c'est quoi le site dont tu parle lokhlass?
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Essais aux fanfics
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Magic Germi'
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évoli
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si je me trompe pas, c'est refusé, c'est bien de tenter ta chance, sais ton jamais.
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Modifié en dernier par évoli le dim. 25 nov. 2007, 19:53, modifié 1 fois.
Spoiler :
Une petite demi - heure, l'idéal étant d'abord de tracer son décor au papier. Et j'ai le droit de me vanter, pour une fois, c'est bien l'un des plaisirs de l'auteur désormais reconnu - et ça, c'est de votre faute. Zut.
Germignone >> Il faut te dire que les jeux vidéos, c'est un thème un peu simpliste ; donc à moins d'avoir un style d'écriture rendant l'histoire très originale - et pas un déjà vu de jeu, tu peux laisser de côté.
Germignone >> Il faut te dire que les jeux vidéos, c'est un thème un peu simpliste ; donc à moins d'avoir un style d'écriture rendant l'histoire très originale - et pas un déjà vu de jeu, tu peux laisser de côté.
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Lokhlatirde
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Pokémon franceévoli a écrit :c'est bien. ^_^
c'est quoi le site dont tu parle lokhlass?
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La prochaine fois met une majusqule au début du pseudo stp
Mon pseudo veut dire Lokhlass et ortide.
Généalogie de mes pseudo: Ortide, Lokhlass
et
et pour une ville que je déteste: http://fbi.cyty.antiville.fr/
Généalogie de mes pseudo: Ortide, Lokhlass
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évoli
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Un immense trou noir, rien. Il fait plus noir qu'en fermant les yeux. Il fait tellement froid! Quelques points de lumière, des étoiles, se distinguent de cette noirceur. Des bloc de glaces se forme lentement avec ce froid. D'où viennent-ils? Aucune réponse ne peut-être donnée. Les année peut-être? Ce néant, plus noir que le noir, de minuscules points blanc, et de la vie. Du magma vole dans cet espace vide. Des rocs lévitent et forment des tracés qu'ils suivront durant le temps où ils seront encore là, la vieillesse n'existe pas. Des collisions silencieuse. Cet endroit ne fait pas un bruit, pas un son. Des matières inanimés bouge mais pas de vie. Sauf "une chose informe [...]" .
je trouve ta description réussit comme description du néant mimo' tu peut (la développer où) supprimer la mienne D'APRES UN CERTAIN MEMBRE, je suis au collège. j'écris à ma manière et tu écris à ta manière. Suivez mon regard, je ne citerai pas le nom de ce membre.
WELL.
je transforme "well." en :
être ou ne pas être, telle est la question
je trouve ta description réussit comme description du néant mimo' tu peut (la développer où) supprimer la mienne D'APRES UN CERTAIN MEMBRE, je suis au collège. j'écris à ma manière et tu écris à ta manière. Suivez mon regard, je ne citerai pas le nom de ce membre.
WELL.
je transforme "well." en :
être ou ne pas être, telle est la question
Modifié en dernier par évoli le mer. 28 nov. 2007, 21:45, modifié 2 fois.
Spoiler :
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évoli
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je l'est proposé le truc de l'autre fois, et je l'est développé. Ta-dam! le v'là:
Le ciel était gris. Les larmes acides du ciel redoublaient. Lorsqu’elles disparaissaient, un doux tintement de clochette résonnait tristement. Elles assombrissaient chaque brin d’herbe et, provoquait de gigantesques mares de boues. Un bâtiment se dressait avec éloquence en haut d’une pente de gazon.
Ce gazon, était mal entretenue. Un chardon ou une ortie poussait avec facilité dans cette verdure. En bas, une route de goudron s’étalait jusqu’à un minuscule parking. Cinq véhicules prenaient cet espace sauf une. Le bord du petit trottoir devant les véhicules, était fait d’un béton blanc maculé de tache laissé par les larmes du ciel. Des touffes de gazon sortaient sous la rocaille.
Derrière ce trottoir et un peu de gazon, une grille un peu rouillée par le temps, était mangée par des pins pour rendre le lieu plus agréable. Le bâtiment comportait deux fenêtres orientées vers un terrain de tennis. Elles éclairaient un carré du terrain.
Une jeune fille était depuis un certain temps devant cette fenêtre. Les personnes autour d’elle ne lui parlaient pas. Ils attendaient avec impatience la fin du déluge. La jeune fille n’avait pas plus de treize ans, le regard tendre et triste, les yeux et les cheveux bruns, brillant d’une étrange lueur. Elle portait un pull et un jogging violet, allant à ravir avec sa peau légèrement bronzée. Des traits creusés formant des fossettes. Des cernes presque imperceptibles montraient un signe de fatigue pour ses études mais qui ne montrait une intelligence inouïe dans son avenir.
Elle scrutait les nuages sombres dans les cieux, perçait pour décoder quelque chose. En vain. Assise sur son siège, une main sur sa cuisse, l’autre portait sa tête, c’était une vision de rêves. Elle se leva et elle se glissa vers une porte grise et la fit coulisser. Pas un grincement, personne, personne ne l’avait remarquée, sauf un garçon d’une quinzaine d’année dirai-je, qui l’observait depuis un bon moment. Il la suivi. La jeune fille ne tentait pas de se protéger de la pluie. Les cheveux voletaient. Elle s’arrêta et elle regarda à nouveau les nuages. Elle susurra quelques mots et un éclair forma des lettres illisible pour des êtres humains, sauf certain qui avait appris à lire ce langage. Cette jeune fille compris et aussitôt une main l’attrapa. Qui était-ce ?
Le jeune homme la tirait vers l’intérieur du bâtiment de sport. Une fois hors de portée de vue de la fenêtre, elle se débattit et retourna près de là où elle était mais camouflée aux yeux des personnes dans le bâtiment. Il n’y avait que lui qui pouvait la voir. Un effrayant éclair illumina leur visage trempé par les larmes de pluie. Elle leva les yeux et susurra quelques mots. Un autre éclair l’illumina.
Le jeune homme s’approcha d’elle. Un éclair tomba dangereusement près d’eux. Légèrement effrayé, le garçon la tint par la hanche sans la tirée vers le bâtiment. Lentement, il posa sa tête sur son épaule et lui souffla à l’oreille : « il faut y aller, c’est dangereux. Viens ma belle. ». Il releva sa tête et se mit de toute sa hauteur. Il n’avait que quelques centimètres de plus qu’elle. « Non, dit-elle, il va les créer, je veux rester, il va venir me voir ». Elle tremblait de froid et de peur. Elle mit sa tête contre sa poitrine et pleura doucement. « Il est là, en haut et il descend. », elle se remit à pleurer. Les éclairs dansaient autour d’eux et se rapprochaient sans cesse.
Il referma ses bras sur elle et posa sa tête sur la sienne. Ses bras et sa tête, contre sa poitrine. Elle s’arrêta de pleurer. Ils se câlinèrent, refermant leur bras sur l’autre, et les serrant. Les secondes devinrent des heures, les minutes, les jours, le temps n’existait plus. Jamais ils ne sentirent aussi heureux
Un éclair tomba sur eux. Deux boules de poils prirent leur place. De longues oreilles marron, le cou caché par de la fourrure blanc. Des petites pattes douces et une queue duveteuse. Ils s’étaient transformés en évoli. C’était Aïcha et Hervé, la jeune fille et le garçon. Ils changèrent de position et frottèrent leur joue l’une contre l’autre. Un autre éclair tomba près d’eux. L’électricité de l’éclair, descendait et restait accroché à un nuage, rebondit sur le sol remonta à nouveau puis rebondit sur le nuage, puis sur le sol.
Du ciel descendit les pokémon légendaires, du sol, les autres. Un éclair vert descendit sur la pelouse, un rouge, un bleu et un blanc. Du vert naquirent les baies, du rouge, les objets rare et commun, les machines, du bleu, naquirent les balls, et du blanc, les personnages important de ce monde des pokémon.
Aussitôt créé, certain pokémon restait, d’autre partait. Les pokémons aquatique était transporté par d’autre, les légendaires se déplaçaient à l’aide d’autres également. Les pokémon venaient d’être créé, fini les périodes sombre de leur attentes par certains êtres hors du commun.
voilà:
TITRE: 1: un amour d'évoli
RESUME(allongé):
un jour de pluie et d'orage, tout bascule. Pourtant, sur Terre tout était presque normal, et assez courant, deux ados s'aiment. Ils sont seul et passe un bon moment et ça bascule. Deux boules de poils, deux bébêtes dont vous devinez le nom. Leur amour est mis en danger, des amis viennent et repartent. Des gens qui parle souvent de pokémon les attrape. Les stars de film sont là. Leur amour est-il compromis à jamais?
(composé ,en plusieurs fic à venir)
p'tit rappel à tous: chacun écrit à sa manière
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être ou ne pas être, telle est la question.
Le ciel était gris. Les larmes acides du ciel redoublaient. Lorsqu’elles disparaissaient, un doux tintement de clochette résonnait tristement. Elles assombrissaient chaque brin d’herbe et, provoquait de gigantesques mares de boues. Un bâtiment se dressait avec éloquence en haut d’une pente de gazon.
Ce gazon, était mal entretenue. Un chardon ou une ortie poussait avec facilité dans cette verdure. En bas, une route de goudron s’étalait jusqu’à un minuscule parking. Cinq véhicules prenaient cet espace sauf une. Le bord du petit trottoir devant les véhicules, était fait d’un béton blanc maculé de tache laissé par les larmes du ciel. Des touffes de gazon sortaient sous la rocaille.
Derrière ce trottoir et un peu de gazon, une grille un peu rouillée par le temps, était mangée par des pins pour rendre le lieu plus agréable. Le bâtiment comportait deux fenêtres orientées vers un terrain de tennis. Elles éclairaient un carré du terrain.
Une jeune fille était depuis un certain temps devant cette fenêtre. Les personnes autour d’elle ne lui parlaient pas. Ils attendaient avec impatience la fin du déluge. La jeune fille n’avait pas plus de treize ans, le regard tendre et triste, les yeux et les cheveux bruns, brillant d’une étrange lueur. Elle portait un pull et un jogging violet, allant à ravir avec sa peau légèrement bronzée. Des traits creusés formant des fossettes. Des cernes presque imperceptibles montraient un signe de fatigue pour ses études mais qui ne montrait une intelligence inouïe dans son avenir.
Elle scrutait les nuages sombres dans les cieux, perçait pour décoder quelque chose. En vain. Assise sur son siège, une main sur sa cuisse, l’autre portait sa tête, c’était une vision de rêves. Elle se leva et elle se glissa vers une porte grise et la fit coulisser. Pas un grincement, personne, personne ne l’avait remarquée, sauf un garçon d’une quinzaine d’année dirai-je, qui l’observait depuis un bon moment. Il la suivi. La jeune fille ne tentait pas de se protéger de la pluie. Les cheveux voletaient. Elle s’arrêta et elle regarda à nouveau les nuages. Elle susurra quelques mots et un éclair forma des lettres illisible pour des êtres humains, sauf certain qui avait appris à lire ce langage. Cette jeune fille compris et aussitôt une main l’attrapa. Qui était-ce ?
Le jeune homme la tirait vers l’intérieur du bâtiment de sport. Une fois hors de portée de vue de la fenêtre, elle se débattit et retourna près de là où elle était mais camouflée aux yeux des personnes dans le bâtiment. Il n’y avait que lui qui pouvait la voir. Un effrayant éclair illumina leur visage trempé par les larmes de pluie. Elle leva les yeux et susurra quelques mots. Un autre éclair l’illumina.
Le jeune homme s’approcha d’elle. Un éclair tomba dangereusement près d’eux. Légèrement effrayé, le garçon la tint par la hanche sans la tirée vers le bâtiment. Lentement, il posa sa tête sur son épaule et lui souffla à l’oreille : « il faut y aller, c’est dangereux. Viens ma belle. ». Il releva sa tête et se mit de toute sa hauteur. Il n’avait que quelques centimètres de plus qu’elle. « Non, dit-elle, il va les créer, je veux rester, il va venir me voir ». Elle tremblait de froid et de peur. Elle mit sa tête contre sa poitrine et pleura doucement. « Il est là, en haut et il descend. », elle se remit à pleurer. Les éclairs dansaient autour d’eux et se rapprochaient sans cesse.
Il referma ses bras sur elle et posa sa tête sur la sienne. Ses bras et sa tête, contre sa poitrine. Elle s’arrêta de pleurer. Ils se câlinèrent, refermant leur bras sur l’autre, et les serrant. Les secondes devinrent des heures, les minutes, les jours, le temps n’existait plus. Jamais ils ne sentirent aussi heureux
Un éclair tomba sur eux. Deux boules de poils prirent leur place. De longues oreilles marron, le cou caché par de la fourrure blanc. Des petites pattes douces et une queue duveteuse. Ils s’étaient transformés en évoli. C’était Aïcha et Hervé, la jeune fille et le garçon. Ils changèrent de position et frottèrent leur joue l’une contre l’autre. Un autre éclair tomba près d’eux. L’électricité de l’éclair, descendait et restait accroché à un nuage, rebondit sur le sol remonta à nouveau puis rebondit sur le nuage, puis sur le sol.
Du ciel descendit les pokémon légendaires, du sol, les autres. Un éclair vert descendit sur la pelouse, un rouge, un bleu et un blanc. Du vert naquirent les baies, du rouge, les objets rare et commun, les machines, du bleu, naquirent les balls, et du blanc, les personnages important de ce monde des pokémon.
Aussitôt créé, certain pokémon restait, d’autre partait. Les pokémons aquatique était transporté par d’autre, les légendaires se déplaçaient à l’aide d’autres également. Les pokémon venaient d’être créé, fini les périodes sombre de leur attentes par certains êtres hors du commun.
voilà:
TITRE: 1: un amour d'évoli
RESUME(allongé):
un jour de pluie et d'orage, tout bascule. Pourtant, sur Terre tout était presque normal, et assez courant, deux ados s'aiment. Ils sont seul et passe un bon moment et ça bascule. Deux boules de poils, deux bébêtes dont vous devinez le nom. Leur amour est mis en danger, des amis viennent et repartent. Des gens qui parle souvent de pokémon les attrape. Les stars de film sont là. Leur amour est-il compromis à jamais?
(composé ,en plusieurs fic à venir)
p'tit rappel à tous: chacun écrit à sa manière
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Modifié en dernier par évoli le mer. 28 nov. 2007, 20:04, modifié 2 fois.
Spoiler :
P'tit rappel à toi : ne pas confondre manière et contenu.p'tit rappel à tous: chacun écrit à sa manière
Pour ton texte je suis Plush', aére un peu tout ça pour que ce soit agréable à lire.
« Ce qui donne [à l'écrivain] le sentiment de l'échec, c'est l'immensité de sa prétention. »
François Mauriac
«En avant ! Même si c'est l'échec qui t'attend ! Si tu tombes, tombe debout ! »
Stoyan Mikhailovski
Code ami Diamant : 5069-1936-3039
Pseudo : Shiraga
François Mauriac
«En avant ! Même si c'est l'échec qui t'attend ! Si tu tombes, tombe debout ! »
Stoyan Mikhailovski
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Arf, j'ai pas tout lu mais ça m'a l'air correcte : désolé, les parties remplies de descriptions me déplaisent fortement... ça n'avance pas l'histoire bien que ça aide à comprendre mais bon voilà ... c'est moi faut pas chercher...
sinon, j'ai juste remarqué deux fautes, dont une grave
:
- des yeux bruns et des cheve... non dit carrément "des yeux et des cheveux bruns" pourquoi mettre le "également" après ?
- pokémon... au pluriel,.... sans "S"
(c'était celle là la faute grave )
sinon, j'ai juste remarqué deux fautes, dont une grave
: - des yeux bruns et des cheve... non dit carrément "des yeux et des cheveux bruns" pourquoi mettre le "également" après ?
- pokémon... au pluriel,.... sans "S"
(c'était celle là la faute grave )Une description se doit d'être vivante, sinon ça plombe le texte et ça ennuie le lecteur.well, on me dit de décrire et c'est important
Mais bon, en ce qui concerne ton texte je trouve que c'est plutôt correcte.
Tiens, un truc que j'ai remarqué - qui ne concerne sûrement que moi - mais la longueur des phrases s'accordent avec le rythme du texte. Et je trouve que pour une scène où il ne se passe pas grand chose, j'ai eu l'impression d'avoir lu beaucoup de phrases trop courtes. Normalement on utilise des phrases courtes incisives pour des scènes d'actions, de suspens, où le lecteur doit sentir la pression qui englobe les personnages.
Comme là il se passe pas énormément de chose dans les passages où j'ai noté les phrases courtes, ça accélère une lecture qui devrait plutôt être posée.
Mais bon, ça c'est juste une constation personelle, je suis pas sûr que ça gêne d'autres personnes
« Ce qui donne [à l'écrivain] le sentiment de l'échec, c'est l'immensité de sa prétention. »
François Mauriac
«En avant ! Même si c'est l'échec qui t'attend ! Si tu tombes, tombe debout ! »
Stoyan Mikhailovski
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«En avant ! Même si c'est l'échec qui t'attend ! Si tu tombes, tombe debout ! »
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Domino
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Il faut sauver WELL-yévoli a écrit :well, on me dit de décrire et c'est important, si tu sais pas où tu est... le but de l'écrivain, c'est de faire rêver et donner l'impression que cela se déroule devant tes yeux.
WELL.
être ou ne pas être, telle est la question
Le but de l'écrivain ça n'est pas de faire rêver et donner l'impression que cela se déroule devant tes yeux.
Tu te gourres et paradoxalement tu te fourres le doigt dans l'oeil, pour le coup tout se déroule dans tes yeux (More and more deeply)
Le but de l'écrivain c'est de stimuler l'imagination du lecteur de sorte que le lecteur soit captivé par ton histoire au point de vouloir la suite et de suivre une histoire un périple, une aventure.
C'est d'un prétentieux de dire que l'écrivain "Fait rêver" !!! Et c'est réduire son boulot à endormir les gens devant des tas pâteux de descriptions qui ne font rêver que l'écrivain lui même "Ouah j'ai fait un beau pâté..."
Et je ne vois pas l'interêt de donner l'impression que tout se déroule devant tes yeux... C'est comme ce que disait Guy Montagné (Le comique) qui disait préferer la radio parce que ça stimulait l'imagination, on ne connaissait pas le visage des gens, alors qu'a la télé tout est imposé frontalement sans stimuler quelque imaginaire du spectateur.
De plus, tu peux décrire avec tes pâtés, tant que tu n'auras pas de scénario ou d'élément conducteur, ta fic n'interessera personne.
En plus ton pâté est rempli de fautes ce qui le rend encore plus irregardable ! Chacun écrit à sa manière et heureusement parce que même si on me payait je refuserais d'écrire comme toi.
Quand j'écris, je fais en sorte de décrire certes, il le faut, mais je privilégie le minimalisme en la matière car mon récit ce n'est pas "Les arbres verts avaient l'air végétaux, et quand le vent soufflait les asticots faisaient Brui-brui comme si un oiseau arrivait"... Ca ça veut dire que t'as rien à dire et que tu combles. C'est Minable comme attitude
Autant des passages de narrations simples et explicatifs ça m'interesse autant des tas de caca en italique ça me rebute plutôt qu'autre chose.
Je ne dis pas que ma conception de l'écriture soit la meilleure mais la tienne craint
En plus je te trouve bien présomptueux de te comparer à Mimoza et de prétendre que ton travail est "Bien". Attends je te cite :
Mais sérieux pour QUI tu te prends ? Jamais je n'ai prétendu que quoi que ce soit que j'ai écrit était bien ! L'auteur est dans le doute permanent quant à son oeuvre, et jamais il ne se permet de trouver son travail "bien". Il a le droit d'être fier, comme tout artiste, mais comment-peut-il direévoli a écrit : c'est bien je trouve comme description du néant mimo' tu peut la développer où la supprimer, je suis au collège. j'écris à ma manière et tu écris à ta manière. Kazaf, je fais un ESSAIS.
WELL.
je transforme "well." en :
être ou ne pas être, telle est la question
"Ah moi je trouve ça bien. Et vous ?"
à propos de son taf.
En plus quelqu'un qui décrit le néant comme des trucs qui flottent excuse moi mais il a besoin d'un dico récent et vite. Le néant c'est rien, c'est l'expression du vide, c'est l'obscurité profonde ou la lumière éblouissante ou rien ne se distingue. C'est dur à décrire comme ça. En plus te croire à ce point bon pour que Mimo' reprenne ton taf c'est.... Y'a pas de mots là j'ai limite envie de te secouer comme un prunier et de te dire "Mais nom d'un chien réveille-toi !!"
WELL, ou plutôt WESH-WESH
Ecrire ou ne pas écrire, ne te pose plus la question.
Comme on dit aux USA : "You are a Number Two".
Voilà.
Tous à la section fanfics !!!
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évoli
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j'adore que l'on me secoue( dommage, occasion raté) well, je trouve mes texte raté, mais si je n'ai pas confiance en moi, je préfère abandonner.
Si tu écrit un truc et tu n'as pas confiance en toi, là et dans la vie, tu peut sauter pas la fenêtre, ça ne t'aideras pas à reprendre tes esprit. Je suis débutante et mon cher, j'essaye de progresser. Si je perds confiance, je peut être dégoutée à jamais des rédactions alors que je débute!
Je lui vingt livres par mois pour me stimuler et si je veux abandonner, c'est mes études et je travaille quelque sit on choix d'avenir. Mon cher, tu as tes manières, j'ai les mienne, tu es peut-être expert en la matière, je ne le suis pas donc, comporte toi NORMALEMENT et met-toi à la place d'un débutant.
chacun ses manières mon cher!
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être ou ne pas être, telle est la question, je la pose.
Si tu écrit un truc et tu n'as pas confiance en toi, là et dans la vie, tu peut sauter pas la fenêtre, ça ne t'aideras pas à reprendre tes esprit. Je suis débutante et mon cher, j'essaye de progresser. Si je perds confiance, je peut être dégoutée à jamais des rédactions alors que je débute!
Je lui vingt livres par mois pour me stimuler et si je veux abandonner, c'est mes études et je travaille quelque sit on choix d'avenir. Mon cher, tu as tes manières, j'ai les mienne, tu es peut-être expert en la matière, je ne le suis pas donc, comporte toi NORMALEMENT et met-toi à la place d'un débutant.
chacun ses manières mon cher!
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