heures du soir. Remarques, avec ton coloc', je pense qu'il y aura peut-être exeption..."

Le surveillant s'arrêta enfin devant une porte avec une feuille marquée Matthew Smith dessus, ainsi que plusieurs autres noms barrés à la va-vite. L'homme sortit un stylo de sa poche, et marqua le nom William Turner sous les ratures.

"Voilà, je te laisse t'installer et faire connaissance. Au fait, moi c'est Georges. Au revoir... si possible"

Et il s'en alla, laissant William seul devant son nouveau logis. Le jeune homme ouvrit la porte, entra, et... fut accueillit avec une pluie de cotillons colorés.
Un jeune homme avec des cheveux noirs mi-courts et de profondes cernes qui devait avoir son âge se tenait devant lui.

"Biennnnveeeenuuuuu cher camarade! s'écria-t-il. Alors, ça boum? moi c'est Matthew, mais appelle moi Matt s'il-te-plaît. C'est cool d'avoir quelqu'un, ça faisait longtemps, tous les autres ont été mis dans d'autres chambre, c'est triste. Bon, alors, le lit du haut, c'est le mien, okay? Je sais, ça fais bizarre cet attachement au lit du haut, mais bon, que veux tu, y'a des trucs comme ça, c'est comme un instinct, enfin bref, voilà quoi. Au fait, c'est quoi ton nom?
-William Turner
-William? Ah, cool. M'enfin, c'est quand même un peu long je trouve, dit Matt en sautant sur son lit, allez, j'vais t'appeler Will. Ça te va? Ouais? Ouais, cool, c'est bien, si ça t'avais pas plu, ç'aurait eu aucun sens. Sinon, ça va?
-Hmm, fit Will qui avait posé son sac par terre et était entrain d'en sortir un livre.
-Tant mieux, c'est toujours cool de bien aller, au fait, c'est quoi ce bouquin? Il a l'air vachement bien, je peux le voir dis? Tiens, y'a ni dessin ni titre, c'est triste, nan, mais bon, peut-être que le mec voulait pas être connu qui sait, donc ça cause de quoi?
-Hmm...
-Mais c'est passionnant dis-donc, dit Matt, soudainement moins motivé. Et donc?
-Ouais
-Euh... Bon, okay, puisque t'as pas l'air super causant, on va voir tes pokémons, s'écria soudainement l'adolescent, je te parie que je suis capable de tout connaître de toi rien qu'à partir de tes petits chéris, tu vas voir, c'est comme un d...
Il ne dit rien de plus car il se retrouva plaqué à terre, les deux mains dans le dos liées par celles de Will.

"Tu ne touches pas à ça, dit-t-il froidement tout en tordant les bras de Matthew
-Okay, okay, reste zen, geignit Matt, j'arrête de toucher à tes boules!
-Bien."

Will ramassa ses pokéballs, les mit dans ses poches, et retourna lire comme si rien ne s'était passé.
Matt, lui, se dégourdit un peu les bras, puis ouvrit la porte, et... s'empara du bras du nouvel arrivant avant le le tirer, puis de le trainer à travers les couloirs.

"T'en fais pas, dit Matt, je t'emmène juste voir des copains"

Le trainé ne répondit rien, s'efforçant de continuer de lire son livre. Il ne dit rien non plus lorsqu'il remarqua qu'une de ses pokéballs était tombé de sa poche et s'était ouverte. Il n'avait pas eu le temps de voir qui en sortait que déjà son nouvel "ami" le trainait dans un nouveau couloir.
Au bout de quelques minutes, Matthew s'arrêta devant une porte à la feuille déchirée. Il remit William sur pied, et toqua frénétiquement la porte.
Un jeune homme du même âge que les deux adolescents se tenait devant eux. Derrière lui, trois autres adolescents à l'air peu commode jouaient au poker en fumant des cigarettes.
Tous avaient un tatouage noir d'Arcanin sur la joue droite

"Tiens, mais c'est mon grand ami Matthew, fit l'adolescent qui leur avait ouvert. Alors, tu viens gentiment me rendre l'argent que je t'ai prêté?
-Salut Bruno, beau temps, hein? Ah, au fait, je trouve que vos décalcomanies à toi et à tes copains sont très réussies, faudra que vous me disiez quel marque de chewing-gum vous achetez. Par contre, je suis vraiment désolé, mais j'ai pas l'argent, mais par contre, j'ai mon très cher ami William, s'écria-t-il en désignant son compagnon. Je suis sur que vous pourrez vous arranger ensembles, pas vrai? Bon, désolé, mais moi faut que je file, tu sais ce que c'est, pas vrai? Bon, ben à plus!"

Et il pris ses jambes à son cou, laissant Will seul avec quatre adolescents assez énervés. Le Will en question n'en semblait pas vraiment peiné, et continuait de lire son livre.
Bruno s'avança vers lui d'un air menaçant.

"Alors, toi, je suppose que t'as pas mon fric...
-Hmm...
-Mais c'est pas grave, je suis sûr que tu me remboursera très bien en tant que punching-ball, pas vrai?
-Hmm...
-T'es masochiste où quoi?
-Hmm...
-Espèce d'enfoiré..."

Il lança son poing en avant, quand, juste avant qu'il n'atteigne le visage de Will il entendit:

"Ne leur casse rien"

l'adolescent eut à peine le temps de comprendre le sens des paroles de William que son poing avait déjà atteint sa cible... Et que la cible en question tournait une page. A ses pieds, Bruno hurlait de douleur, les phalanges tordues en quatre.
Will poussa un soupir exaspéré

"Tu ne sais vraiment pas te contenir..."

Les paroles n'étaient pas destinées au chef de bande, mais c'est ainsi que l'interprétèrent ses trois compagnons qui se retrouvèrent tous avec leur bras droit déboité après avoir tenté de frapper le jeune homme.

"Essayez de les remettre dans le bon sens, au bout de quelques heures, la douleur aura disparut. Ou pas."

Les quatre corps se virent soudain jetés dans la chambre, et la porte se ferma violemment.
Will, quant à lui, reparti tranquillement vers sa chambre, le nez plongé dans son livre. Au passage, il ramassa une pokéball et soupira

"Essaye de te contrôler la prochaine fois..."

Il la rangea dans sa poche, puis reparti.

Quelques heures plus tard, une femme de ménage retrouva 4 adolescent dans un triste état. Ils furent envoyés à l'hôpital du coin, et leurs seuls mots furent:

"On veut rentrer chez nous!"

Ils ne voulurent pas en dire plus, il n'y eut donc pas de suite à l'évènement.

[King-of-Ice]

juste une chose: bourré de fautes d'innatention ("à la poké-pokémon acdemy?" par exemple). Relis toi

Sinon, j'aimerais bien un avis constructif pour mon propre essaie!
je le remet (pas taper)

Spoiler :

Vergazon.
Les premiers rayons du soleil se montraient lorsqu'un bus s'arrêta devant un énorme bâtiment de briques rouges entouré par un grillage peu épais. Des fleurs jonchaient le sol autour du bâtiment.
Un homme qui devait avoir dans les 16 ans sortit du bus, un sac de voyage à la main. Son regard se dirigea vers une énorme plaque de cuivre clouée au bâtiment qui disait " Internat Gazon vert. Étudiez en harmonie avec la nature"
Le jeune homme soupira, puis se dirigea vers l'internat et poussa la porte. Inspectant l'intérieur, il repéra rapidement le secrétariat au milieu d'un décors datant du siècle dernier.
Il avança vers le secrétariat, et entra sans frapper. Un homme obèse portant le bouc s'y trouvait, fouillant dans une montagne de paperasse.
Le jeune homme se plaça devant lui sans prononcer mot, et attendit.
Le secrétaire lui jeta un regard en coin et dit:

"Vous êtes?
-William Turner"

L'obèse fut légèrement décontenancé par la neutralité du ton du jeune homme, mais continua

"Quel est la raison de votre visite?
-Je viens voir le directeur. Je vais m'installer ici.
-Vous montez le grand escalier en face, et vous prenez à droite. C'est la grande porte, fit le secrétaire"

Le jeune homme s'en retourna sans dire un mot alors que l'obèse ruminait intérieurement: "Encore un cas..."

William se dirigea donc vers un grand escalier fait de briques rouges, tout comme le reste de l'entrée. De vieux tableaux représentants d'anciens rois et maîtres de ligue ornaient les murs, et d'anciens meubles étaient placés ça et là pour couvrir les faiblesses de l'édifice.
Le jeune garçon continua de marcher jusqu'à une grande porte de bois marron. Il y entra, et s'avança rapidement dans la pièce qui était assez grande, mais qui, contrairement au Hall et à l'extérieur de l'internat, avait l'air assez récente, puisque les murs étaient blancs et le sol recouvert de moquette.
Le vieil homme qui trônait derrière le bureau était assez petit, avait des sourcils broussailleux, et accessoirement, avait du être bouledogue dans une autre vie.
Il regarda longuement William, puis pris la parole, tout en s'emparant d'un dossier peu chargé.

"Bonjour jeune homme, fit le directeur, vous êtes venus pour connaitre les détails de votre inscription ici, je me trompe?
-Non
-Parfait. Vous êtes donc... William Turner, 17 ans. Parents morts, a vécu en orphelinat pendant près de la moitié de sa vie... C'est très réjouissant.
-Non
-Certes... Bon, selon votre dossier, un oncle payera votre inscription, c'est bien ça?"

Le vieil homme pris le silence de William pour un approbation, et replongea dans le dossier du jeune homme

"Bon, étant donné que votre dossier a déjà été entièrement rempli par votre oncle, je ne vois aucune raison vous empêchant de venir étudier ici. Je tiens cependant à vous prévenir. Je ne veux pas de violence dans mon établissement, c'est bien compris?
-Oui
-Bien. Vous êtes dans la chambre le colocataire de Matthew Smith. Cherchez un surveillant, et demandez-lui de vous accompagner jusqu'à votre chambre et de vous expliquer comment marche l'internat. Ils déambulent un peu partout dans les couloirs.
-D'accord
-Et bienvenu à Gazon vert"

William se retourna sans un mot, et sortit du bureau. Il déambula ensuite dans un enchevêtrement de couloirs et de portes, jusqu'à se trouver nez-à-nez avec un grand homme aux courts cheveux noirs qui le dévisagea.

"Qui t'es?
-William Turner, nouvellement inscrit dans cet établissement. Le directeur m'a demandé de chercher un surveillant pour aller jusqu'à ma chambre
-Ah, ben t'en a trouvé un, fit le surveillant, légèrement déstabilisé par la neutralité du ton du jeune homme. T'es dans quelle chambre?
-Je suis le colocataire de Matthew Smith
-Et merde..."

L'homme soupira profondément.

"Et merde... Bon, suis moi, fit-il en se dirigeant vers une intersection
-Oui.
-Est-ce qu'on t'as dis comment marchait les chambres?
-Non
-Okay. Vu ta chambre, c'est pas vraiment étonnant. Bon, les chambres sont doubles. Y'a des lits superposés, un lavabo et une douche. Et deux commodes. Interdiction de sortir de sa chambre après 10 heures du soir. Remarques, avec ton coloc', je pense qu'il y aura peut-être exeption..."

Le surveillant s'arrêta enfin devant une porte avec une feuille marquée Matthew Smith dessus, ainsi que plusieurs autres noms barrés à la va-vite. L'homme sortit un stylo de sa poche, et marqua le nom William Turner sous les ratures.

"Voilà, je te laisse t'installer et faire connaissance. Au fait, moi c'est Georges. Au revoir... si possible"

Et il s'en alla, laissant William seul devant son nouveau logis. Le jeune homme ouvrit la porte, entra, et... fut accueillit avec une pluie de cotillons colorés.
Un jeune homme avec des cheveux noirs mi-courts et de profondes cernes qui devait avoir son âge se tenait devant lui.

"Biennnnveeeenuuuuu cher camarade! s'écria-t-il. Alors, ça boum? moi c'est Matthew, mais appelle moi Matt s'il-te-plaît. C'est cool d'avoir quelqu'un, ça faisait longtemps, tous les autres ont été mis dans d'autres chambre, c'est triste. Bon, alors, le lit du haut, c'est le mien, okay? Je sais, ça fais bizarre cet attachement au lit du haut, mais bon, que veux tu, y'a des trucs comme ça, c'est comme un instinct, enfin bref, voilà quoi. Au fait, c'est quoi ton nom?
-William Turner
-William? Ah, cool. M'enfin, c'est quand même un peu long je trouve, dit Matt en sautant sur son lit, allez, j'vais t'appeler Will. Ça te va? Ouais? Ouais, cool, c'est bien, si ça t'avais pas plu, ç'aurait eu aucun sens. Sinon, ça va?
-Hmm, fit Will qui avait posé son sac par terre et était entrain d'en sortir un livre.
-Tant mieux, c'est toujours cool de bien aller, au fait, c'est quoi ce bouquin? Il a l'air vachement bien, je peux le voir dis? Tiens, y'a ni dessin ni titre, c'est triste, nan, mais bon, peut-être que le mec voulait pas être connu qui sait, donc ça cause de quoi?
-Hmm...
-Mais c'est passionnant dis-donc, dit Matt, soudainement moins motivé. Et donc?
-Ouais
-Euh... Bon, okay, puisque t'as pas l'air super causant, on va voir tes pokémons, s'écria soudainement l'adolescent, je te parie que je suis capable de tout connaître de toi rien qu'à partir de tes petits chéris, tu vas voir, c'est comme un d...
Il ne dit rien de plus car il se retrouva plaqué à terre, les deux mains dans le dos liées par celles de Will.

"Tu ne touches pas à ça, dit-t-il froidement tout en tordant les bras de Matthew
-Okay, okay, reste zen, geignit Matt, j'arrête de toucher à tes boules!
-Bien."

Will ramassa ses pokéballs, les mit dans ses poches, et retourna lire comme si rien ne s'était passé.
Matt, lui, se dégourdit un peu les bras, puis ouvrit la porte, et... s'empara du bras du nouvel arrivant avant le le tirer, puis de le trainer à travers les couloirs.

"T'en fais pas, dit Matt, je t'emmène juste voir des copains"

Le trainé ne répondit rien, s'efforçant de continuer de lire son livre. Il ne dit rien non plus lorsqu'il remarqua qu'une de ses pokéballs était tombé de sa poche et s'était ouverte. Il n'avait pas eu le temps de voir qui en sortait que déjà son nouvel "ami" le trainait dans un nouveau couloir.
Au bout de quelques minutes, Matthew s'arrêta devant une porte à la feuille déchirée. Il remit William sur pied, et toqua frénétiquement la porte.
Un jeune homme du même âge que les deux adolescents se tenait devant eux. Derrière lui, trois autres adolescents à l'air peu commode jouaient au poker en fumant des cigarettes.
Tous avaient un tatouage noir d'Arcanin sur la joue droite

"Tiens, mais c'est mon grand ami Matthew, fit l'adolescent qui leur avait ouvert. Alors, tu viens gentiment me rendre l'argent que je t'ai prêté?
-Salut Bruno, beau temps, hein? Ah, au fait, je trouve que vos décalcomanies à toi et à tes copains sont très réussies, faudra que vous me disiez quel marque de chewing-gum vous achetez. Par contre, je suis vraiment désolé, mais j'ai pas l'argent, mais par contre, j'ai mon très cher ami William, s'écria-t-il en désignant son compagnon. Je suis sur que vous pourrez vous arranger ensembles, pas vrai? Bon, désolé, mais moi faut que je file, tu sais ce que c'est, pas vrai? Bon, ben à plus!"

Et il pris ses jambes à son cou, laissant Will seul avec quatre adolescents assez énervés. Le Will en question n'en semblait pas vraiment peiné, et continuait de lire son livre.
Bruno s'avança vers lui d'un air menaçant.

"Alors, toi, je suppose que t'as pas mon fric...
-Hmm...
-Mais c'est pas grave, je suis sûr que tu me remboursera très bien en tant que punching-ball, pas vrai?
-Hmm...
-T'es masochiste où quoi?
-Hmm...
-Espèce d'enfoiré..."

Il lança son poing en avant, quand, juste avant qu'il n'atteigne le visage de Will il entendit:

"Ne leur casse rien"

l'adolescent eut à peine le temps de comprendre le sens des paroles de William que son poing avait déjà atteint sa cible... Et que la cible en question tournait une page. A ses pieds, Bruno hurlait de douleur, les phalanges tordues en quatre.
Will poussa un soupir exaspéré

"Tu ne sais vraiment pas te contenir..."

Les paroles n'étaient pas destinées au chef de bande, mais c'est ainsi que l'interprétèrent ses trois compagnons qui se retrouvèrent tous avec leur bras droit déboité après avoir tenté de frapper le jeune homme.

"Essayez de les remettre dans le bon sens, au bout de quelques heures, la douleur aura disparut. Ou pas."

Les quatre corps se virent soudain jetés dans la chambre, et la porte se ferma violemment.
Will, quant à lui, reparti tranquillement vers sa chambre, le nez plongé dans son livre. Au passage, il ramassa une pokéball et soupira

"Essaye de te contrôler la prochaine fois..."

Il la rangea dans sa poche, puis reparti.

Quelques heures plus tard, une femme de ménage retrouva 4 adolescent dans un triste état. Ils furent envoyés à l'hôpital du coin, et leurs seuls mots furent:

"On veut rentrer chez nous!"

Ils ne voulurent pas en dire plus, il n'y eut donc pas de suite à l'évènement.

J'ai Mis en vert les 2 expressions que tu as utilisé qui sont Identiques .
Varie Tout cela ;D !
Après , quelques fautes de conjugaison ( mais rien de grave ) .
Et , aussi , les choses du genre : "[...] , fit le [...] " . Les Verbes , moi , je les placerais plutôt a l'exterieur des guillemets .
Sinon , C'est pas mal ;D !

Lis le mien et dis-moi ce que tu en penses !

Spoiler :

Helloù tout le monde !

Alors je vous montre un essai de Fanfic :

Chapitre 1 :

I. Dans les sous-sols de la ville gelée.

Encore ...
Encore une nuit dans la peur ...
Encore une nuit sombre . Une nuit hantée par les démons ...

Les trois grands Pokemons lévitaient vers la statue de Regigigas , Dieu des Elements incompris.

Doucement , mais surement , Ils glissaient dans les sous-sols glacés de Frimapic . Quand soudain , la grande Statue apparut devant le trio Pokemon .

Crehelf fut le premier a arriver devant . Il était le plus sage , mais aussi le plus agile des trois.

Une fois arrivés , les trois Pokemons se placerent autour de la grande , que dis-je , de la statue Geante .

Soudain , des sons harmonieux et étrangement aigus sortirent de la bouche des trois Pokemons .

Une fissure ...
Puis une dizaine de fissures se découvrirent sur la cage glacée du geant .
Bientot , le Pokemon fut libéré .

Puis silence ...
Plus rien ...
Le géant ne bougeait pas et le trio prenaient un air interloqué .Les Dieux leurs avaient pourtant affirmés que Regigigas se reveillerait .

En l'espace de quelques secondes , trois coups se firent entendrent avant de voir les billes frontales du grand Pokemon s'allumer .

Un pas ...
Deux pas ...
Un cri a faire froid dans le dos ...

Le géant était réveillé .

"- Que me vaut l'honneur de recevoir les 3 Pokemons des Lacs de Sinnoh ? "

Crehelf s'avança .

" - Regigigas ... Nous avons besoins de ton aide ... " souffla le Pokemon .

Puis Crefadet virevolta et annonça :

"- Les Dieux nous ont envoyés te chercher ... " .

Et enfin , Crefollet tournoya en l'air avant d'atterir aux pieds du géant .
Le vol du Pokemon avait laissé derrière lui une longue trainée etoilée .

Il ouvrit la bouche mais fut coupé par la grosse voix de Regigigas :

"- Les Dieux ? .. Que me veulent-ils ? ... "

Cette fois , Crefollet reprit la parole :

"- Les Dieux t'appellent , tout comme ils ont appelés nos Confreres , venus de tout les continents : Kanto , Johto , Hoenn et , comme tu peux le voir , Sinnoh .
Il y a en ce moment meme un complot qui se trame dans notre univers mythologique ... Viens avec nous ...Lugia t'en diras plus . "

A ces mots , les billes frontales du geant clignotèrent .

"- C'est d'accord ... Je vous suis ... "

"-Tend ta main devant toi , s'il te plait . Nous allons nous téléportés . " , déclara Crehelf .

Dans un crissement , son bras s'allongea vers le trio .

Une patte ...
Deux pattes ...
Et une troisième se posèrent sur l'avant-bras du geant .

Un éclair ...
Puis , plus rien ...
Plus un bruit ...

L'obscurité retomba sur la pièce ...
Les Spectres Ressortirent ...

Parmis eux , une ombre plus noire que les autres sortit de la pénombre ...

Deux grand yeux rouges ...
Une crete blanche qui vole juste au dessus .

Il fit entendre involontairement un soupir et , dans une fumée épaisse et noire , se volatilisa .

Cette fois , le silence était complet .
Plus aucune vie , Plus aucun bruits ...

Si Quelqu'un veut bien me dire ce qui va et ce qui ne vas pas !

Merci !

K-O-I

Have a good day ;D

K-O-I

[dragibus]

N€ar > Moi j'aime bien...
Pourtant il reste encore des fautes, pas mal de répétitions, quelques tournures de phrases maladroites, mais... j'aime bien !
Ton style est agréable : on rentre facilement dans l'histoire et tu arrives à créer une atmosphère, une ambiance, sans utiliser de longues descriptions ennuyeuses, sans entrer dans la tête des personnages, rien qu'en relatant les faits d'un point de vue complètement externe.
Tu distilles habilement des indices qui donnent envie de connaître la suite de l'histoire.
Encore une fois, j'aime bien
Soigne ton orthographe, supprime tes répétitions, relis-toi à voix haute pour trouver les tournures maladroites, mais surtout... continue !

[N€ar]

Dragibus: Merci. On va revoir tout ça^^ en tout cas ça nous encourage
King of ice: Merci pour ça, je vais revoir également. (ça me fait penser que l'autre jour je t'avais fait un comm', mais comme mon ***** d'ordi est malade, j'ai tout perdu mon beau texte. Je recommence donc.

KOI: voici le comm'
Tout d'abord, j'aime bien. Ton style est sympathique, on rentre fastoche dans l'histoire... no problème.
Après: 1) "Dieu des Elements incompris". Regigigas n'est pas le dieu des éléments (il est seulement le roi des trois golems. Et il a aussi tiré les continents avec des cordes bon, c'est balèze, mais il est un golem (et les golems sont des créations humaines si j'ai bien tout compris. Toujours est-il que c'est un légendaire, ce qui fait qu'il peut sans mal être considéré comme un Dieu)

2)"la grande , que dis-je , de la statue Geante ." Si tu fais un effet avec "que dis-je", alors tu dois mettre un adjectif juste après le "que dis-je" (et il faut surrenchérir, amsi ça tu l'as bien compris) tu peux par exemple metrte énorme

3)"Plus aucune vie , Plus aucun bruits ..." pas de majuscule au second "plus"

Sinon, je pense que tu devrais faire comme Dragibus m'a conseillé de faire et relire le texte à voix haute, histoire de voir quels tournures ne vont pas. Et essaye de ralonger un peu.

Sur ce bonne soirée, et continue, c'est interressant, et on se demande se qui va se passer ensuite.

[King-of-Ice]

Dragibus: Merci. On va revoir tout ça^^ en tout cas ça nous encourage
King of ice: Merci pour ça, je vais revoir également. (ça me fait penser que l'autre jour je t'avais fait un comm', mais comme mon ***** d'ordi est malade, j'ai tout perdu mon beau texte. Je recommence donc.

KOI: voici le comm'
Tout d'abord, j'aime bien. Ton style est sympathique, on rentre fastoche dans l'histoire... no problème.
Après: 1) "Dieu des Elements incompris". Regigigas n'est pas le dieu des éléments (il est seulement le roi des trois golems. Et il a aussi tiré les continents avec des cordes bon, c'est balèze, mais il est un golem (et les golems sont des créations humaines si j'ai bien tout compris. Toujours est-il que c'est un légendaire, ce qui fait qu'il peut sans mal être considéré comme un Dieu)

2)"la grande , que dis-je , de la statue Geante ." Si tu fais un effet avec "que dis-je", alors tu dois mettre un adjectif juste après le "que dis-je" (et il faut surrenchérir, amsi ça tu l'as bien compris) tu peux par exemple metrte énorme

3)"Plus aucune vie , Plus aucun bruits ..." pas de majuscule au second "plus"

Sinon, je pense que tu devrais faire comme Dragibus m'a conseillé de faire et relire le texte à voix haute, histoire de voir quels tournures ne vont pas. Et essaye de ralonger un peu.

Sur ce bonne soirée, et continue, c'est interressant, et on se demande se qui va se passer ensuite.

1) Pour les element Incompris , j'ai pensé deja aux 3 elements des Starters : Feu , Eau , Plante .
Apres , j'ai regardé les Types des Golems : Regirock : Roche , Regice : Glace et Registeel : Acier .
Ces elements n'étant pas des elements "Primaires" , j'ai pensé a cette définition . Sinon , je pourrais mettre '' Dieu des Golems " ou encore " Dieu des elements inferieurs '' .

2)Si je place le '' Geante '' avant statue , ca fera mieux ?

3) Oups faute d'inatention >.<" .

Après , j'ai décidé de faire les chapitres un peu plus courts car ils seront nombreux ;D!

Sinon , oui je vais me relire ;D !

Merci des conseils =D !

Bonne Continuation !